Diplômes privés: la tempête Daoudi

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petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
En déclarant qu’il ne sera jamais question d’équivalence entre les diplômes publics et les titres délivrés par les écoles privées et que ces établissements devront se contenter du mécanisme de l’accréditation, Lahcen Daoudi (voir L’Economiste du 20 février 2012) a réussi à mettre tout le secteur de l’enseignement supérieur privé sur son dos. Et surtout, à fédérer toute une profession. Quelques jours auparavant, il avait déjà fait passer le même message à quelques opérateurs, stupéfaits.
Dès le lendemain de la publication de son interview dans L’Economiste, les écoles privées ont été assaillies par les appels des parents, déstabilisés par les propos du ministre. Car, pour ces derniers comme pour le commun des mortels, le processus menant à la reconnaissance des diplômes délivrés par les écoles privées est une matière complexe (voir encadré plus bas). Au ministère, la poignée des cadres de l’Enseignement supérieur qui ont «vendu» cette réforme pendant des années aux promoteurs du privé, doivent se sentir aujourd’hui gênés par les sorties tonitruantes de leur ministre.
Passé la stupéfaction, c’est la colère et l’incompréhension qui l’emportent aujourd’hui chez les opérateurs. Dans la profession, on a du mal à décrypter les déclarations du ministre, encore moins le message qui serait derrière. La riposte s’organise comme nous l’avions annoncé dans notre édition du lundi dernier. La Conférence des grandes écoles (2/3 des effectifs du secteur) et les élus représentant le secteur dans les commissions paritaires ont tenu une réunion d’urgence. Il faut dire que les professionnels ont avec eux la loi portant organisation de l’enseignement supérieur qui prévoit explicitement la phase de l’équivalence des diplômes délivrés dans le privé.

http://www.leconomiste.com/article/891819-dipl-mes-priv-s-la-temp-te-daoudi
 
En déclarant qu’il ne sera jamais question d’équivalence entre les diplômes publics et les titres délivrés par les écoles privées et que ces établissements devront se contenter du mécanisme de l’accréditation, Lahcen Daoudi (voir L’Economiste du 20 février 2012) a réussi à mettre tout le secteur de l’enseignement supérieur privé sur son dos. Et surtout, à fédérer toute une profession. Quelques jours auparavant, il avait déjà fait passer le même message à quelques opérateurs, stupéfaits.
Dès le lendemain de la publication de son interview dans L’Economiste, les écoles privées ont été assaillies par les appels des parents, déstabilisés par les propos du ministre. Car, pour ces derniers comme pour le commun des mortels, le processus menant à la reconnaissance des diplômes délivrés par les écoles privées est une matière complexe (voir encadré plus bas). Au ministère, la poignée des cadres de l’Enseignement supérieur qui ont «vendu» cette réforme pendant des années aux promoteurs du privé, doivent se sentir aujourd’hui gênés par les sorties tonitruantes de leur ministre.
Passé la stupéfaction, c’est la colère et l’incompréhension qui l’emportent aujourd’hui chez les opérateurs. Dans la profession, on a du mal à décrypter les déclarations du ministre, encore moins le message qui serait derrière. La riposte s’organise comme nous l’avions annoncé dans notre édition du lundi dernier. La Conférence des grandes écoles (2/3 des effectifs du secteur) et les élus représentant le secteur dans les commissions paritaires ont tenu une réunion d’urgence. Il faut dire que les professionnels ont avec eux la loi portant organisation de l’enseignement supérieur qui prévoit explicitement la phase de l’équivalence des diplômes délivrés dans le privé.

http://www.leconomiste.com/article/891819-dipl-mes-priv-s-la-temp-te-daoudi

wa naaaaaaaaari jab'h'a frassou Daoudi !! lol

sabehi nour petitbijou !
ps : hier je t'ai posté une vidéo en guise de bonne nuit . mais tu n'es pas passé par l'autre tropic .
donc ,je te l'offre en guise de sbah lkeir .:

