Salam Aleykoum,
Selon que l'on se place dans un paradigme "Bourdon-nien", chaque acte est individuel (et non le fruit exclusif des structures collectives); compréhensif (il possède un sens saisissable pour celui s'en donnant les moyens); rationnel (selon 3 formes de rationalité que voici) :
- Rationalité instrumentale (Action : Tourner la tête avant de traverser - Explication : Chercher à ne pas se faire écraser)
- Rationalité axiologique (Action : Ne plus lire les livres de tel auteur - Explication : Il s'est rendu coupable de plagiat et cela est contraire à nos valeurs)
- Rationalité cognitive ("Action" : Adhérer au Créationnisme plutôt qu'à l'évolutionnisme - Explication : Les arguments développés nous apparaissent plus convaincants)
Partant de là, tout acte, toute pensée, quel qu'il ou elle soit (mentir, offrir, tuer, voler, torturer, construire, rejeter, adhérer à telle croyance etc...) est rationnel et donc légitime pour l'acteur y étant associé.
Ce qui fait que chacun agit pour des raisons bien précises qui ont du sens à ses yeux (ce qui n'est pas toujours évident d'un point de vue extérieur).
Le bien et le mal peuvent toujours se justifier. L'on tue, vole, torture (des innocents ou non) parce que l'on pense que l'on a raison d'agir ainsi. Chacun justifie, sur le moment, son attitude.
Au final ce qui différencie une bonne personne d'une mauvaise, ce ne sont pas nos actes en eux-même (qui sont tous neutres) mais uniquement nos croyances (ce qui explique que le bien peut être mal et inversement, selon l'espace ou le temps dans lequel l'on se situe). A part quelques exceptions, il n'y a aucune action qui est universellement perçue de la même façon.
Nous n'avons donc aucune légitimité à nous revendiquer (en Occident) "société des droits de l'homme" puisqu'au final toutes les sociétés sont des sociétés des droits de l'homme (mais selon leur définition de ce que doivent être les limites des droits humains).
Selon que l'on se place dans un paradigme "Bourdon-nien", chaque acte est individuel (et non le fruit exclusif des structures collectives); compréhensif (il possède un sens saisissable pour celui s'en donnant les moyens); rationnel (selon 3 formes de rationalité que voici) :
- Rationalité instrumentale (Action : Tourner la tête avant de traverser - Explication : Chercher à ne pas se faire écraser)
- Rationalité axiologique (Action : Ne plus lire les livres de tel auteur - Explication : Il s'est rendu coupable de plagiat et cela est contraire à nos valeurs)
- Rationalité cognitive ("Action" : Adhérer au Créationnisme plutôt qu'à l'évolutionnisme - Explication : Les arguments développés nous apparaissent plus convaincants)
Partant de là, tout acte, toute pensée, quel qu'il ou elle soit (mentir, offrir, tuer, voler, torturer, construire, rejeter, adhérer à telle croyance etc...) est rationnel et donc légitime pour l'acteur y étant associé.
Ce qui fait que chacun agit pour des raisons bien précises qui ont du sens à ses yeux (ce qui n'est pas toujours évident d'un point de vue extérieur).
Le bien et le mal peuvent toujours se justifier. L'on tue, vole, torture (des innocents ou non) parce que l'on pense que l'on a raison d'agir ainsi. Chacun justifie, sur le moment, son attitude.
Au final ce qui différencie une bonne personne d'une mauvaise, ce ne sont pas nos actes en eux-même (qui sont tous neutres) mais uniquement nos croyances (ce qui explique que le bien peut être mal et inversement, selon l'espace ou le temps dans lequel l'on se situe). A part quelques exceptions, il n'y a aucune action qui est universellement perçue de la même façon.
Nous n'avons donc aucune légitimité à nous revendiquer (en Occident) "société des droits de l'homme" puisqu'au final toutes les sociétés sont des sociétés des droits de l'homme (mais selon leur définition de ce que doivent être les limites des droits humains).