Ecoles de bruxelles

@Docours y a que toi qui pourrait répondre :D

Je vais faire un peu une réponse de politicien, à la différence près qu'elle est sincère.

Il n'y a pas de meilleure école en soi. Il y a des mauvaises écoles, soyons franc, mais pas de meilleures.

Cela dépend simplement du projet de l'élève, on parle de pédagogie du projet d'ailleurs. Si tu cherches à devenir mécanicien, il y a des écoles qui ont la réputation de mettre le niveau assez haut et de former des futurs professionnels très compétents. D'autres écoles dont la section mécanique est plus une voie sans issue. Tu as des écoles qui, pour rester en mécanique, obtiennent des partenariats avec des marques et introduisent ainsi leurs élèves au monde de l'entreprise via des stages dans ces garages. Avec une certification officielle pour ceux qui répondent aux critères de la marque avec, éventuellement, un emploi à la clé.

Tu as des écoles d’ébénisterie, de métiers du bâtiments, d'informatique, de sciences, etc...

Tu as des écoles de filière générale qui sont réputées aussi, elles sont assez connues à Bruxelles. En gros, tu peux en trouver 7-8 ainsi (un poil plus peut-être, j'ai du en oublier). Des écoles qui te préparent correctement à aborder des études universitaires de par leurs exigences et la quantité de travail "intellectuel" à fournir. Parfois, on parle d'école usine. Et c'est assez vrai sur le fond puisqu'elles sélectionnent, au fil des années, leurs élèves en les "broyant" comme une usine. Mais cela signifie aussi que ceux qui sortent avec leur diplôme de cette école seront nettement plus aptes, globalement, à aborder la dureté du milieu universitaire.

En gros, je te dirais que pour chaque élève qui a un projet, il y a une ou plusieurs écoles adaptées à Bruxelles. Mais pour avoir un projet, cela nécessite plusieurs choses. Les plus importantes, à mon avis, c'est que l'élève :

- Ai la permission/l'encouragement de ses parents pour poursuivre la filière qu'il désire
- Que ses parents s'investissent dans l'avenir de leur enfant. S'y intéressent aussi, même de manière naïve, maladroite ou avec difficulté si c'est dans un domaine qui leur est étranger.

Une bonne partie des élèves arrivent à l'école sans savoir pourquoi ils y sont mis à part le fait que c'est obligatoire (la majorité des élèves "perdus") et qu'il y a des allocations à la clé (pour une minorité). L'éducation, c'est bien, vraiment et y a beaucoup de bons parents (parfois un peu perdus aussi mais globalement bons). Les règles, les barrières à placer, apprendre qu'un acte engendre une conséquence, etc... Tu me verras jamais aller contre.

Ceci dit, et de par mon expérience, je me suis rendu compte que les "perdus" l'étaient aussi (mais pas que) parce que leur parents ne les avaient pas fait découvrir autre chose que le métier de papa et/ou maman. Et encore, pour ceux qui le font. Là aussi, j'ai pas mal de gamins incapables de me dire ce que font leurs parents réellement, à part le titre du métier. Un peu comme si l'inspiration d'un métier venait magiquement et frappait soudainement comme la foudre. A titre personnel, j'essaye de faire découvrir un maximum de chose à mes enfants, y compris des choses que je n'apprécie pas personnellement ou dans lequel je n'ai aucune connaissance.
 
Je vais faire un peu une réponse de politicien, à la différence près qu'elle est sincère.

Il n'y a pas de meilleure école en soi. Il y a des mauvaises écoles, soyons franc, mais pas de meilleures.

Cela dépend simplement du projet de l'élève, on parle de pédagogie du projet d'ailleurs. Si tu cherches à devenir mécanicien, il y a des écoles qui ont la réputation de mettre le niveau assez haut et de former des futurs professionnels très compétents. D'autres écoles dont la section mécanique est plus une voie sans issue. Tu as des écoles qui, pour rester en mécanique, obtiennent des partenariats avec des marques et introduisent ainsi leurs élèves au monde de l'entreprise via des stages dans ces garages. Avec une certification officielle pour ceux qui répondent aux critères de la marque avec, éventuellement, un emploi à la clé.

Tu as des écoles d’ébénisterie, de métiers du bâtiments, d'informatique, de sciences, etc...