تقليد صوت المطر والرعد ابداع ‫تقليد صوت المطر والرعد ابداع‬‎ - YouTube
 
wa naaaaaaaaari jab'h'a frassou Daoudi !! lol

sabehi nour petitbijou !
ps : hier je t'ai posté une vidéo en guise de bonne nuit . mais tu n'es pas passé par l'autre tropic .
donc ,je te l'offre en guise de sbah lkeir .:

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sbah nor ya ouje8 lkhir
de toi @ moi je travaille avec des diplômés d'état (université en l'occurence) et des diplômés des écoles privées, et dans ma tête y a pas photo..l'assistanat, si j'ose dire dans le privé, fait que les esprits ne sont pas des esprits débrouillards, les bancs du public c'est tu marches ou crèves, et on aura beau pointer du doigt ce système seuls les plus vaillants y sortent indemnes et calés..à défaut peut être d'avoir un français parfait, ils ont la tête pleine :)
 
sbah nor ya ouje8 lkhir
de toi @ moi

je travaille avec des diplômés d'état (université en l'occurence) et des diplômés des écoles privées, et dans ma tête y a pas photo..l'assistanat, si j'ose dire dans le privé, fait que les esprits ne sont pas des esprits débrouillards, les bancs du public c'est tu marches ou crèves, et on aura beau pointer du doigt ce système seuls les plus vaillants y sortent indemnes et calés..à défaut peut être d'avoir un français parfait, ils ont la tête pleine :)
tu es sûre que personne ne nous entendu ? attention , parait les mûrs ont des oreilles !:D
j'approuve tout le reste .
 
En déclarant qu’il ne sera jamais question d’équivalence entre les diplômes publics et les titres délivrés par les écoles privées et que ces établissements devront se contenter du mécanisme de l’accréditation, Lahcen Daoudi (voir L’Economiste du 20 février 2012) a réussi à mettre tout le secteur de l’enseignement supérieur privé sur son dos. Et surtout, à fédérer toute une profession. Quelques jours auparavant, il avait déjà fait passer le même message à quelques opérateurs, stupéfaits.
Dès le lendemain de la publication de son interview dans L’Economiste, les écoles privées ont été assaillies par les appels des parents, déstabilisés par les propos du ministre. Car, pour ces derniers comme pour le commun des mortels, le processus menant à la reconnaissance des diplômes délivrés par les écoles privées est une matière complexe (voir encadré plus bas). Au ministère, la poignée des cadres de l’Enseignement supérieur qui ont «vendu» cette réforme pendant des années aux promoteurs du privé, doivent se sentir aujourd’hui gênés par les sorties tonitruantes de leur ministre.
Passé la stupéfaction, c’est la colère et l’incompréhension qui l’emportent aujourd’hui chez les opérateurs. Dans la profession, on a du mal à décrypter les déclarations du ministre, encore moins le message qui serait derrière. La riposte s’organise comme nous l’avions annoncé dans notre édition du lundi dernier. La Conférence des grandes écoles (2/3 des effectifs du secteur) et les élus représentant le secteur dans les commissions paritaires ont tenu une réunion d’urgence. Il faut dire que les professionnels ont avec eux la loi portant organisation de l’enseignement supérieur qui prévoit explicitement la phase de l’équivalence des diplômes délivrés dans le privé.

http://www.leconomiste.com/article/891819-dipl-mes-priv-s-la-temp-te-daoudi


Il a tout simplement raison ! Bravo Daouidi


PS: Les écoles privés au Maroc : Dfa3 floussek tanja7
 
sbah nor ya ouje8 lkhir
de toi @ moi je travaille avec des diplômés d'état (université en l'occurence) et des diplômés des écoles privées, et dans ma tête y a pas photo..l'assistanat, si j'ose dire dans le privé, fait que les esprits ne sont pas des esprits débrouillards, les bancs du public c'est tu marches ou crèves, et on aura beau pointer du doigt ce système seuls les plus vaillants y sortent indemnes et calés..à défaut peut être d'avoir un français parfait, ils ont la tête pleine :)

Mouais, ça dépend.
J'ai parlé à des diplômés de l'université et franchement c'est pas top. Ce défaut de ne pas avoir un français parfait est justement le principal problème. Pour les métiers techniques, ça passe mais dans le domaine du business ça les condamne dans la mesure où la langue des affaires reste le français.
 
