Dick Cheney responsable de l'attentat contre R.Hariri

Flagrants délits: Dick Cheney aurait commandité l'assassinat de Rafic Hariri

25 mai 2009

Dans un entretien à la télévision Russia Today, le journaliste états-unien Wayne Madsen(New Yorker Journal) a confirmé les informations de son collègue Seymour Hersh sur l’existence d’escadrons de la mort US placés sous la direction exclusive du vice-président Cheney, de 2001 à 2008, et lié à une structure israélienne équivalente.

Prolongeant ces révélations, Wayne Madsen a déclaré avoir recoupé diverses sources et être en mesure d’affirmer que Dick Cheney avait ordonné l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri (14 février 2005). Cette information surgit quelques semaines après l’installation par l’ONU du Tribunal spécial pour le Liban, principalement chargé de juger ce meurtre.

L’existence de plans pour assassiner des leaders politiques dans le monde entier a été évoquée par Bob Woodward dans le Washington Post dès janvier 2002. Wayne Madsen avait alors révélé le nom des premières cibles (le leader papou Theys Eluay, le ministre de la Justice du Nigéria Chef Bola Ige, le gouverneur de la province d’Aceh Abdullah Syaffi, et le chef des milices chrétiennes libanaises Elie Hobeika). La stratégie de ces escadrons de la mort avait été précisée un mois et demi plus tard par Thierry Meyssan dans L’Effroyable imposture 1 (chapitre 10). Le réseau logistique ayant préparé l’assassinat de Rafic Hariri a été détaillé dans L’Effroyable imposture 2.

Source : Réseau Voltaire
 
Flagrants délits: Dick Cheney aurait commandité l'assassinat de Rafic Hariri

25 mai 2009

Dans un entretien à la télévision Russia Today, le journaliste états-unien Wayne Madsen(New Yorker Journal) a confirmé les informations de son collègue Seymour Hersh sur l’existence d’escadrons de la mort US placés sous la direction exclusive du vice-président Cheney, de 2001 à 2008, et lié à une structure israélienne équivalente.

Prolongeant ces révélations, Wayne Madsen a déclaré avoir recoupé diverses sources et être en mesure d’affirmer que Dick Cheney avait ordonné l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri (14 février 2005). Cette information surgit quelques semaines après l’installation par l’ONU du Tribunal spécial pour le Liban, principalement chargé de juger ce meurtre.

L’existence de plans pour assassiner des leaders politiques dans le monde entier a été évoquée par Bob Woodward dans le Washington Post dès janvier 2002. Wayne Madsen avait alors révélé le nom des premières cibles (le leader papou Theys Eluay, le ministre de la Justice du Nigéria Chef Bola Ige, le gouverneur de la province d’Aceh Abdullah Syaffi, et le chef des milices chrétiennes libanaises Elie Hobeika). La stratégie de ces escadrons de la mort avait été précisée un mois et demi plus tard par Thierry Meyssan dans L’Effroyable imposture 1 (chapitre 10). Le réseau logistique ayant préparé l’assassinat de Rafic Hariri a été détaillé dans L’Effroyable imposture 2.

Source : Réseau Voltaire

L'escadron de la mort de dick chenay ! Dommage que Saint obama I er les a purifier d'un geste de main !
 
L’ombre de Dick Cheney plane sur le meurtre de l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri

mai 22, 2009

Le 14 février 2005, le milliardaire et ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri était tué à Beyrouth lors d’un attentat à la voiture piégée, d’une puissance énorme et munie de dispositifs électroniques sophistiqués capables d’échapper aux mesures de détection anti-attentats dont était équipée l’escorte d’Hariri. Il était clair que derrière l’acte terroriste, devaient se cacher les Services secrets de quelque pays, seuls capables de concevoir et de réaliser un complot d’une telle difficulté et d’une telle sophistication.

Le doigt fut pointé sur la Syrie qui occupait militairement le Pays des Cèdres et sous le protectorat de laquelle se maintenait une trêve fragile entre les différentes factions qui avaient ensanglanté ce pays martyrisé depuis plusieurs décennies. L’ONU décidait alors la création d’un Tribunal spécial pour le Liban avec pour mission prioritaire de tirer au clair les responsabilités dans l’homicide d’Hariri. L’un des principaux acteurs de la commission d’enquête du Tribunal, l’Allemand Detlev Mehlis, affirma détenir des preuves et des témoignages de l’implication de la Syrie dans l’attentat et ordonna en août 2005 l’arrestation des chefs des forces armées libanaises, compromises avec Damas.Sous la poussée de la communauté internationale occidentale et des partis libanais anti-syriens (dont Hariri était l’un des principaux représentants), la Syrie, bien que niant en bloc toute implication, décida de retirer ses troupes. Depuis ce jour, le Liban a, à maintes reprises, menacé de sombrer dans le chaos de la guerre civile, et le Hezbollah, parti chiite pro-iranien qui gouverne de facto la partie méridionale, a affronté et repoussé l’invasion d’Israël au cours de l’été 2006.

Dès le début de l’affaire, de nombreux analystes ont relevé que Damas n’avait aucun avantage stratégique à tirer du meurtre d’Hariri, et qu’au contraire, la Syrie en avait subi les principales conséquences. La position accusatrice de Mehlis ne résista pas aux vérifications ultérieures. De fait, les preuves se montrèrent inconsistantes et certains témoignages-clefs se révélèrent totalement irrecevables. Le 29 avril dernier, c’est le coup de théâtre. Le juge Daniel Bellemare du Tribunal de l’ONU, qui avait entre-temps pris la succession de Detlev Mehlis, a demandé la libération des généraux libanais arrêtés en 2005 et toujours détenus sans aucun droit à la défense et contre lesquels les accusations étaient désormais levées.

