Disparition du journaliste khashoggi : pression us sur les saoudiens pour connaître la vérité

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Affaire Khashoggi. L'Arabie saoudite reconnaît que le journaliste a été drogué avant d'être assassiné


Le parquet saoudien en charge de l'enquête sur la mort du journaliste Jamal Khashoggi, qui a été tué lors d'un passage par le consulat saoudien d'Istanbul, a révélé que le journaliste avait été drogué avant d'être assassiné puis démembré au consulat. La peine de mort a été requise contre les assassins du journaliste et éditorialiste très critique du pouvoir saoudien.


Le parquet saoudien a requis ce jeudi la peine de mort contre cinq responsables du royaume accusés dans le meurtre de Jamal Khashoggi, indiquant que le journaliste avait été drogué et démembré au sein du consulat de son pays à Istanbul, selon le procureur général.

D'après le porte-parole du parquet, Khashoggi, éditorialiste critique du pouvoir, en particulier du prince héritier Mohammed ben Salmane dit « MBS », a été tué le 2 octobre après avoir été drogué au consulat de son pays à Istanbul, où il a été démembré par cinq responsables saoudiens.
 

Drianke

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Affaire Khashoggi : le roi Salman d'Arabie en campagne à travers le royaume pour sauver MBS

Pendant que des dissensions apparaissent au sein de la famille royale, le roi d'Arabie saoudite continue de protéger son fils, accusé par la CIA d'avoir commandité le meurtre de Jamal Khashoggi.

À ceux qui doutaient du soutien du roi à son fils préféré, malmené après l'assassinat de Jamal Khashoggi, celui-ci vient d'apporter un démenti très clair. Dans son premier discours public depuis le meurtre du journaliste dissident le 2 octobre au consulat saoudien d'Istanbul, Salman a fait l'éloge lundi des réformes engagées par le prince héritier, Mohammed Ben Salman (MBS), que la CIA accuse d'être derrière l'élimination du célèbre opposant. Devant le Majlis al-Choura, une assemblée consultative, le monarque s'est félicité du programme de réformes économiques de son fils pour créer des emplois et sortir du tout-pétrole. Bref, pas le moindre signe visible d'un lâchage.


lefigaro
 
Pendant près de quatre ans, le prince héritier Mohammed bin Salman a été à l'honneur.
Au cours de cette période, l'homme fort de l'État du désert a déclenché une catastrophe humanitaire au Yémen, cherché des disputes avec le Qatar, élargi la dictature et démembré un journaliste.
Cet homme devrait-il vraiment devenir roi?
 

Yoel1

VIB
Pendant près de quatre ans, le prince héritier Mohammed bin Salman a été à l'honneur.
Au cours de cette période, l'homme fort de l'État du désert a déclenché une catastrophe humanitaire au Yémen, cherché des disputes avec le Qatar, élargi la dictature et démembré un journaliste.
Cet homme devrait-il vraiment devenir roi?
Macron, le prince MBZ et les 84 000 enfants morts de faim
https://www.ledauphine.com/france-m...rince-mbz-et-les-84-000-enfants-morts-de-faim
 

Drianke

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Affaire Khashoggi : la France sanctionne 18 Saoudiens liés à l'assassinat du journaliste

Ils se verront interdire l'accès au territoire national ainsi qu'à l'ensemble de l'espace Schengen.

France Info
 

bendirman

Bladinaute averti
Selon Edward Snowden, Israël impliqué indirectement dans le meurtre du journaliste
Edward Snowden a avancé la thèse qu’Israël est impliqué d’une manière indirect dans le meurtre du journaliste saoudien, Jamal Khashoggi.
Selon cette théorie, Israël aurait fourni un logiciel espion à Riyad pour permettre de tracer le journaliste.

Selon le Figaro, des ventes de matériel d’espionnage et de surveillance par Tel Aviv aux pays du Golfe, notamment à l’Arabie saoudite, ont eu lieu pour traquer leurs dissidents. Et il semblerait que ces ventes ne soient pas étrangères au long temps de réaction et à la déclaration extrêmement brève de M. Netanyahu sur cet assassinat.