Mouais, ça dépend.
J'ai parlé à des diplômés de l'université et franchement c'est pas top. Ce défaut de ne pas avoir un français parfait est justement le principal problème. Pour les métiers techniques, ça passe mais dans le domaine du business ça les condamne dans la mesure où la langue des affaires reste le français.
la langue ou la matière grise et le potentiel qui a dedans?

le choix serait vite fait pour moi car la langue on peut toujours l'apprendre avec le temps, faute d'apprentissage certainement dans le temps :)
 
la langue ou la matière grise et le potentiel qui a dedans?

le choix serait vite fait pour moi car la langue on peut toujours l'apprendre avec le temps, faute d'apprentissage certainement dans le temps :)

Pas forcément, j'ai eu un jour une cliente qui m'a imposé de lui ramener une personne qui parle bien le français en refusant celle que je lui proposais. J'ai pas eu d'autres choix de m’exécuter même si je n'approuvais pas sa décision.

Et on était même pas dans un poste qui nécessitait une bonne maîtrise de la langue.
 
Pas forcément, j'ai eu un jour une cliente qui m'a imposé de lui ramener une personne qui parle bien le français en refusant celle que je lui proposais. J'ai pas eu d'autres choix de m’exécuter même si je n'approuvais pas sa décision.

Et on était même pas dans un poste qui nécessitait une bonne maîtrise de la langue.
je parle de mon cas et de ceux que je cotoi à choisir entre une tête pleine et une personne qui parle bien français le choix est vite fait..ceci n'engage que moi et je crois que c'est pour ça que je suis pas chef d'entreprise :D
 
sbah nor ya ouje8 lkhir
de toi @ moi je travaille avec des diplômés d'état (université en l'occurence) et des diplômés des écoles privées, et dans ma tête y a pas photo..l'assistanat, si j'ose dire dans le privé, fait que les esprits ne sont pas des esprits débrouillards, les bancs du public c'est tu marches ou crèves, et on aura beau pointer du doigt ce système seuls les plus vaillants y sortent indemnes et calés..à défaut peut être d'avoir un français parfait, ils ont la tête pleine :)
Et le Daoudi a la tête pleine de préjugés et stéréotypes éhontés ,les plus prestigieuses écoles de France sont partenaires avec nos hautes écoles privées qui proposent pour la plupart un double diplôme ,celui de l'école et l'autre de l'université ou école Française mais seul problème il faut être vraiment nanti.
Et quelle qualité d'enseignement donnent nos universités publiques? J'ai eu le loisir de consulter des épreuves de première année littérature Française et j'ai relevé avec stupéfaction des épreuves du niveau plutôt collégial.
Si ce Monsieur a souvenir de l'université d'antan ,il va falloir qu'il se mette à jour ,parce que entre temps notre enseignement a coulé et c'est l'école publique qui en est responsable par ce que démissionnaire de sa noble tâche.
 
je parle de mon cas et de ceux que je cotoi à choisir entre une tête pleine et une personne qui parle bien français le choix est vite fait..ceci n'engage que moi et je crois que c'est pour ça que je suis pas chef d'entreprise :D

Ouep mais même toi tu t'exprimes très bien en Français. Essaye donc de passer un entretien pour un poste dans ton domaine en prenant un accent bien bledard.

