Economie: les faits marquants du règne de mohammed vi

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Le Maroc fête 20 ans de règne sous l’ère Mohammed VI. Le monarque, qui a été intronisé en 1999, suite au décès de feu Hassan II, a été à l’origine du lancement, voire une révolution de l’économie nationale, à travers plusieurs grands projets. Rétrospective.
Le roi Mohammed VI règne sur le Maroc depuis deux décennies. 20 années marquées par le lancement de plusieurs projets d’envergure, l’objectif étant très simple : faire du royaume une référence, si ce n’est une puissance économique africaine à ne pas prendre à la légère.

Ce challenge colossal s’est traduit au fil du règne du roi par le lancement de plusieurs chantiers, dans l’agriculture, l’industrie, les nouvelles technologies, les énergies renouvelables, l’emploi, etc., dans les différentes régions du royaume.

Le Maroc s’impose aujourd’hui en tant que référence, que ce soit dans le tourisme, l’automobile, ou la transformation digitale. La vision du roi Mohammed VI, tout au long de ces 20 années, s’est donc vue se concrétiser petit à petit, mais sûrement.

Sa MajestÈ le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, et le PrÈsident de la RÈpublique franÁaise, SEM. Emmanuel Macron, ont procÈdÈ, jeudi (15/11/18) ‡ Tanger, ‡ l’inauguration du Train ‡ Grande Vitesse « Al BORAQ » reliant la ville du dÈtroit ‡ Casablanca, un projet inÈdit dans son genre au Maghreb et sur tout le continent africain, ayant mobilisÈ des investissements de l’ordre de 22,9 milliards de dirhams.

Au niveau de la finance, le royaume a été l’un des pionniers sur le continent pour ce qui est du lancement des solutions halal, dont le chiffre d’affaires est toujours « timide » face à leurs consœurs traditionnelles, mais cela n’empêche pas que le secteur dispose d’un potentiel de développement non négligeable. En effet, il faudra du temps pour les banques participatives, afin de voir leur activité fleurir, un temps estimé à un maximum de 5 ans selon les experts du secteur bancaire.

Pour ce qui est des monnaies virtuelles, si le royaume était contre au début de façon catégorique, l’on a pu voir un changement de position en 2019, année durant laquelle la Banque Centrale, à travers son Wali, fraîchement nommé conseiller royal, Abdellatif Jouahri, qui a indiqué que le royaume est en train d’étudier de plus près ce domaine avec des entités mondiales, dans l’objectif d’adopter ces solutions dans un futur lointain.

Le Maroc a par ailleurs adopté plusieurs solutions de paiement électronique, s’alignant sur ce qui se fait à l’étranger dans ce domaine. Entre participations distinguées à plusieurs forums internationaux et partage d’expérience dans ce sens, le royaume se place aujourd’hui parmi les leaders en la matière, à noter que l’on est toujours en train de développer de nouvelles solutions dans ce domaine.

Le royaume a par ailleurs été le théâtre de nombreux chantiers importants pour le développement de son économie, notamment le lancement des plateformes logistiques du Port Tanger Med et de l’Atlantic Free Zone de Kénitra. Ces deux plateformes rassemblent plusieurs acteurs économiques majeurs, notamment dans le secteur automobile et aéronautique, ce qui a permis au Maroc de se placer en tant que référence sur le continent, mais dans le monde aussi..............................................


https://fr.hespress.com/86261-economie-les-faits-marquants-du-regne-de-mohammed-vi.html
 
Le Maroc fête 20 ans de règne sous l’ère Mohammed VI. Le monarque, qui a été intronisé en 1999, suite au décès de feu Hassan II, a été à l’origine du lancement, voire une révolution de l’économie nationale, à travers plusieurs grands projets. Rétrospective.
Le roi Mohammed VI règne sur le Maroc depuis deux décennies. 20 années marquées par le lancement de plusieurs projets d’envergure, l’objectif étant très simple : faire du royaume une référence, si ce n’est une puissance économique africaine à ne pas prendre à la légère.

Ce challenge colossal s’est traduit au fil du règne du roi par le lancement de plusieurs chantiers, dans l’agriculture, l’industrie, les nouvelles technologies, les énergies renouvelables, l’emploi, etc., dans les différentes régions du royaume.

Le Maroc s’impose aujourd’hui en tant que référence, que ce soit dans le tourisme, l’automobile, ou la transformation digitale. La vision du roi Mohammed VI, tout au long de ces 20 années, s’est donc vue se concrétiser petit à petit, mais sûrement.