Selon la même source, Benjamin Netanyahu n’a pas fait un seul commentaire en public sur le meurtre du journaliste saoudien qui a eu lieu le 2 octobre 2018.

Un mois plus tard, le Premier ministre israélien a simplement décrit l’assassinat d’horrible précisant que la stabilité du royaume est primordial puisque l’Iran est un problème plus important.
 

mioulo

VIB
Comme s'ils avaient la moindre envie de passer l'hiver à Courchevel ou à Innsbruck
Les palaces marocains suffiront à leur délassement.

ça fait des années déjà qu'ils préfèrent la suisse et l'angleterre
tu crois qu'ils n'ont que la maroc ou la france ??? mdrrrrrrrrrr c'est vraiment pas connaître leurs habitudes, ils voyagent plus en asie qu'en europe, ils aiment aussi bcp la turquie, la malaisie, et je tairais le pays africain où ils aiment se détendre
 
horrible crime vraiment
ça fait des années déjà qu'ils préfèrent la suisse et l'angleterre
tu crois qu'ils n'ont que la maroc ou la france ??? mdrrrrrrrrrr c'est vraiment pas connaître leurs habitudes, ils voyagent plus en asie qu'en europe, ils aiment aussi bcp la turquie, la malaisie, et je tairais le pays africain où ils aiment se détendre
 
Le meurtre de Khashoggi "planifié et perpétré" par des représentants de l'Etat saoudien, selon l'ONU

La rapporteure spéciale de l'ONU sur les exécutions extrajudiciaires a affirmé jeudi détenir des "preuves" montrant que le "meurtre" du journaliste saoudien Jamal Khashoggi avait été "planifié et perpétré par des représentants de l'Etat d'Arabie saoudite".

Dans un communiqué, Agnès Callamard a souligné que ce "meurtre" était "prémédité" et constituait "la violation la plus grave du droit le plus fondamental de tous, le droit à la vie".

https://www.rtbf.be/info/monde/deta...ts-de-l-etat-saoudien-selon-l-onu?id=10139867
 
Alors que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi, disparu depuis le 2 octobre après s'être rendu au consulat d'Arabie saoudite à Istanbul est toujours introuvable, et que la piste de son assassinat est évoquée par les autorités turques, Donald Trump a demandé des comptes à Riyad.

"Nous voulons savoir ce qu'il se passe". Donald Trump a réclamé mercredi des explications à l'Arabie saoudite sur le sort de Jamal Khashoggi, ce journaliste saoudien exilé aux Etats-Unis, et disparu depuis plus d'une semaine à Istanbul, après la révélation d'éléments accréditant la thèse de sa capture ou de son assassinat par des agents de son pays.


Washington demande de la "transparence" à Riyad

Le président des États-Unis a déclaré mercredi à la presse à Washington s'être entretenu "au plus haut niveau" avec les Saoudiens, et ce "plus d'une fois", au sujet de Jamal Khashoggi, qui n'a plus donné signe de vie depuis qu'il est entré dans le consulat saoudien d'Istanbul le 2 octobre.

"Nous sommes très déçus de voir ce qui se passe. Nous n'aimons pas ça" et "nous voulons savoir ce qu'il se passe là-bas", a-t-il assuré.

"Ce ne serait pas une bonne chose du tout" si une implication des Saoudiens s'avérait, a-t-il dit tard dans la soirée à la chaîne Fox News.


La Maison Blanche a précisé que deux des plus proches conseillers du président, son gendre Jared Kushner et le responsable du conseil de Sécurité nationale John Bolton, avaient parlé mardi au prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane.

Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a tenu à "réitérer" les demandes de Washington: "des détails" sur la disparition et "la transparence du gouvernement saoudien concernant l'enquête".