Au bout de 5mn on te remerciera :D

Aujourd'hui il faut reconnaitre qu'on trouve de très bon potentiel dans les écoles privées et que les universités ont encore beaucoup d'effort à faire dans ce domaine là.

Un exemple concret : Beaucoup d'écoles de commerce enseignent désormais leurs cours uniquement en anglais et leur font passer des tests comme le TOEIC ou le TOEFL, ce qui permet aux élèves d'acquérir également un niveau correct dans cette langue.

Ils ne peuvent donc qu'être avantagé par rapport à des universitaires. A l'université donc de s'adapter et d'aller plus loin.
 
Ouep mais même toi tu t'exprimes très bien en Français. Essaye donc de passer un entretien pour un poste dans ton domaine en prenant un accent bien bledard.

Au bout de 5mn on te remerciera :D

Aujourd'hui il faut reconnaitre qu'on trouve de très bon potentiel dans les écoles privées et que les universités ont encore beaucoup d'effort à faire dans ce domaine là.

Un exemple concret : Beaucoup d'écoles de commerce enseignent désormais leurs cours uniquement en anglais et leur font passer des tests comme le TOEIC ou le TOEFL, ce qui permet aux élèves d'acquérir également un niveau correct dans cette langue.

Ils ne peuvent donc qu'être avantagé par rapport à des universitaires. A l'université donc de s'adapter et d'aller plus loin.
ben il y en a dans ma boite et ils sont embauchés malgré ce qu'on peut appeler 'handicap' et y sont depuis plusieurs années..

en tout cas perso, même étant issue du privé je valoriserait mieux le public si ce n'est que par mérite au vu des moyens qui manquent et ils réussissent :)
 
ben il y en a dans ma boite et ils sont embauchés malgré ce qu'on peut appeler 'handicap' et y sont depuis plusieurs années..

en tout cas perso, même étant issue du privé je valoriserait mieux le public si ce n'est que par mérite au vu des moyens qui manquent et ils réussissent :)

Je mets un petit bemol, on trouve aussi dans le privé des jeunes dont les parents se saignent pour leur payer leurs études alors qu'ils n'ont pas vraiment les moyens. Tu peux aussi y trouver de bons profils.

Il ne faut pas tomber dans l'excès qui consiste à rejeter de facto telle ou telle catégorie d'étudiant

Perso, ceux que je trouve les plus exécrables sont les iscaistes, ils se la racontent un peu trop lol
 
Pas forcément, j'ai eu un jour une cliente qui m'a imposé de lui ramener une personne qui parle bien le français en refusant celle que je lui proposais. J'ai pas eu d'autres choix de m’exécuter même si je n'approuvais pas sa décision.

Et on était même pas dans un poste qui nécessitait une bonne maîtrise de la langue.


C'est privilégié la forme que le fond... dans bien des cas on insiste sur la connaissance de langues étrangères pour communiquer la très grande majorité du temps avec... d'autres marocains.
 
Je mets un petit bemol, on trouve aussi dans le privé des jeunes dont les parents se saignent pour leur payer leurs études alors qu'ils n'ont pas vraiment les moyens. Tu peux aussi y trouver de bons profils.

Il ne faut pas tomber dans l'excès qui consiste à rejeter de facto telle ou telle catégorie d'étudiant

Perso, ceux que je trouve les plus exécrables sont les iscaistes, ils se la racontent un peu trop lol


sans oublier ceux de l'ESCA :langue:

je ne tombe dans aucun piège je parle en général, et j'ai beaucoup de respect pour les parents qui se saignent et j'en connais
 
C'est privilégié la forme que le fond... dans bien des cas on insiste sur la connaissance de langues étrangères pour communiquer la très grande majorité du temps avec... d'autres marocains.

