salam
Les rejets totalisent un montant de 23.5 milliards de DH en 2012, en hausse de 10.90%. 90% des rejets ont pour motif l'absence ou l'insuffisance de provision. L'institut d'émission appelle à la mise en place de mesures dissuasives pour prévenir contre les rejets.
Les chiffres de Bank Al-Maghrib sont alarmants ! Sur fond dune conjoncture économique difficile, la crédibilité des moyens de paiement scripturaux sérode de plus en plus. Cest du moins le constat que relève, non sans inquiétude, linstitut démission à travers les dernières statistiques sur les instruments de paiement échangés dans les circuits interbancaires.
En effet, le nombre de rejets de chèques, tous motifs confondus, sest élevé à 696 820 au titre de 2012, correspondant à un taux de rejet de 2,51% contre 2,36% en 2011, et un montant de 24,6 milliards de DH, en hausse de 24,3%. Les rejets pour motif de «défaut ou insuffisance de provision» occupent une part prépondérante avec 53,1% du total des rejets, tous motifs confondus. Parallèlement, les lettres de change normalisées (LCN) rejetées ont totalisé environ 651 000, soit un taux de rejet qui culmine à 17,6% contre 17% en 2011, avec plus de 90% des rejets pour absence ou insuffisance de provision. Le montant des LCN rejetées est en hausse de 10,25%, à 23,5 milliards de DH, soit à peu près le même niveau que celui des rejets de chèques.
http://www.lavieeco.com/news/econom...de-17.6-bank-al-maghrib-s-inquiete-25192.html
Les rejets totalisent un montant de 23.5 milliards de DH en 2012, en hausse de 10.90%. 90% des rejets ont pour motif l'absence ou l'insuffisance de provision. L'institut d'émission appelle à la mise en place de mesures dissuasives pour prévenir contre les rejets.
Les chiffres de Bank Al-Maghrib sont alarmants ! Sur fond dune conjoncture économique difficile, la crédibilité des moyens de paiement scripturaux sérode de plus en plus. Cest du moins le constat que relève, non sans inquiétude, linstitut démission à travers les dernières statistiques sur les instruments de paiement échangés dans les circuits interbancaires.
En effet, le nombre de rejets de chèques, tous motifs confondus, sest élevé à 696 820 au titre de 2012, correspondant à un taux de rejet de 2,51% contre 2,36% en 2011, et un montant de 24,6 milliards de DH, en hausse de 24,3%. Les rejets pour motif de «défaut ou insuffisance de provision» occupent une part prépondérante avec 53,1% du total des rejets, tous motifs confondus. Parallèlement, les lettres de change normalisées (LCN) rejetées ont totalisé environ 651 000, soit un taux de rejet qui culmine à 17,6% contre 17% en 2011, avec plus de 90% des rejets pour absence ou insuffisance de provision. Le montant des LCN rejetées est en hausse de 10,25%, à 23,5 milliards de DH, soit à peu près le même niveau que celui des rejets de chèques.
http://www.lavieeco.com/news/econom...de-17.6-bank-al-maghrib-s-inquiete-25192.html