Des communications interceptées
Donald Trump a également dit être en contact avec la fiancée turque du journaliste, Hatice Cengiz, qui avait demandé son aide et celle de son épouse Melania pour "faire la lumière" sur cette affaire.

En parallèle, des sénateurs américains, républicains et démocrates, ont activé une loi qui oblige Donald Trump à rendre des conclusions sur ces faits au Congrès américain d'ici 120 jours.

S'il établit qu'un ressortissant étranger s'est rendu coupable d'une exécution sommaire, de torture ou d'autres atteintes aux droits de Jamal Khashoggi, alors Washington pourra imposer des sanctions contre cette ou ces personnes.

Selon le Washington Post, les services de renseignement américains avaient intercepté, avant sa disparition, des communications entre responsables saoudiens évoquant son enlèvement. "Les États-Unis n'avaient pas d'informations à l'avance sur la disparition de Jamal Khashoggi", ou d'éventuelles menaces, a répondu mercredi un porte-parole du département d'Etat américain, Robert

Le Royaume-Uni n'est pas en reste car Jeremy Hunt, ministre des Affaires étrangères, a déclaré: "Si ces allégations sont vraies, il y aura de graves conséquences car notre amitié et nos partenariats sont fondés sur des valeurs communes".

Enlevé ou assassiné ?

Selon la police turque, Jamal Khashoggi n'est jamais ressorti de la mission diplomatique, et des sources proches de l'enquête ont affirmé qu'il y avait été assassiné.

Mais certains médias ont évoqué mardi la possibilité qu'il ait été enlevé et emmené en Arabie saoudite.

Riyad a de son côté fermement démenti la thèse de l'assassinat, assurant que le journaliste avait bien quitté le consulat.

Dans des propos rapportés, tenus dans l'avion qui le ramenait de Hongrie en Turquie, le président turc Recep Tayyip Erdogan, a affiché son scepticisme: "Si un moustique sort (du consulat), leurs systèmes de caméras vont l'intercepter". "Cet incident s'est déroulé dans notre pays. Nous ne pouvons rester silencieux", a-t-il ajouté.

D'après des images de vidéosurveillance diffusées mercredi par des télévisions turques, ce critique du pouvoir de Riyad, qui écrit notamment pour le Washington Post, est entré le 2 octobre à 13h14 dans le consulat, où il avait rendez-vous pour des démarches administratives.

(..)

Les autorités turques ont obtenu mardi l'autorisation de fouiller le consulat saoudien, mais cette fouille n'a pas encore eu lieu.

Le journaliste saoudien s'était exilé en 2017 aux États-Unis, après être tombé en disgrâce à la cour du puissant Mohammed ben Salmane.

Dans une interview réalisée par la BBC trois jours avant sa disparition, Jamal Khashoggi affirmait ne pas avoir l'intention de revenir dans son pays, de crainte d'y être arrêté.


Bfm.tv


Et tous les pauvres types enlevés comme des chien et stockés comme du bétail à Guantanamo, en Israël et en Irak ????? On fait quoi pour eux???
 
Et tous les pauvres types enlevés comme des chien et stockés comme du bétail à Guantanamo, en Israël et en Irak ????? On fait quoi pour eux???

grave ils emprisonnent n importe qui et tue des millions de gens et viennent ouvrir leur bouche ces crimminels
qu il s occupe de leur veteran toxicoman et sdf traumatisé par les afghans
 

Drianke

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Affaire Jamal Khashoggi : Cinq personnes condamnées à mort par le tribunal saoudien

PROCES Jamal Khashoggi a été assassiné en octobre 2018 au consulat saoudien à Istanbul

Cinq Saoudiens ont été condamnés à mort pour l’assassinat du journaliste saoudien, Jamal Khashoggi, mais deux des principaux suspects ont été disculpés, a annoncé le procureur général d’Arabie saoudite, ce lundi.
« Le tribunal a condamné à mort cinq hommes qui ont directement participé à l’assassinat », a indiqué le procureur dans un communiqué.