Je suis tout à fait d'accord mais malheureusement le complexe est encore profond chez nous
 
Mouais, ça dépend.
J'ai parlé à des diplômés de l'université et franchement c'est pas top. Ce défaut de ne pas avoir un français parfait est justement le principal problème. Pour les métiers techniques, ça passe mais dans le domaine du business ça les condamne dans la mesure où la langue des affaires reste le français.
Ils sont faible sur tous les plans y compris technique. (sauf exception et 2 fac H2 et M5)

Et Daoudi devrait se faire plus humble au vu de son propre parcours :D

Mais il se fait du souci pour rien , les entreprises et les RH's connaissent très bien le niveau de tous les diplomés (c'est aussi bcp sont au chomage sauf éventuels et exceptionnel pistonés)
et qu'un bac+5 médiocre de l'université ou d'une ecole privé n'aura jamais plus que le boulot d'un technicien. pas sure qu'ils soient doué pour non plus.

au maroc comme en france c'est :
les ingé d'états diplomé de grandes écoles post prepa
l'iscae (puisqu'il n y a qu elle :/ )
...

gouffre immense en terme de niveau et débouchés

...
les grandes écoles post bac (ENCG / ENSA's )


les faqueux et dip.privés :/
 
Je mets un petit bemol, on trouve aussi dans le privé des jeunes dont les parents se saignent pour leur payer leurs études alors qu'ils n'ont pas vraiment les moyens. Tu peux aussi y trouver de bons profils.

Il ne faut pas tomber dans l'excès qui consiste à rejeter de facto telle ou telle catégorie d'étudiant

Perso, ceux que je trouve les plus exécrables sont les iscaistes, ils se la racontent un peu trop lol


Sanzo, ça me fait penser à ma cousine, je ne sais pas ce qui lui a pris, je l'ai connu modeste, douce et vraiment touchante, puis elle est allée à skhirat à l'ISCA, incroyable le changement, je ne l'ai pas reconnu.
En 3 ans elle est devenue exécrable, dénigre à tout va, part dans des débats sans fin juste pour tenir tête et avoir raison. S'exprime avec des manières...bref son changement était radical. Je ne généralise pas (vu que je ne connais pas ) mais c'est laid.

Elle est venue sur Paris récemment dans le cadre du salon immobilier marocain à Paris (avec son entreprise) oula c'était un florilège de fausses manières, mon mari a refusé de la recevoir à diner à la maison, motif "nan pas cette michtonneuse!"....:D

Enfin, c'est dommage, que certains s'imprègnent du renommée de leurs écoles pour dénigrer les autres. Je suis pourtant issue d'une famille à majorité étudiant de lyautey (père...) mais je n'ai jamais ressentie ce genre d'attitude. Je ne pense donc pas que ce soit commun aux écoles privées ..nan?
 
Ouep mais même toi tu t'exprimes très bien en Français. Essaye donc de passer un entretien pour un poste dans ton domaine en prenant un accent bien bledard.

Au bout de 5mn on te remerciera :D

Aujourd'hui il faut reconnaitre qu'on trouve de très bon potentiel dans les écoles privées et que les universités ont encore beaucoup d'effort à faire dans ce domaine là.

Un exemple concret : Beaucoup d'écoles de commerce enseignent désormais leurs cours uniquement en anglais et leur font passer des tests comme le TOEIC ou le TOEFL, ce qui permet aux élèves d'acquérir également un niveau correct dans cette langue.

Ils ne peuvent donc qu'être avantagé par rapport à des universitaires. A l'université donc de s'adapter et d'aller plus loin.
On a tous un accent au Maroc.Je n'ai jamais entendu un marocain parlait sans accent. même les journalistes francophones parlent avec un accent, Ali ammar, Boubakr Jamaï.... même quand c'est léger c'est facile à distinguer d'un accent parisien. Même des marocains nées et éduqués en France gardent un petit accent, exemple: Hadji, Kharja...et tous les autres ont un léger accent. C'est vrai que certains n'est pas un problème d'accent qu'ils ont, mais ils ne parlent carrément pas français, juste des mots en français sans aucune règle, c'est une darija francisée
 