Tu as des écoles de filière générale qui sont réputées aussi, elles sont assez connues à Bruxelles. En gros, tu peux en trouver 7-8 ainsi (un poil plus peut-être, j'ai du en oublier). Des écoles qui te préparent correctement à aborder des études universitaires de par leurs exigences et la quantité de travail "intellectuel" à fournir. Parfois, on parle d'école usine. Et c'est assez vrai sur le fond puisqu'elles sélectionnent, au fil des années, leurs élèves en les "broyant" comme une usine. Mais cela signifie aussi que ceux qui sortent avec leur diplôme de cette école seront nettement plus aptes, globalement, à aborder la dureté du milieu universitaire.

En gros, je te dirais que pour chaque élève qui a un projet, il y a une ou plusieurs écoles adaptées à Bruxelles. Mais pour avoir un projet, cela nécessite plusieurs choses. Les plus importantes, à mon avis, c'est que l'élève :

- Ai la permission/l'encouragement de ses parents pour poursuivre la filière qu'il désire
- Que ses parents s'investissent dans l'avenir de leur enfant. S'y intéressent aussi, même de manière naïve, maladroite ou avec difficulté si c'est dans un domaine qui leur est étranger.

Une bonne partie des élèves arrivent à l'école sans savoir pourquoi ils y sont mis à part le fait que c'est obligatoire (la majorité des élèves "perdus") et qu'il y a des allocations à la clé (pour une minorité). L'éducation, c'est bien, vraiment et y a beaucoup de bons parents (parfois un peu perdus aussi mais globalement bons). Les règles, les barrières à placer, apprendre qu'un acte engendre une conséquence, etc... Tu me verras jamais aller contre.

Ceci dit, et de par mon expérience, je me suis rendu compte que les "perdus" l'étaient aussi (mais pas que) parce que leur parents ne les avaient pas fait découvrir autre chose que le métier de papa et/ou maman. Et encore, pour ceux qui le font. Là aussi, j'ai pas mal de gamins incapables de me dire ce que font leurs parents réellement, à part le titre du métier. Un peu comme si l'inspiration d'un métier venait magiquement et frappait soudainement comme la foudre. A titre personnel, j'essaye de faire découvrir un maximum de chose à mes enfants, y compris des choses que je n'apprécie pas personnellement ou dans lequel je n'ai aucune connaissance.

Merci pour cette réponse assez compléte et bien ficelée .....
Vraiment tu fais la fiérté des educateurs de bruxelles
je vois aussi que ce métier tu le fais par amour ....

encore une fois merci

sinon j'ai des noms de ces ecoles usines mais j'aimerais bien avoir des exemples de ta part que je puisse comparer :D

je ne suis sur Bruxelles que depuis moins de quatre ans
 
Merci pour cette réponse assez compléte et bien ficelée .....
Vraiment tu fais la fiérté des educateurs de bruxelles
je vois aussi que ce métier tu le fais par amour ....

J'ai été prof dans le secondaire pendant 10 ans et j'ai aimé profondément mon métier, en effet. Je l'ai quitté à regret dans des circonstances plutôt tristes, à vrai dire.

Je suis resté dans l'enseignement en passant à l'unif' mais j'avoue que l'impulsivité de "mes" gamins me manque.

encore une fois merci

sinon j'ai des noms de ces ecoles usines mais j'aimerais bien avoir des exemples de ta part que je puisse comparer :D

je ne suis sur Bruxelles que depuis moins de quatre ans

Je t'en envoies 3 par MP, j'évites de citer une école plutôt qu'une autre en public. Bonne ou mauvaise publicité, peu importe, j'ai un devoir de réserve à maintenir en place.

Edit : Tes MP sont bloqués, apparemment. Je n'ai pas pu t'envoyer le message que je souhaitais.
 
Dernière édition:
Je vais faire un peu une réponse de politicien, à la différence près qu'elle est sincère.

Il n'y a pas de meilleure école en soi. Il y a des mauvaises écoles, soyons franc, mais pas de meilleures.

Cela dépend simplement du projet de l'élève, on parle de pédagogie du projet d'ailleurs. Si tu cherches à devenir mécanicien, il y a des écoles qui ont la réputation de mettre le niveau assez haut et de former des futurs professionnels très compétents. D'autres écoles dont la section mécanique est plus une voie sans issue. Tu as des écoles qui, pour rester en mécanique, obtiennent des partenariats avec des marques et introduisent ainsi leurs élèves au monde de l'entreprise via des stages dans ces garages. Avec une certification officielle pour ceux qui répondent aux critères de la marque avec, éventuellement, un emploi à la clé.

