Dans une déclaration à Morocco World News, l’ambassade jordanienne a nié tout changement des conditions d’octroi du visa pour les femmes marocaines âgées entre 18 et 35 ans. Celle-ci précise « ne pas avoir reçu d’instructions concernant les visas pour les femmes marocaines ».
Un démenti aux informations publiées par nombre de médias assurant tous de « source autorisée » au sein du ministère des Affaires étrangères de la levée des conditions strictes entourant l’octroi du visa pour les femmes marocaines, suite un accord conclu entre Rabat et Amman.
Fin janvier dernier, une vive polémique avait éclaté suite au refus d’octroi d’un via à une marocaine employée de l’ONG britannique Oxfam au motif qu’elle n’était pas accompagnée par son « mahram », c’est-à-dire un membre de sa famille de sexe masculin agissant en garant, et n’ayant pas non plus d’autorisation du ministère de l’Intérieur jordanien pour voyager seule…
Une pétition en sa défense avait récolté plusieurs milliers de signatures et Nasser Bourita, ministre des affaires étrangères avait botté en touche au Parlement justifiant l’interdit par des considérations liées « au marché de l’emploi » en Jordanie… A l’époque, l’ambassadeur de Amman au Maroc, Hazim Al Khateb Attamimi, demeurait inflexible sur les conditions d’octroi du sésame…
Le ministre avait toutefois promis que le Maroc et la Jordanie négocieraient prochainement les moyens de lever certaines des contraintes pouvant entraver le déplacement des jeunes marocaines. Apparemment, le royaume hachémite n’est pas aussi pressé de voir les choses changer…
ledesk.ma
Un démenti aux informations publiées par nombre de médias assurant tous de « source autorisée » au sein du ministère des Affaires étrangères de la levée des conditions strictes entourant l’octroi du visa pour les femmes marocaines, suite un accord conclu entre Rabat et Amman.
Fin janvier dernier, une vive polémique avait éclaté suite au refus d’octroi d’un via à une marocaine employée de l’ONG britannique Oxfam au motif qu’elle n’était pas accompagnée par son « mahram », c’est-à-dire un membre de sa famille de sexe masculin agissant en garant, et n’ayant pas non plus d’autorisation du ministère de l’Intérieur jordanien pour voyager seule…
Une pétition en sa défense avait récolté plusieurs milliers de signatures et Nasser Bourita, ministre des affaires étrangères avait botté en touche au Parlement justifiant l’interdit par des considérations liées « au marché de l’emploi » en Jordanie… A l’époque, l’ambassadeur de Amman au Maroc, Hazim Al Khateb Attamimi, demeurait inflexible sur les conditions d’octroi du sésame…
Le ministre avait toutefois promis que le Maroc et la Jordanie négocieraient prochainement les moyens de lever certaines des contraintes pouvant entraver le déplacement des jeunes marocaines. Apparemment, le royaume hachémite n’est pas aussi pressé de voir les choses changer…
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