Ils sont faible sur tous les plans y compris technique. (sauf exception et 2 fac H2 et M5)

Et Daoudi devrait se faire plus humble au vu de son propre parcours :D

Mais il se fait du souci pour rien , les entreprises et les RH's connaissent très bien le niveau de tous les diplomés (c'est aussi bcp sont au chomage sauf éventuels et exceptionnel pistonés)
et qu'un bac+5 médiocre de l'université ou d'une ecole privé n'aura jamais plus que le boulot d'un technicien. pas sure qu'ils soient doué pour non plus.

au maroc comme en france c'est :
les ingé d'états diplomé de grandes écoles post prepa
l'iscae (puisqu'il n y a qu elle :/ )
...

gouffre immense en terme de niveau et débouchés

...
les grandes écoles post bac (ENCG / ENSA's )


les faqueux et dip.privés :/
Si j'ai bien suivi, t'es encore étudiant et tu te permets de juger le niveau d'autres étudiants que tu n'as jamais fréquenté et tu n'as jamais travaillé avec eux. Je connais beaucoup des étudiants de ces facs que tu trouve nulles et qui ont réussi à poursuivre leurs études en France ou ailleurs et ils ont obtenu des doctorats et sont professeurs en université, directeurs de recherches...
 
Sanzo, ça me fait penser à ma cousine, je ne sais pas ce qui lui a pris, je l'ai connu modeste, douce et vraiment touchante, puis elle est allée à skhirat à l'ISCA, incroyable le changement, je ne l'ai pas reconnu.
En 3 ans elle est devenue exécrable, dénigre à tout va, part dans des débats sans fin juste pour tenir tête et avoir raison. S'exprime avec des manières...bref son changement était radical. Je ne généralise pas (vu que je ne connais pas ) mais c'est laid.

Elle est venue sur Paris récemment dans le cadre du salon immobilier marocain à Paris (avec son entreprise) oula c'était un florilège de fausses manières, mon mari a refusé de la recevoir à diner à la maison, motif "nan pas cette michtonneuse!"....:D

Enfin, c'est dommage, que certains s'imprègnent du renommée de leurs écoles pour dénigrer les autres. Je suis pourtant issue d'une famille à majorité étudiant de lyautey (père...) mais je n'ai jamais ressentie ce genre d'attitude. Je ne pense donc pas que ce soit commun aux écoles privées ..nan?

nan c'est une mentalité tres "iscaiste", on arrête pas de leur dire qu'ils sont une élite et au bout d'un moment ils y croient vraiment.

Je reconnais que le niveau des élèves de l'iscae est excellent en comparaison des autres écoles et ils bénéficient d'un très bon réseau dans le privé mais ça n'interdit pas un minimum d'humilité. Enfin je jugerai sur pièce bientôt vu que je devrais les avoir comme élève prochainement :langue:
 
On a tous un accent au Maroc.Je n'ai jamais entendu un marocain parlait sans accent. même les journalistes francophones parlent avec un accent, Ali ammar, Boubakr Jamaï.... même quand c'est léger c'est facile à distinguer d'un accent parisien. Même des marocains nées et éduqués en France gardent un petit accent, exemple: Hadji, Kharja...et tous les autres ont un léger accent. C'est vrai que certains n'est pas un problème d'accent qu'ils ont, mais ils ne parlent carrément pas français, juste des mots en français sans aucune règle, c'est une darija francisée

Ce n'est pas vraiment l'accent qui pose problème mais le niveau de français qui laisse à désirer dans les universités. Perso je ne dénigre bien évidemment pas l'université, je dis juste qu'elle connait le même souci qu'ont connu les universités françaises, à savoir une faiblesse dans les matières qui nécessite beaucoup de communication et une absence de self assessment qui permettrait aux étudiants de faire leur propre bilan.
 