Tu as des écoles d’ébénisterie, de métiers du bâtiments, d'informatique, de sciences, etc...

Tu as des écoles de filière générale qui sont réputées aussi, elles sont assez connues à Bruxelles. En gros, tu peux en trouver 7-8 ainsi (un poil plus peut-être, j'ai du en oublier). Des écoles qui te préparent correctement à aborder des études universitaires de par leurs exigences et la quantité de travail "intellectuel" à fournir. Parfois, on parle d'école usine. Et c'est assez vrai sur le fond puisqu'elles sélectionnent, au fil des années, leurs élèves en les "broyant" comme une usine. Mais cela signifie aussi que ceux qui sortent avec leur diplôme de cette école seront nettement plus aptes, globalement, à aborder la dureté du milieu universitaire.
Les meilleures ecoles sont les ecoles priver mais y en une que j aime beaucoup
l ecole saint andre pres de flagey

En gros, je te dirais que pour chaque élève qui a un projet, il y a une ou plusieurs écoles adaptées à Bruxelles. Mais pour avoir un projet, cela nécessite plusieurs choses. Les plus importantes, à mon avis, c'est que l'élève :

- Ai la permission/l'encouragement de ses parents pour poursuivre la filière qu'il désire
- Que ses parents s'investissent dans l'avenir de leur enfant. S'y intéressent aussi, même de manière naïve, maladroite ou avec difficulté si c'est dans un domaine qui leur est étranger.

Une bonne partie des élèves arrivent à l'école sans savoir pourquoi ils y sont mis à part le fait que c'est obligatoire (la majorité des élèves "perdus") et qu'il y a des allocations à la clé (pour une minorité). L'éducation, c'est bien, vraiment et y a beaucoup de bons parents (parfois un peu perdus aussi mais globalement bons). Les règles, les barrières à placer, apprendre qu'un acte engendre une conséquence, etc... Tu me verras jamais aller contre.

Ceci dit, et de par mon expérience, je me suis rendu compte que les "perdus" l'étaient aussi (mais pas que) parce que leur parents ne les avaient pas fait découvrir autre chose que le métier de papa et/ou maman. Et encore, pour ceux qui le font. Là aussi, j'ai pas mal de gamins incapables de me dire ce que font leurs parents réellement, à part le titre du métier. Un peu comme si l'inspiration d'un métier venait magiquement et frappait soudainement comme la foudre. A titre personnel, j'essaye de faire découvrir un maximum de chose à mes enfants, y compris des choses que je n'apprécie pas personnellement ou dans lequel je n'ai aucune connaissance.
ca c est une ecole
http://www.uniformes-scolaires.be/fr/379-institut-saint-andre
 

Ce type d'écoles qui ne fonctionnent absolument pas avec des personnes qui :

- appartiennent à la famille des hauts-potentiels (puisqu'il y en a de nombreux)
- font état d'un quelconque problème "dys"
- appartiennent à une famille à indice socio-économique bas ou très bas
- ne savent pas / arrivent difficilement à résoudre un conflit cognitif via un apprentissage visuel ou auditif

Ce type d'écoles fonctionnent avec des personnes :

- provenant d'un environnement familial à indice économique fort
- provenant d'un environnement familial à indice économique moyen et un indice "socio" fort
- capables de se glisser, ou faire semblant de se glisser, dans un moule préconçu assez rigide
- dotés de capacités à résoudre les conflits cognitifs par un apprentissage visuel et/ou auditif

Ce n'est pas une bonne école. Ce n'est pas une mauvaise école.

En ce qui me concerne, je proviens d'une école de ce type. Et je répond aux critères 2,3 et 4 de ma liste, ce qui explique que j'ai réussi à avancer dans mes études sans trop d'accrocs.

Ce qui est certain, c'est que c'est une école qui n'est adaptée qu'à une toute petite partie de la population. Et que les autres qu'on forcerait à aller dans ce type d'établissement y seraient malheureux. Et en sortiraient avec un dégoût de l'école et de l'apprentissage.

