Bonjour
Voilà, quand il est question de dialogue interreligieux, j’ai remarqué que beaucoup de personnes allaient dans un extrême ou dans un autre.
Il y en a pour qui « toutes les religions se valent » (sauf peut-être quelques sectes de cinglés), ou encore toutes les religions sont également vraies ou également bonnes, ou constituent simplement différents chemins pour arriver au sommet de la montagne, pour atteindre je ne sais quelle plénitude spirituelle ou communion avec le fondement de l’être... selon les besoins de chacun. Le Dalai-Lama semble proche de cette position, mais aussi les théologiens du courant pluraliste (vous pouvez googler John Hick).
Il y en a d’autres pour qui c’est le contraire. Ils croient que leur religion est la seule vraie et que les autres sont des illusions inventées par des humains (en général pour des raisons immorales). Et donc leur « mission » consiste à réfuter les autres religions et à attirer leurs adeptes dans l’orbite de leur religion à eux! Le dialogue ici est moins un dialogue qu’un champ de bataille (dont la violence est pas toujours uniquement verbale, malheureusement). Je parle aussi de ceux qui croient que seule leur religion à eux conduit au salut, et donc qu’il faut absolument convertir un max de gens pour les « sauver ». Il y a beaucoup de fondamentalistes comme ça.
Puis il y a ceux qui sont ni l’un ni l’autre, qui croient que le dialogue ne servirait à rien, et qui préfèrent ignorer les autres religions et leurs adeptes et ne penser qu’à leurs affaires. Ils se maintiennent à une distance de sécurité... ils évitent autant que possible les interactions.
Mais peut-on envisager autrement le dialogue interreligieux?
Voilà, quand il est question de dialogue interreligieux, j’ai remarqué que beaucoup de personnes allaient dans un extrême ou dans un autre.
Il y en a pour qui « toutes les religions se valent » (sauf peut-être quelques sectes de cinglés), ou encore toutes les religions sont également vraies ou également bonnes, ou constituent simplement différents chemins pour arriver au sommet de la montagne, pour atteindre je ne sais quelle plénitude spirituelle ou communion avec le fondement de l’être... selon les besoins de chacun. Le Dalai-Lama semble proche de cette position, mais aussi les théologiens du courant pluraliste (vous pouvez googler John Hick).
Il y en a d’autres pour qui c’est le contraire. Ils croient que leur religion est la seule vraie et que les autres sont des illusions inventées par des humains (en général pour des raisons immorales). Et donc leur « mission » consiste à réfuter les autres religions et à attirer leurs adeptes dans l’orbite de leur religion à eux! Le dialogue ici est moins un dialogue qu’un champ de bataille (dont la violence est pas toujours uniquement verbale, malheureusement). Je parle aussi de ceux qui croient que seule leur religion à eux conduit au salut, et donc qu’il faut absolument convertir un max de gens pour les « sauver ». Il y a beaucoup de fondamentalistes comme ça.
Puis il y a ceux qui sont ni l’un ni l’autre, qui croient que le dialogue ne servirait à rien, et qui préfèrent ignorer les autres religions et leurs adeptes et ne penser qu’à leurs affaires. Ils se maintiennent à une distance de sécurité... ils évitent autant que possible les interactions.
Mais peut-on envisager autrement le dialogue interreligieux?