Cette marque du consommateur permet aux Marocains de choisir et suivre entièrement le cahier de charges des produits de consommation.
Rédaction du HuffPost Maroc
CONSO - Initiée en France, “la marque du consommateur” débarque au Maroc sous le nom “Dyalna” (”à nous”, ndlr) et permettra aux consommateurs marocains de reprendre le pouvoir sur leur propre consommation en créant un ensemble de produits avec des spécificités qu’ils auront eux-mêmes choisies. Une initiative qui promet de répondre, in fine, aux attentes des citoyens avec des produits qualitatifs, équitables et responsables.
Du cahier de charges à la fabrication, en passant par le suivi et le contrôle des produits, “Dyalna” propose aux Marocains de faire partie du tour du table des décisions relatives à la création et à la commercialisation d’un produit, ce de manière collective, en respectant les normes définies et en rémunérant correctement tous les opérateurs de la chaîne de valeurs, précise un communiqué de presse de la marque.
Inspirée par cette idée des fondateurs de “C’est qui le patron ?!” en France (et qui a rencontrée un franc-succès), Nawal Slamti, experte en marketing et fondatrice de “Dyalna”, mise sur l’intelligence collective, un facteur déterminant pour la construction d’un produit dans son intégralité. “J’ai été inspirée par l’idée française, que j’ai suivie durant mes déplacements, et je pense qu’il est important de faire travailler les consommateurs sur le cahier de charges d’un produit, de leur permettre de savoir où va leur argent, ce qu’ils vont acheter et consommer. Cela permet d’avoir un impact sur sa propre consommation et reprendre le pouvoir dessus. Ce, dans une démarche totalement authentique et transparente” explique-t-elle au HuffPost Maroc.
“Cette intelligence collective contribue à un autre aspect important pour ‘Dyalna’, soit l’aspect humain. Au Maroc, s’il y a bien une chose commune c’est l’entraide, le besoin d’aider l’autre. Avec ‘La Marque du consommateur’, on espère travailler davantage sur le développement humain et pousser les consommateurs à, par exemple, s’intéresser de plus près au sort des agriculteurs et producteurs et à leurs conditions de travail, en contribuant à leurs revenus et au financement de leur équipements” ajoute-t-elle.
DYALNALes produits "la Marque du consommateur" initiés en Europe.
“Dyalna” débutera par trois produits de grande consommation à savoir le lait, l’huile d’olive et le fromage portion, très plébiscités par les consommateurs. Par la suite, ces trois produits seront créés à partir d’un vote sur la plateforme de la marque (www.markatelmoustahlik.ma). Une fois le premier produit choisi par les consommateurs, une phase de recherche de partenaires pourra alors commencer et après plusieurs échanges, un maximum de dix thèmes sera identifié et proposé aux membres de la communauté Dyalna, et ils s’appuieront notamment sur des aspects technique, qualitatif, économique, environnemental et social. Lors des rencontres-organisées avec les différents acteurs, il faudra identifier les contraintes, le savoir-faire et les zones de progrès dans chacun de leurs domaines. Le consommateur aura notamment la possibilité de participer à la définition du niveau de rémunération qui lui paraît le plus juste pour le producteur, souligne le communiqué.
la suite de l'article dans le lien https://www.huffpostmaghreb.com/ent...acon-de-consommer_mg_5db1855ce4b0131fa99a567e
Rédaction du HuffPost Maroc
CONSO - Initiée en France, “la marque du consommateur” débarque au Maroc sous le nom “Dyalna” (”à nous”, ndlr) et permettra aux consommateurs marocains de reprendre le pouvoir sur leur propre consommation en créant un ensemble de produits avec des spécificités qu’ils auront eux-mêmes choisies. Une initiative qui promet de répondre, in fine, aux attentes des citoyens avec des produits qualitatifs, équitables et responsables.
Du cahier de charges à la fabrication, en passant par le suivi et le contrôle des produits, “Dyalna” propose aux Marocains de faire partie du tour du table des décisions relatives à la création et à la commercialisation d’un produit, ce de manière collective, en respectant les normes définies et en rémunérant correctement tous les opérateurs de la chaîne de valeurs, précise un communiqué de presse de la marque.
Inspirée par cette idée des fondateurs de “C’est qui le patron ?!” en France (et qui a rencontrée un franc-succès), Nawal Slamti, experte en marketing et fondatrice de “Dyalna”, mise sur l’intelligence collective, un facteur déterminant pour la construction d’un produit dans son intégralité. “J’ai été inspirée par l’idée française, que j’ai suivie durant mes déplacements, et je pense qu’il est important de faire travailler les consommateurs sur le cahier de charges d’un produit, de leur permettre de savoir où va leur argent, ce qu’ils vont acheter et consommer. Cela permet d’avoir un impact sur sa propre consommation et reprendre le pouvoir dessus. Ce, dans une démarche totalement authentique et transparente” explique-t-elle au HuffPost Maroc.
“Cette intelligence collective contribue à un autre aspect important pour ‘Dyalna’, soit l’aspect humain. Au Maroc, s’il y a bien une chose commune c’est l’entraide, le besoin d’aider l’autre. Avec ‘La Marque du consommateur’, on espère travailler davantage sur le développement humain et pousser les consommateurs à, par exemple, s’intéresser de plus près au sort des agriculteurs et producteurs et à leurs conditions de travail, en contribuant à leurs revenus et au financement de leur équipements” ajoute-t-elle.
DYALNALes produits "la Marque du consommateur" initiés en Europe.
“Dyalna” débutera par trois produits de grande consommation à savoir le lait, l’huile d’olive et le fromage portion, très plébiscités par les consommateurs. Par la suite, ces trois produits seront créés à partir d’un vote sur la plateforme de la marque (www.markatelmoustahlik.ma). Une fois le premier produit choisi par les consommateurs, une phase de recherche de partenaires pourra alors commencer et après plusieurs échanges, un maximum de dix thèmes sera identifié et proposé aux membres de la communauté Dyalna, et ils s’appuieront notamment sur des aspects technique, qualitatif, économique, environnemental et social. Lors des rencontres-organisées avec les différents acteurs, il faudra identifier les contraintes, le savoir-faire et les zones de progrès dans chacun de leurs domaines. Le consommateur aura notamment la possibilité de participer à la définition du niveau de rémunération qui lui paraît le plus juste pour le producteur, souligne le communiqué.
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