J'ai enseigné, il y a longtemps, dans une école à indice socio-économique très faible. Et ce qui faisait que nous arrivions à raccrocher les élèves avec le gout d'apprendre était justement le fait que nous ne faisions pas pareil.

Et la majorité d'entre eux exercent un métier qu'ils apprécient et pour lequel ils sont battus, contre eux-même et contre de nombreux autres facteurs. Facteurs que tu ne rencontreras jamais quand tu peux accéder aux écoles dites élitistes puisque tu n'es pas concernés par ces problèmes de par ton milieu d'origine.

Edit : L'un des meilleurs ingénieur actuel de la NASA est un punk tatoué et avec piercing. On m'explique, du coup, l'intérêt d'un uniforme et le lien qu'il peut avoir avec l'apprentissage, la didactique, la pédagogie, le développement des compétences et savoirs ? A part quand il s'agit d'un outil de travail (chaussure de sécurité, blouse blanche, bleu de travail, etc...), y a aucun intérêt. Sauf à vouloir forcer l'apprenant à rentrer dans le moule qu'on lui a préparé.
 
les ecoles communales
Ce type d'écoles qui ne fonctionnent absolument pas avec des personnes qui :

- appartiennent à la famille des hauts-potentiels (puisqu'il y en a de nombreux)
- font état d'un quelconque problème "dys"
- appartiennent à une famille à indice socio-économique bas ou très bas
- ne savent pas / arrivent difficilement à résoudre un conflit cognitif via un apprentissage visuel ou auditif

Ce type d'écoles fonctionnent avec des personnes :

- provenant d'un environnement familial à indice économique fort
- provenant d'un environnement familial à indice économique moyen et un indice "socio" fort
- capables de se glisser, ou faire semblant de se glisser, dans un moule préconçu assez rigide
- dotés de capacités à résoudre les conflits cognitifs par un apprentissage visuel et/ou auditif

Ce n'est pas une bonne école. Ce n'est pas une mauvaise école.

En ce qui me concerne, je proviens d'une école de ce type. Et je répond aux critères 2,3 et 4 de ma liste, ce qui explique que j'ai réussi à avancer dans mes études sans trop d'accrocs.

Ce qui est certain, c'est que c'est une école qui n'est adaptée qu'à une toute petite partie de la population. Et que les autres qu'on forcerait à aller dans ce type d'établissement y seraient malheureux. Et en sortiraient avec un dégoût de l'école et de l'apprentissage.

J'ai enseigné, il y a longtemps, dans une école à indice socio-économique très faible. Et ce qui faisait que nous arrivions à raccrocher les élèves avec le gout d'apprendre était justement le fait que nous ne faisions pas pareil.

Et la majorité d'entre eux exercent un métier qu'ils apprécient et pour lequel ils sont battus, contre eux-même et contre de nombreux autres facteurs. Facteurs que tu ne rencontreras jamais quand tu peux accéder aux écoles dites élitistes puisque tu n'es pas concernés par ces problèmes de par ton milieu d'origine.

Edit : L'un des meilleurs ingénieur actuel de la NASA est un punk tatoué et avec piercing. On m'explique, du coup, l'intérêt d'un uniforme et le lien qu'il peut avoir avec l'apprentissage, la didactique, la pédagogie, le développement des compétences et savoirs ? A part quand il s'agit d'un outil de travail (chaussure de sécurité, blouse blanche, bleu de travail, etc...), y a aucun intérêt. Sauf à vouloir forcer l'apprenant à rentrer dans le moule qu'on lui a préparé.
Ce type d'écoles qui ne fonctionnent absolument pas avec des personnes qui :

- appartiennent à la famille des hauts-potentiels (puisqu'il y en a de nombreux)
- font état d'un quelconque problème "dys"
- appartiennent à une famille à indice socio-économique bas ou très bas
- ne savent pas / arrivent difficilement à résoudre un conflit cognitif via un apprentissage visuel ou auditif

Ce type d'écoles fonctionnent avec des personnes :

- provenant d'un environnement familial à indice économique fort
- provenant d'un environnement familial à indice économique moyen et un indice "socio" fort
- capables de se glisser, ou faire semblant de se glisser, dans un moule préconçu assez rigide
- dotés de capacités à résoudre les conflits cognitifs par un apprentissage visuel et/ou auditif

Ce n'est pas une bonne école. Ce n'est pas une mauvaise école.

