Édouard philippe défend la réforme du travail

mam80

la rose et le réséda
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La revalorisation des indemnités légales de licenciement sera moins forte après dix ans d'ancienneté. Ce qui a fait naître une polémique.
Édouard Philippe ne rate jamais une occasion de défendre la réforme du Code du travail. Cette fois, c'est lors des 50 ans de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis), jeudi, au Sénat, que le premier ministre a fait de la pédagogie devant de nombreux journalistes et les partenaires sociaux. Il ne pouvait manquer cette occasion, deux jours après la première mobilisation menée par la CGT et Solidaires.

«Je comprends la légitimité de la critique. Je l'entends, je l'accepte, je la trouve même nécessaire.» Il reste que «rien n'a été caché, tout a été dit, il n'y a pas eu de double discours», a indiqué le chef du gouvernement.

Un message qui s'adressait surtout au secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, assis aux premiers rangs de la salle Clemenceau du Palais du Luxembourg.

Quant à la méthode, «la concertation (avec les partenaires sociaux) a été une vraie concertation» et «sur certains points, le texte a d'ailleurs évolué», a-t-il insisté.

Voilà qui est dit, pendant que Philippe Martinez cherche tant bien que mal à amplifier la mobilisation pour la manifestation du 21 septembre, un jour avant l'adoption des ordonnances en Conseil des ministres. La CFDT et FO refusent toujours de lancer un appel à descendre dans la rue.

vidéo et suite sur http://info.economie.lefigaro.fr/co...ce=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie

ps

<Dans les détails, un salarié touchera bien un quart de mois de salaire par année d'ancienneté, et ce jusqu'à dix ans d'ancienneté, contre un cinquième aujourd'hui.
Ce qui correspond à une hausse de 25 %.

Mais l'exécutif n'a pas mentionné - du moins publiquement - que pour les salariés ayant plus de dix ans d'ancienneté cette revalorisation ne s'appliquera qu'au titre des dix premières années. L

e mode de calcul appliqué à partir la onzième année sera d'un tiers de mois de salaire, comme actuellement, explique-t-on au ministère du Travail.>

ya d'la joie

mam
 
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