Vous définissez parfaitement la problématique. Des solutions passeront par une remise en question de notre manière de vivre mais sommes-nous prêts à changer ?
En d'autres termes, nous pouvons débloquer la situation mais le voulons-nous réellement ? Est-on prêt à perdre en confort pour le bien des autres ? C'est là toute la question (et je pense que la réponse est évidente).
C’est une bonne question, malheureusement de mon point de vue, enfin ce qu'il me semble constater c'est que l'intérêt personnel à court et moyens terme, prime plus que l’intérêt de l’ensemble des personnes de la planète pour l'instant, après on peut espérer un changement lent mais progressif au fur et à mesure que l’opinion puisse évoluer vers un bien-être collectif et plus humain.
Il faut que l'on comprenne que ce bien être sera profitable à tous sur le long terme, pour ceux qui ont des enfants, veulent ils que leurs progénitures vivent moins bien et dans la souffrance...
Peut être que justement c'est un confort momentanée qui ne sera peut être pas salutaire pour l'avenir.
Imaginons une crise économique grave ou autre qui impactera l'humain (qui à de grosse chance de se produire et qui se produit déjà ailleurs dans le monde) et que l'on doive drastiquement se serrer la ceinture, mettre moins d'appareils électrique en marche, moins de sortie, etc...
Ne serait ce pas plus difficile à supporter en ayant été "gâté" dans l'opulence, que de commencer à inculquer des valeurs simple de vie, vivre plus modestement (même si on a les moyens de plus, peut être penser à l'investir différemment bien que la majorité n'ont pas les moyens), faire plus avec moins et se réjouir de plaisir moins matérielle par exemple?