En ce qui me concerne, je proviens d'une école de ce type. Et je répond aux critères 2,3 et 4 de ma liste, ce qui explique que j'ai réussi à avancer dans mes études sans trop d'accrocs.

Ce qui est certain, c'est que c'est une école qui n'est adaptée qu'à une toute petite partie de la population. Et que les autres qu'on forcerait à aller dans ce type d'établissement y seraient malheureux. Et en sortiraient avec un dégoût de l'école et de l'apprentissage.

J'ai enseigné, il y a longtemps, dans une école à indice socio-économique très faible. Et ce qui faisait que nous arrivions à raccrocher les élèves avec le gout d'apprendre était justement le fait que nous ne faisions pas pareil.

Et la majorité d'entre eux exercent un métier qu'ils apprécient et pour lequel ils sont battus, contre eux-même et contre de nombreux autres facteurs. Facteurs que tu ne rencontreras jamais quand tu peux accéder aux écoles dites élitistes puisque tu n'es pas concernés par ces problèmes de par ton milieu d'origine.

Edit : L'un des meilleurs ingénieur actuel de la NASA est un punk tatoué et avec piercing. On m'explique, du coup, l'intérêt d'un uniforme et le lien qu'il peut avoir avec l'apprentissage, la didactique, la pédagogie, le développement des compétences et savoirs ? A part quand il s'agit d'un outil de travail (chaussure de sécurité, blouse blanche, bleu de travail, etc...), y a aucun intérêt. Sauf à vouloir forcer l'apprenant à rentrer dans le moule qu'on lui a préparé.
 
c est pas parceque il travail a la naza que c est un example

je prefere milles fois l uniforme que les jeans dechirer sur les genoux comme des zombie
 
c est pas parceque il travail a la naza que c est un example

En fait, si. Il s'agit d'un des chefs de projet ayant manipuler et conçu en partie un des robots explorateur de Mars dans les missions récentes. En terme de modèle, je pense qu'on fait pas beaucoup mieux. C'est pas le gars qui passe la serpillière (bien que ce soit un métier honorable), c'est un génie de l'ingénierie avec plus de diplômes en poche que je n'ai de chaussettes dans ma garde-robe (ce qu'on trouve en nettement plus petit nombre que des gars qui passent correctement la serpillière).

je prefere milles fois l uniforme que les jeans dechirer sur les genoux comme des zombie

Je me répète : en quoi l'apparence d'une personne exprime, d'une quelconque manière, ses compétences professionnelles ?
 
tout a son apportance dans la vie y a pas que les competences
professionnelles
c est avec ce genre de pensees que les jeunes se retrouve avec des
boucles d oreilles au nez un jins dechirer a boire des red bull en
marchant completement peter
 
les eleves qui sortent d une ecole priver ne sont pas ceux aui sortent d une ecole
publique les un sortent discretement les autres sortent en crillant comme si y avait
le feux dans l etablissement
 
tout a son apportance dans la vie y a pas que les competences
professionnelles
c est avec ce genre de pensees que les jeunes se retrouve avec des
boucles d oreilles au nez un jins dechirer a boire des red bull en
marchant completement peter

En effet, les compétences sociales sont aussi importantes dans la vie de tous les jours.

Ceci dit, lorsque j'invite un plombier chez moi, je ne m'intéresse pas à ses tatouages. Je ne m'intéresse pas à ses piercings. Ce qu'il fait le week-end n'est pas mon problème. Ce qu'il fait ce soir n'est pas mon problème. Sa coupe de cheveux et la coupe de son bleu de travail m'indiffère.

La seule chose qui m'intéresse chez lui c'est les compétences qu'il a développées et que je n'ai aucunement. J'ai besoin de lui en tant que prestataire, pourvoyeur, d'un service. Et lui a besoin de moi en tant que client. C'est la seule chose qui importe entre lui et moi.

Sa vie ne me regarde pas en dehors du temps durant lequel il intervient dans la mienne. J'ai absolument rien à lui dire sur ce qu'il est, ce qu'il fait ou ce qu'il pense.

Pourquoi cela serait-il différent avec mes étudiants ou, dans le temps, mes élèves ? A part le moment ou nous interagissons socialement pour un bénéfice mutuel, leur vie c'est leur propriété, pas la mienne.
 
les eleves qui sortent d une ecole priver ne sont pas ceux aui sortent d une ecole
publique les un sortent discretement les autres sortent en crillant comme si y avait
le feux dans l etablissement

Je te propose d'assister à la sortie de l'école européenne située à Etterbeek. Nous en rediscuterons après si tu le veux bien.