« Faute de preuves »

Aucune accusation n’a été retenue contre Saoud al-Qahtani, un proche conseiller du prince héritier Mohammed ben Salmane, a ajouté le procureur, indiquant que l’ancien numéro deux du renseignement, le général Ahmed al-Assiri, a été acquitté. Le général Assiri était soupçonné d’avoir supervisé l’assassinat du chroniqueur du Washington Post au consulat du royaume à Istanbul en octobre 2018 et d’avoir été conseillé par Saoud al-Qahtani, confident du prince héritier Mohammed ben Salmane et conseiller royal.
Saoud al-Qahtani a été interrogé mais n’a pas été inculpé « faute de preuves » et le général Assiri a été inculpé mais acquitté pour les mêmes raisons, selon le communiqué du procureur général.

« Nous avons conclu que le meurtre de Khashoggi n’a pas été prémédité »

Sur les 11 personnes qui ont été inculpées dans cette affaire, cinq ont été condamnées à mort, trois à des peines de prison totalisant 24 ans, et les autres ont été acquittées. Selon le communiqué, le tribunal de Ryad chargé de l’affaire a tenu au total neuf audiences en présence de représentants de la communauté internationale ainsi que de proches de Jamal Khashoggi.
« Nous avons conclu que le meurtre de Khashoggi n’a pas été prémédité », indique le communiqué. La CIA et une experte de l'ONU ont mis en cause dans l'assassinat le prince héritier saoudien et homme fort du pays qui dément avoir ordonné l’assassinat du journaliste critique même s’il dit en porter la responsabilité en tant que dirigeant du royaume.

20minutes
 
Affaire Khashoggi: «Le plus effroyable, c’est que la répression continue»
Par Oriane Verdier

Le procureur d'Arabie saoudite a prononcé la condamnation à mort de cinq personnes pour le meurtre de Jamal Khashoggi. Le journaliste critique a été tué en octobre 2018 au consulat saoudien d’Istanbul, en Turquie. Agnès Callamard, la rapporteure spéciale des Nations unies dénonce l’absence de justice dans ce procès.


RFI : Le résultat de ce procès à Riyad vous a-t-il surpris ?

Agnès Callamard :
Non, malheureusement je m’y attendais tout à fait. Je ne pensais pas que la justice pourrait être rendue dans le cadre du procès qui a lieu depuis le mois de janvier. Le verdict qui a été rendu ce lundi [23 décembre] ressemble tout à fait à ce à quoi je m’attendais.
Il s’agit d’un procès qui s’est attaqué aux petites gens. Ce sont des criminels, bien sûr, je ne le nie pas, mais ce ne sont pas les commanditaires. Ce sont les exécutants du crime. La personne la plus haut gradée punie ce lundi est Maher Mutreb. C’est un agent d’un niveau moyen dans la chaîne de commandement. Toutes les personnes qui ont agi au-dessus de Mutreb, elles, s’en sortent sans aucun problème et la chaîne de commandement n’a toujours pas fait l’objet d’une enquête.

Les autorités saoudiennes investissent beaucoup d’énergie et d’argent pour faire oublier cette affaire. Jusqu’à présent, ça n’a pas marché grâce aux médias qui font en sorte que l’affaire ne disparaisse pas et grâce aux défenseurs des droits de l'homme. Jusqu’à présent, les tentatives saoudiennes de se refaire une réputation au-delà du crime de M. Khashoggi et des autres n’ont pas marché.