On a tous un accent au Maroc.Je n'ai jamais entendu un marocain parlait sans accent. même les journalistes francophones parlent avec un accent, Ali ammar, Boubakr Jamaï.... même quand c'est léger c'est facile à distinguer d'un accent parisien. Même des marocains nées et éduqués en France gardent un petit accent, exemple: Hadji, Kharja...et tous les autres ont un léger accent. C'est vrai que certains n'est pas un problème d'accent qu'ils ont, mais ils ne parlent carrément pas français, juste des mots en français sans aucune règle, c'est une darija francisée


ci pas vrééééé :eek:
 
Même des marocains nées et éduqués en France gardent un petit accent, exemple: Hadji, Kharja...et tous les autres ont un léger accent.

J'avais pas fait gaffe à ce passage :)

Désolé mais là pour le coup tu dis n'importe quoi, le marocain né à marseille aura l'accent marseillais et celui de paris l'accent parisien. certains ne parlent même pas arabe c'est dire à quel point ils peuvent être déconnecté du pays d'origine
 
Si j'ai bien suivi, t'es encore étudiant et tu te permets de juger le niveau d'autres étudiants que tu n'as jamais fréquenté et tu n'as jamais travaillé avec eux. Je connais beaucoup des étudiants de ces facs que tu trouve nulles et qui ont réussi à poursuivre leurs études en France ou ailleurs et ils ont obtenu des doctorats et sont professeurs en université, directeurs de recherches...
bah oui ou est le problème, je ne juge pas je ne fait que rapporter les jugements des RH et des entreprises ...

et pour l'accent t'as tout faux, j'ai plusieurs marocains autour de moi qui n'ont pas ce pb, c'est propre a certains fils d'immigrés par contre :/
 
ci pas vrééééé :eek:

Peut être que je me trompe, je confonds entre voix et accent, j'ai tendance à penser que tout le monde a un accent propre à lui, pour moi l'accent de Sarkozy est différent de l'accent de Hollande.
J'avais pas fait gaffe à ce passage :)

Désolé mais là pour le coup tu dis n'importe quoi, le marocain né à marseille aura l'accent marseillais et celui de paris l'accent parisien. certains ne parlent même pas arabe c'est dire à quel point ils peuvent être déconnecté du pays d'origine
L'enfant avant d'aller à l'école, il est en contact avec sa famille, donc il apprend aussi bien de sa famille que de l'école, et la première chose qu'il apprend est de prononcer les mots exactement comme sa mère, d'où ma remarque que pour certains lettres comme les "t" et "r", il y a un petit chouïa de différence. De là je ne veux pas dire que les arabes ont accent propre à eux en France, je fais la différence en intra-groupe, la différence d'accent entre marseillais ou entre nordistes... je pense que j'exagère un peu la comparaison.
bah oui ou est le problème, je ne juge pas je ne fait que rapporter les jugements des RH et des entreprises ...

et pour l'accent t'as tout faux, j'ai plusieurs marocains autour de moi qui n'ont pas ce pb, c'est propre a certains fils d'immigrés par contre :/
Excusez moi mais un RH n'a aucune compétence pour juger une compétence technique, leurs trucs c'est bla bla... la communication. C'est le manager qui évalue la compétence technique d'un candidat. Contrairement à ces préjugés négatifs, réussir en université demande beaucoup d'efforts et dans certains disciplines plus que la moitié des étudiants échouent en première année d'université.
Un accent ce n'est pas un problème, l'important est de respecter les règles de la langue,exemple Pape Diouf a un accent africain mais son français est excellent, pareil au Maroc on peut trouver des gens qui ont assimilé une manière de parler pour autant leur français n'est pas si brillant que ça et d'autres ont un accent maghrébin et ils ne commettent jamais d'erreurs de langue.
 
