Deux étrangers

Pirouettete

杜妮娅
Les yeux fuyant, les mains appliquant des caresses de routine, comme un devoir, ou une habitude tenace, un vice.

Les paroles superficielles, essayant de construire tant bien que mal un pont sur le gouffre qui s'est creusé par le temps, la distance, la vie.

Les mots doux qui sonnent faux, grincent comme des mensonges timides.

Les scènes qu'on joue, sans conviction. Le comme si, le presque.

On se connaissait, on ne se connait plus. On doit faire comme si on se connaissait mais en fait, pour qui?
 
Les yeux fuyant, les mains appliquant des caresses de routine, comme un devoir, ou une habitude tenace, un vice.

Les paroles superficielles, essayant de construire tant bien que mal un pont sur le gouffre qui s'est creusé par le temps, la distance, la vie.

Les mots doux qui sonnent faux, grincent comme des mensonges timides.

Les scènes qu'on joue, sans conviction. Le comme si, le presque.

On se connaissait, on ne se connait plus. On doit faire comme si on se connaissait mais en fait, pour qui?


J'ai pas compris ta charabia comme dirait un de mes collègues blèdards :langue:
 
Les yeux fuyant, les mains appliquant des caresses de routine, comme un devoir, ou une habitude tenace, un vice.

Les paroles superficielles, essayant de construire tant bien que mal un pont sur le gouffre qui s'est creusé par le temps, la distance, la vie.

Les mots doux qui sonnent faux, grincent comme des mensonges timides.

Les scènes qu'on joue, sans conviction. Le comme si, le presque.

On se connaissait, on ne se connait plus. On doit faire comme si on se connaissait mais en fait, pour qui?

Euh...Quand on ne sait pas on dit...pour Allah 3azza wa jal!...
Ton scribouillage suivait une certaine logique...mais khrettiha avec l'ultime question...
 
Euh...Quand on ne sait pas on dit...pour Allah 3azza wa jal!...
Ton scribouillage suivait une certaine logique...mais khrettiha avec l'ultime question...

Ce n'était pas une question. L'ILLUSTRE ARTISTE (moi za3ma), par cette fausse question, renvoie à l'absurdité du comportement de ce couple, qui font semblant alors qu'aucun des deux n'est dupe.
 
Dans ce cas-là, du bon langage verbal s'impose !













Les yeux fuyant, les mains appliquant des caresses de routine, comme un devoir, ou une habitude tenace, un vice.

Les paroles superficielles, essayant de construire tant bien que mal un pont sur le gouffre qui s'est creusé par le temps, la distance, la vie.

Les mots doux qui sonnent faux, grincent comme des mensonges timides.

Les scènes qu'on joue, sans conviction. Le comme si, le presque.

On se connaissait, on ne se connait plus. On doit faire comme si on se connaissait mais en fait, pour qui?
 
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