►À lire aussi : Assassinat de Khashoggi : un an après, Ben Salman « responsable », le crime impuni

Mais cela ne veut pas dire que justice a été rendue. Les commanditaires de ce crime odieux n’ont pas été inquiétés. Le conseiller personnel de Mohammed Ben Salman, Saoud al-Qahtani, a été mentionné par le procureur lui-même comme ayant incité l’équipe des 15 tueurs avant leur départ. Cette personne n’a pas été l’objet d’accusation. Elle n’a pas du tout participé au procès. Les personnes au-dessus de Saoud al-Qahtani, elles, n’ont reçu aucune attention de la part du procureur. Pour l’instant, il s’agit d’un procès qui ne fait que renforcer le système d’impunité qui sévit non seulement en Arabie Saoudite, mais dans de nombreux crimes contre des journalistes où seuls les exécutants se retrouvent derrière les barreaux alors que ceux qui ont commandité leur crime s’en sortent trop souvent sans aucun problème.

Si la justice n’a pas été rendue dans l’affaire Khashoggi, avez-vous l’impression que l’importance médiatique qu’elle a prise a au moins permis de réduire la violence de la répression en Arabie saoudite ?

Ce serait logique en effet que cela arrive. Mais malheureusement, le plus incroyable et le plus effroyable, c’est que depuis le meurtre de M. Khashoggi qui a donné lieu à tous les rapports que l’on connaît de la part des médias, toutes les dénonciations de la communauté internationale, malgré tout cela, il n’y a eu selon moi et selon beaucoup d’autres organisations de défense des droits humains, aucun effort de la part de l’Arabie Saoudite pour faire en sorte que ces crimes ne se reproduisent pas.

En fait, depuis le meurtre de M. Khashoggi, il y a eu d’autres arrestations de journalistes, de défenseurs des droits de l'homme. Les femmes qui luttent pour le droit de conduire ont été torturées. Il y a eu des peines de mort attribuées à plusieurs personnes qui se sont exprimées alors que leur prise de parole ne devrait mener à aucune punition.

L’Arabie saoudite depuis le meurtre de M. Khashoggi ne s’est en aucun cas engagée dans la direction de non-répétition, au contraire. Cela devrait d’ailleurs nous inquiéter particulièrement. Malgré les dénonciations, malgré la publicité que ce crime a attirée, l’Arabie Saoudite se refuse à prendre les mesures nécessaires.
 
Pensez-vous que le résultat de ce procès est aussi une preuve de faiblesse de la communauté internationale face à Riyad ?
Tout à fait ! Au niveau des Nations unies, aucune institution n’a pris position pour aller dans la direction d'une recherche de la vérité, de la justice, à part moi par l’intermédiaire de mon mandat. Le secrétaire général a refusé de mettre en place une enquête de suivi sur la chaîne de commandement, comme je l’avais demandé. Jusqu’à présent, le Bureau des droits de l’homme des Nations unies n’a pas vraiment réagi au meurtre de Jamal Khashoggi.

►À lire aussi : Khashoggi : un rapport de l’ONU demande l’ouverture d’une enquête contre MBS
Quant aux États-membres, ils ont dit de bonnes choses au moment de la publication de mon rapport, mais cela ne leur a pris qu’une heure ou deux. Depuis, les actes n’ont pas suivi les paroles. Là, la communauté internationale, que ce soit au niveau des États ou au niveau de ses institutions intergouvernementales, n’a pas été à la mesure du crime commis ni à la hauteur de ses engagements pour combattre l’impunité dans le cadre des meurtres de journalistes.
Je trouve intéressant de comparer la réaction des institutions européennes face au meurtre de la journaliste Daphné Caruana Galizia à Malte avec la réaction des institutions internationales au meurtre de Jamal Khashoggi. Dans le cas de Malte, même si tout ne s’est pas passé immédiatement, les institutions européennes ont mis la pression sur Malte pour que le procès ait lieu sans interférence politique et pour que la chaîne de commandement fasse l’objet d’une enquête. Ces mêmes institutions demandent même maintenant au Premier ministre de démissionner en raison de ses agissements en relation avec le meurtre de cette journaliste. Comparez cela avec ce qu’elles n’ont pas fait par rapport au meurtre de Jamal Khashoggi…



www.rfi.fr/moyen-orient/20191223-affaire-khashoggi-plus-effroyable-repression-continue-rapport-onu
 
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