Honteux !!!
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Le directeur d'une école à Marrakech a annexé à son logement de fonction un jardin d'enfants trisomiques.
Le centre Malaika (les Anges) pour les enfants trisomiques à Marrakech vit des heures pénibles. Le directeur de l'école Sidi Belabès, au sein de laquelle se trouve ce centre, vient d'installer une "barrière", privant ces enfants à besoins spécifiques d'un important espace faisant partie et indispensable à leur prise en charge.
Créé en 2010, le centre, le premier du genre dans la ville ocre, offre gracieusement ses services aux enfants trisomiques. Ils sont aujourd'hui près de 130 à bénéficier d'une prise en charge pointue, avec un effort de soutien thérapeutique incluant les arts et le jardinage.
Samedi 10 novembre, le responsable en question est allé plus loin dans ses "provocations". En effet, il a installé une barrière en zinc (voir photo), privant ainsi les enfants du centre Malaika d'un espace vital qui leur servait d'apprentissage du jardinage.
"Nous n'avons pas compris cette démarche inopportune et hasardeuse, d'autant plus que nous n'avons pas été mis au courant. Nous avons été pris au dépourvu", s'indigne Darya Mazdaoui. Son amertume est d'autant plus grande que c'est l'association qu'elle dirige qui avait aménagé cet espace vert, et ce, grâce au concours de mécènes et d'ONG.
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Le directeur d'une école à Marrakech a annexé à son logement de fonction un jardin d'enfants trisomiques.
Le centre Malaika (les Anges) pour les enfants trisomiques à Marrakech vit des heures pénibles. Le directeur de l'école Sidi Belabès, au sein de laquelle se trouve ce centre, vient d'installer une "barrière", privant ces enfants à besoins spécifiques d'un important espace faisant partie et indispensable à leur prise en charge.
Créé en 2010, le centre, le premier du genre dans la ville ocre, offre gracieusement ses services aux enfants trisomiques. Ils sont aujourd'hui près de 130 à bénéficier d'une prise en charge pointue, avec un effort de soutien thérapeutique incluant les arts et le jardinage.
Samedi 10 novembre, le responsable en question est allé plus loin dans ses "provocations". En effet, il a installé une barrière en zinc (voir photo), privant ainsi les enfants du centre Malaika d'un espace vital qui leur servait d'apprentissage du jardinage.
"Nous n'avons pas compris cette démarche inopportune et hasardeuse, d'autant plus que nous n'avons pas été mis au courant. Nous avons été pris au dépourvu", s'indigne Darya Mazdaoui. Son amertume est d'autant plus grande que c'est l'association qu'elle dirige qui avait aménagé cet espace vert, et ce, grâce au concours de mécènes et d'ONG.