Mustafa Hamdane, ex-chef de la Garde présidentielle, Jamil Sayed, directeur général de la Sécurité, Ali Haji, chef des Forces de sécurité intérieures et Raymond Azar, chef des Services secrets militaires, ont été remis en liberté. Par cet acte, le Tribunal a, de fait, fermé la piste syrienne concernant le meurtre d’Hariri.
 
Mais alors, à qui attribuer la responsabilité de l’attentat ?

Certaines révélations journalistiques ouvrent de nouveaux scénarios possibles. Récemment, le doyen du journalisme d’investigation américain Seymour Hersh a dénoncé l’existence d’un groupe opérationnel actif sous l’Administration Bush et sous le contrôle direct du vice-président Dick Cheney, du conseiller du Président, Karl Rove, et du responsable pour la Sécurité nationale Eliott Abrams. Ce groupe, composé d’éléments d’élite pour les opérations spéciales sous couverture, aurait été utilisé comme un véritable « escadron de la mort » pour l’élimination de personnalités politiques gênantes dans différentes parties du monde.
Les révélations de Hersh ont poussé le député démocrate et ex-candidat à la présidence, Dennis Kuchinich, à demander au Congrès américain l’ouverture d’une enquête.

Sur la base de ces révélations, un autre journaliste d’investigation, Wayne Madsen, connu pour ses accointances avec les services d’information américains, a déclaré lors d’une interview donnée sur la chaine TV Russia Today, qu’il avait obtenu auprès de différentes sources, la confirmation de l’existence de cette structure secrète et de ses liens avec une structure analogue israélienne. D’après Madsen, l’équipe contrôlée par Cheney serait impliquée dans l’homicide d’Hariri et de surcroit, l’ordre en aurait été donné par le vice-président lui-même.

Dans le passé, d’autres journalistes reconnus ont évoqué l’existence d’un tel groupe. Bob Woodward (connu pour avoir révélé le scandale du Watergate) avait écrit à ce propos dans le Washington Post jusqu’à fin 2002, et plus récemment le New York Times a rapporté la nouvelle de l’existence d’un « commando commun pour les opérations spéciales » qui échappait aux contrôles du ministère de la Défense, des dirigeants des Forces armées, et sans aucune supervision de la part du Congrès, mais qui rapportait directement à Cheney.

D’après Hersh, tout cela n’est pas nouveau. Dans les années 80 avec l’Administration Reagan-Bush, Dick Cheney (alors fonctionnaire à la Sécurité nationale) et Eliott Abrams (quand il était responsable du département d’État pour l’Amérique latine) avaient déjà travaillé ensemble à l’organisation des connexions « Iran-Contras » et à la création des « escadrons de la mort » actifs en Amérique centrale avec des missions anti-insurrectionnelles.

par Simone Santini, de Clarisse.it, paru sur Megachip le 10 mai 2009

Traduction de Christophe T. pour ReOpenNews
 

snake75

Mi-homme mi-cheval
J'ai toujours pensé que ce diable et ses démons sont à l'origine du mal et de la terreur qui règne dans le monde.

Inch'ALLAH qu'un cancer incurable, d'une douleur extrême lui ronge le corps et le cerveau très lentement afin qu'il se souvienne chaque jour du mal qu'il a répandu dans le monde.

IL a affirmé il y a qqes jours en réponse à un journaliste américain qu'il ne regrette rien de ce qu'il a fait et que s'il devait retourner en arrière, il referait exactement la même chose.
 
Prolongeant ces révélations, Wayne Madsen a déclaré avoir recoupé diverses sources et être en mesure d’affirmer que Dick Cheney avait ordonné l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais, Rafic Hariri (14 février 2005). Cette information surgit quelques semaines après l’installation par l’ONU du Tribunal spécial pour le Liban, principalement chargé de juger ce meurtre.

Et moi, après avoir recoupé diverses sources, je déclare que ce sont des martiens sorti de leur soucoupe volante qui ont fait le coup.
Faut rester sérieux, il faut un minimum de preuve pour accuser quelqu'un.
Quel mobile pour tuer Hariri pour les USA?:eek: ça ne tient pas la route.
 
la source (voltaire) est douteuse.

Azul,


j'ai deja lu l'article déja plus de deux semains, mais vue que c'étais en anglais j'ai pas posté
voltaire n'est pas la source de l'information, mais il a pris l'intiative de faire la traduction intégrale de l'article originale qui viens de l'un des plus grand journaux sérieux americains je parle ici de The New Yorker Journal, c'est eux qu'ont dévoiler cette affaire aprés un long travaile d'investigation trés serieux ..


d'ailleur si vous avez lu ce que j'ai écrit entre parthenése j'ai fait ce détails, que la source est une enquête de deux journalistes amerocains de New Yorker Journal.


si vous comprenez l'anglais voici l'intégralité de l'article :

http://www.newyorker.com/reporting/2009/04/06/090406fa_fact_hersh

donc la source est fiable et cette enquête succiste des débats en USA sur FoxNews, CNN, et chez BBC(UK ),sauf que les medias français ecrit et audiovisuelle


Bon Lecteur !

:)
 
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