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Islam
Divergence des avis juridiques : jusqu'où peut aller la tolérance ? Cas d'exemple ...
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[QUOTE="bruant, post: 16678556, member: 397074"] Plusieurs questions viennent à mon esprit en lisant cela : - Peut-on tolérer l'intolérable sous couvert de respect des divergences entre "savants" ? - Admettons que l'imam shaféi ait fait une erreur d'appréciation -le mot est trop faible, un doux euphémisme, mais passons -, comment comprendre que les générations de "savants" qui ont reçu et transmis le fiqh shaféite depuis des siècles et des siècles n'aient rien trouvé à redire à cela (je me trompe peut-être) ? - La plupart des musulmans, surtout ceux dont la culture islamique tourne en priorité autour des 5 piliers, de la spiritualité ... ne soupçonnent même pas l'existence de ce genre de "littérature", alors qu'ils ont le droit à ce type de savoir autant qu'à tous les autres. Moi même je n'en ai pris connaissance qu'hier et fortuitement alors que je ne m'y attendais pas du tout, du fait d'une curiosité insatiable qui me pousse à aller au bout des choses. Pourquoi cette culture très présente sous diverses formes dans les livres de fiqh ne filtre pas jusqu'à la "masse" des musulmans alors qu'elle est assumée fièrement et de manière décomplexée par beaucoup de docteurs de la loi entre eux (et là on est bien loin du salafisme, qui soit dit en passant et c'est mon avis, a bon dos, et est un bouc émissaire facile et tout trouvé pour expédier toutes les questions qui dérangent .... mais la binarisation simpliste salafisme (=le mal) vs écoles classiques (=le bien) n'est pas le sujet ici) ? A quel niveau cette transmission du "savoir" bloque ? Y a-t-il dissimulation ? Voulue ou non préméditée ? Par honte ? - J'ai donné un simple exemple à des fins d'illustration, mais des choses dans le genre pullulent dans le corpus de fiqh islamique, (et pas que sunnite d'ailleurs, toutes tendances confondues). N'y a-t-il pas intérêt pour les musulmans qui peuvent se sentir blessés et salis dans leur dignité par ce genre de propos, à mener un effort intellectuel pour laver et rétablir l'honneur de "la religion de Dieu", de manière au moins aussi prioritaire, mais l'un n'empêche pas l'autre bien entendu, que le militantisme politique, écologique et autres ... Pour un musulman qui se dit chérir l'islam, cette cause ne vaut-elle pas et ne passe-t-elle pas devant toutes les autres ? Mais pour cela encore faut-il que les musulmans, de plus en plus, en particulier ceux qui se disent imiter une école, et dans un souci de clarté, de cohérence et de transparence, aient le courage de s'intéresser à leur héritage en profondeur, et non pas se suffir à ce qu'on veut bien leur filtrer. De grâce encore une fois, je prie tous les intervenants de tous bords à laisser ce post exempt d'insultes, de procès d'intentions, de détournements de sujet. Bon mois de Ramadan à celles et ceux qui le jeûnent. [/QUOTE]
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