Les pressions contre Dieudo ont échoué .
Après le nouveau "dérapage" du polémiste, le Zénith de la ville avait voulu résilier le contrat d’accueil du spectacle. La juge des référés a donné raison à Dieudonné.
Dieudonné, qui a pu jouer vendredi soir à Metz à l'issue d'une procédure d'urgence en justice, a également obtenu samedi, in extremis, le droit de se produire ce soir au Zénith de Strasbourg, en dépit de la résiliation de son contrat d'accueil.
Saisie par l'avocat de Dieudonné, Me Sanjay Mirabeau, la juge des référés du tribunal de Strasbourg lui a donné raison. Elle a ordonné à l'exploitant du Zénith de Strasbourg d'ouvrir les portes de la salle à l'artiste et à son équipe ainsi qu'aux spectateurs au moins une heure à l'avance, sous peine d'une astreinte de 80.000 euros.
Lors de l'audience, samedi matin, Me Mirabeau plaidé la nécessité de «respecter le droit des contrats». «Quel précédent créerait-on si on disait "on peut contracter, et puis la veille (du spectacle), si le bonhomme a une sale gueule, si c'est le démon, ou parce qu'on n'aime pas ce qu'il dit, alors on peut rejeter tout ce qui fait le fondement de notre droit"?», a demandé l'avocat du polémiste.
Après le nouveau "dérapage" du polémiste, le Zénith de la ville avait voulu résilier le contrat d’accueil du spectacle. La juge des référés a donné raison à Dieudonné.
Dieudonné, qui a pu jouer vendredi soir à Metz à l'issue d'une procédure d'urgence en justice, a également obtenu samedi, in extremis, le droit de se produire ce soir au Zénith de Strasbourg, en dépit de la résiliation de son contrat d'accueil.
Saisie par l'avocat de Dieudonné, Me Sanjay Mirabeau, la juge des référés du tribunal de Strasbourg lui a donné raison. Elle a ordonné à l'exploitant du Zénith de Strasbourg d'ouvrir les portes de la salle à l'artiste et à son équipe ainsi qu'aux spectateurs au moins une heure à l'avance, sous peine d'une astreinte de 80.000 euros.
Lors de l'audience, samedi matin, Me Mirabeau plaidé la nécessité de «respecter le droit des contrats». «Quel précédent créerait-on si on disait "on peut contracter, et puis la veille (du spectacle), si le bonhomme a une sale gueule, si c'est le démon, ou parce qu'on n'aime pas ce qu'il dit, alors on peut rejeter tout ce qui fait le fondement de notre droit"?», a demandé l'avocat du polémiste.