J'avais pas fait gaffe à ce passage :)

Désolé mais là pour le coup tu dis n'importe quoi, le marocain né à marseille aura l'accent marseillais et celui de paris l'accent parisien. certains ne parlent même pas arabe c'est dire à quel point ils peuvent être déconnecté du pays d'origine
sans généraliser y a des cas ou réellement ces personnes ont un accent, par exemple le T prononcé..ça existe :)

bref là n'est pas le sujet..revenons à Mr Daoudi
 
Excusez moi mais un RH n'a aucune compétence pour juger une compétence technique, leurs trucs c'est bla bla... la communication. C'est le manager qui évalue la compétence technique d'un candidat. Contrairement à ces préjugés négatifs, réussir en université demande beaucoup d'efforts et dans certains disciplines plus que la moitié des étudiants échouent en première année d'université.
Un accent ce n'est pas un problème, l'important est de respecter les règles de la langue,exemple Pape Diouf a un accent africain mais son français est excellent, pareil au Maroc on peut trouver des gens qui ont assimilé une manière de parler pour autant leur français n'est pas si brillant que ça et d'autres ont un accent maghrébin et ils ne commettent jamais d'erreurs de langue.
oui pardon, pas les RH mais les opérationnel. il est indéniable que les élèves a la fac sont les derniers de la chaines pour ce qui est de devenir cadre. cela ne fait nullement l'objet d'un débat, que ce soit en théorie ou en pratique ils n'ont pas le 1/3 de la maîtrise des autres.
que ce soit dure pour réussir pour certains je veux bien, mais mettons les sur des filières sélectives ils auront bien plus de problèmes.*
 
En déclarant qu’il ne sera jamais question d’équivalence entre les diplômes publics et les titres délivrés par les écoles privées et que ces établissements devront se contenter du mécanisme de l’accréditation, Lahcen Daoudi (voir L’Economiste du 20 février 2012) a réussi à mettre tout le secteur de l’enseignement supérieur privé sur son dos. Et surtout, à fédérer toute une profession. Quelques jours auparavant, il avait déjà fait passer le même message à quelques opérateurs, stupéfaits.
Dès le lendemain de la publication de son interview dans L’Economiste, les écoles privées ont été assaillies par les appels des parents, déstabilisés par les propos du ministre. Car, pour ces derniers comme pour le commun des mortels, le processus menant à la reconnaissance des diplômes délivrés par les écoles privées est une matière complexe (voir encadré plus bas). Au ministère, la poignée des cadres de l’Enseignement supérieur qui ont «vendu» cette réforme pendant des années aux promoteurs du privé, doivent se sentir aujourd’hui gênés par les sorties tonitruantes de leur ministre.
Passé la stupéfaction, c’est la colère et l’incompréhension qui l’emportent aujourd’hui chez les opérateurs. Dans la profession, on a du mal à décrypter les déclarations du ministre, encore moins le message qui serait derrière. La riposte s’organise comme nous l’avions annoncé dans notre édition du lundi dernier. La Conférence des grandes écoles (2/3 des effectifs du secteur) et les élus représentant le secteur dans les commissions paritaires ont tenu une réunion d’urgence. Il faut dire que les professionnels ont avec eux la loi portant organisation de l’enseignement supérieur qui prévoit explicitement la phase de l’équivalence des diplômes délivrés dans le privé.

http://www.leconomiste.com/article/891819-dipl-mes-priv-s-la-temp-te-daoudi

La loi peut être changée quand on a la majorité.

L'idée est de réhabiliter les écoles et l'université publics ainsi que le diplôme national dévalorisé par les anciens gouvernements, en poussant les professeurs à donner le max dans le public, plutôt que de servir le privé aux dépends des instituts étatiques.

Le but est également de privilégier la qualité sur la quantité. Par exemple, le métier d'ingénieur était très valorisé et valorisant jadis, aujourd'hui on s'y perd, et des milliers de gens affirment être des ingénieurs, sans avoir la qualification requise. Certains diplômes s'achètent presque, et ce n'est par ce mécanisme qu'on produira des cadres qui donneront la poussée nécessaire à l'économie de ce pays.
 
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