La belle histoire du boulanger de Dole (Jura) qui avait embauché un SDF lui ayant sauvé la vie a viré au cauchemar. "Je l'ai viré", explique sans ambages Michel Flamant, confirmant une information du journal Le Progrès. "Il a été très très malpoli avec une journaliste", a ajouté l’artisan, faisant état de propos insultants et misogynes.
"Il était saoul comme un cochon et il avait fumé"
L'histoire de Jérôme Aucant, un sans-abri qui avait sauvé la vie d’un boulanger victime d'une intoxication au monoxyde de carbone à cause de son four à pain défectueux, avait fait le tour des médias. La presse française et internationale s'était fait l'écho de ce duo un peu bourru. Après son hospitalisation en décembre, le boulanger avait embauché le sans-abri à mi-temps, dans la perspective de lui laisser son commerce une fois la formation terminée.
Mais la jolie histoire s'est avérée plus compliquée que prévu et le boulanger y a mis un terme après que son employé a traité une journaliste de "******", affirme-t-il. "Une fois qu'il a raccroché, je lui ai expliqué que l'on ne parle pas comme ça à une femme. Il a commencé à s'en prendre à moi, à m’insulter, alors je lui ai dit de prendre sa valise". "Il était saoul comme un cochon et il avait fumé. Il m'a expliqué que la pression des journalistes était trop forte. Mais ça n'excuse pas tout, et je l'avais déjà mis en garde".
"Il était saoul comme un cochon et il avait fumé"
L'histoire de Jérôme Aucant, un sans-abri qui avait sauvé la vie d’un boulanger victime d'une intoxication au monoxyde de carbone à cause de son four à pain défectueux, avait fait le tour des médias. La presse française et internationale s'était fait l'écho de ce duo un peu bourru. Après son hospitalisation en décembre, le boulanger avait embauché le sans-abri à mi-temps, dans la perspective de lui laisser son commerce une fois la formation terminée.
Mais la jolie histoire s'est avérée plus compliquée que prévu et le boulanger y a mis un terme après que son employé a traité une journaliste de "******", affirme-t-il. "Une fois qu'il a raccroché, je lui ai expliqué que l'on ne parle pas comme ça à une femme. Il a commencé à s'en prendre à moi, à m’insulter, alors je lui ai dit de prendre sa valise". "Il était saoul comme un cochon et il avait fumé. Il m'a expliqué que la pression des journalistes était trop forte. Mais ça n'excuse pas tout, et je l'avais déjà mis en garde".