La gène que les gamins du public inflige aux autres en criant, ceux de la privée l'inflige par leur arrogance et par l'irrespect du monde qui les entoure tant qu'il ne fait pas partie de leur milieu.
 
En effet, les compétences sociales sont aussi importantes dans la vie de tous les jours.

Ceci dit, lorsque j'invite un plombier chez moi, je ne m'intéresse pas à ses tatouages. Je ne m'intéresse pas à ses piercings. Ce qu'il fait le week-end n'est pas mon problème. Ce qu'il fait ce soir n'est pas mon problème. Sa coupe de cheveux et la coupe de son bleu de travail m'indiffère.

La seule chose qui m'intéresse chez lui c'est les compétences qu'il a développées et que je n'ai aucunement. J'ai besoin de lui en tant que prestataire, pourvoyeur, d'un service. Et lui a besoin de moi en tant que client. C'est la seule chose qui importe entre lui et moi.

Sa vie ne me regarde pas en dehors du temps durant lequel il intervient dans la mienne. J'ai absolument rien à lui dire sur ce qu'il est, ce qu'il fait ou ce qu'il pense.

Pourquoi cela serait-il différent avec mes étudiants ou, dans le temps, mes élèves ? A part le moment ou nous interagissons socialement pour un bénéfice mutuel, leur vie c'est leur propriété, pas la mienne.
et on se demande pourquoi les homes sont rempli pardon les prisons pour veille personne
c est a cause de ce genre de reflexion et ou nos jeunes sont devenu des zombies
 
En effet, les compétences sociales sont aussi importantes dans la vie de tous les jours.

Ceci dit, lorsque j'invite un plombier chez moi, je ne m'intéresse pas à ses tatouages. Je ne m'intéresse pas à ses piercings. Ce qu'il fait le week-end n'est pas mon problème. Ce qu'il fait ce soir n'est pas mon problème. Sa coupe de cheveux et la coupe de son bleu de travail m'indiffère.

La seule chose qui m'intéresse chez lui c'est les compétences qu'il a développées et que je n'ai aucunement. J'ai besoin de lui en tant que prestataire, pourvoyeur, d'un service. Et lui a besoin de moi en tant que client. C'est la seule chose qui importe entre lui et moi.

Sa vie ne me regarde pas en dehors du temps durant lequel il intervient dans la mienne. J'ai absolument rien à lui dire sur ce qu'il est, ce qu'il fait ou ce qu'il pense.

Pourquoi cela serait-il différent avec mes étudiants ou, dans le temps, mes élèves ? A part le moment ou nous interagissons socialement pour un bénéfice mutuel, leur vie c'est leur propriété, pas la mienne.[/QUOT
pourquoi tout de suite la rue ???
En fait moi je suis contre l'ecole maotiste tout simplement
les ecoles flamande et priver et peu d eleve ca va encore et surtout faut pas qu il y a un arret de metro
de la stib sinon c est mort
 
le probleme c est pas l ecole c est les parents qui ne donne plus d education ils font des gosses
par amusement ou part interet financiere, c est ni l ecole le probleme ni meme les eleves ces les parents
qui passe le temps dans des futilites au lieu de s occuper de leur progeniture et surtout nous autres
avec des familles nombreuses ou le probleme est multiplier par 20
 
le probleme c est pas l ecole c est les parents qui ne donne plus d education ils font des gosses
par amusement ou part interet financiere, c est ni l ecole le probleme ni meme les eleves ces les parents
qui passe le temps dans des futilites au lieu de s occuper de leur progeniture et surtout nous autres
avec des familles nombreuses ou le probleme est multiplier par 20
tu parles de qui là ? ou ? quelle année ? car j'ai l'impression que tu parles un peu comme theo franken qui s'est fait ramassé par le tribunal de liege
 
et on se demande pourquoi les homes sont rempli pardon les prisons pour veille personne
c est a cause de ce genre de reflexion et ou nos jeunes sont devenu des zombies

Tiens, un sophisme.

A quel moment as-tu manqué l'instant où je parlais de rapport professionnel et non de rapport familiaux au fait ?
 
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