Sa MajestÈ le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, et le PrÈsident de la RÈpublique franÁaise, SEM. Emmanuel Macron, ont procÈdÈ, jeudi (15/11/18) ‡ Tanger, ‡ l’inauguration du Train ‡ Grande Vitesse « Al BORAQ » reliant la ville du dÈtroit ‡ Casablanca, un projet inÈdit dans son genre au Maghreb et sur tout le continent africain, ayant mobilisÈ des investissements de l’ordre de 22,9 milliards de dirhams.

Au niveau de la finance, le royaume a été l’un des pionniers sur le continent pour ce qui est du lancement des solutions halal, dont le chiffre d’affaires est toujours « timide » face à leurs consœurs traditionnelles, mais cela n’empêche pas que le secteur dispose d’un potentiel de développement non négligeable. En effet, il faudra du temps pour les banques participatives, afin de voir leur activité fleurir, un temps estimé à un maximum de 5 ans selon les experts du secteur bancaire.

Pour ce qui est des monnaies virtuelles, si le royaume était contre au début de façon catégorique, l’on a pu voir un changement de position en 2019, année durant laquelle la Banque Centrale, à travers son Wali, fraîchement nommé conseiller royal, Abdellatif Jouahri, qui a indiqué que le royaume est en train d’étudier de plus près ce domaine avec des entités mondiales, dans l’objectif d’adopter ces solutions dans un futur lointain.

Le Maroc a par ailleurs adopté plusieurs solutions de paiement électronique, s’alignant sur ce qui se fait à l’étranger dans ce domaine. Entre participations distinguées à plusieurs forums internationaux et partage d’expérience dans ce sens, le royaume se place aujourd’hui parmi les leaders en la matière, à noter que l’on est toujours en train de développer de nouvelles solutions dans ce domaine.

Le royaume a par ailleurs été le théâtre de nombreux chantiers importants pour le développement de son économie, notamment le lancement des plateformes logistiques du Port Tanger Med et de l’Atlantic Free Zone de Kénitra. Ces deux plateformes rassemblent plusieurs acteurs économiques majeurs, notamment dans le secteur automobile et aéronautique, ce qui a permis au Maroc de se placer en tant que référence sur le continent, mais dans le monde aussi..............................................


https://fr.hespress.com/86261-economie-les-faits-marquants-du-regne-de-mohammed-vi.html
Mais cela n’empêche pas qu’il y’a encore des lacunes à combler.

En effet, selon Omar Kettani, professeur d’économie à l’Université Mohammed V de Rabat, le Maroc souffre encore de plusieurs anomalies, notamment la corruption et certaines disparités sociales. Pour lui « l’économie marocaine a progressé durant ces 20 années, mais elle a surtout profité aux riches, qui se sont enrichis, alors que la classe moyenne peine à joindre les deux bouts aujourd’hui ».

Kettani nous a indiqué que le royaume a certes innové dans plusieurs secteurs, et qu’« il ne faut pas être nihiliste. Mais il faut qu’il y’ait un réel suivi des réalisations du royaume pour les 15 années à venir. Il faut que les manquements à la réalisation des objectifs par les parties concernées par le développement de l’économie nationale soient sanctionnés ».

Et le professeur Kettani de conclure « il faut rester optimiste. Le Maroc est sur le bon chemin, mais la route est encore longue« .
 
La corruption c'est partout....sinon le Maroc avance c'est pas ce que certains sites francophones veulent nous montrer ....

Mais cela n’empêche pas qu’il y’a encore des lacunes à combler.

En effet, selon Omar Kettani, professeur d’économie à l’Université Mohammed V de Rabat, le Maroc souffre encore de plusieurs anomalies, notamment la corruption et certaines disparités sociales. Pour lui « l’économie marocaine a progressé durant ces 20 années, mais elle a surtout profité aux riches, qui se sont enrichis, alors que la classe moyenne peine à joindre les deux bouts aujourd’hui ».

Kettani nous a indiqué que le royaume a certes innové dans plusieurs secteurs, et qu’« il ne faut pas être nihiliste. Mais il faut qu’il y’ait un réel suivi des réalisations du royaume pour les 15 années à venir. Il faut que les manquements à la réalisation des objectifs par les parties concernées par le développement de l’économie nationale soient sanctionnés ».

Et le professeur Kettani de conclure « il faut rester optimiste. Le Maroc est sur le bon chemin, mais la route est encore longue« .
 
Bah ils vont y arriver je ne m'inquiète pas trop ça va vite....
 
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