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[QUOTE="Hibou57, post: 17436970, member: 82014"] La suite, sur la dette publique. Les intervenants sont les mêmes : Pierre Sabatier et Oliver Delamarche [(ça me fait, le générique du début, quand ils affichent son nom, au même moment apparaît l’image d’un escalier). J’essai de résumer. D’après des études statistiques, en général, quand un état est à plus de 90 % de dette, ça se termine et récession/inflation. Ce n’est pas une règle absolue, c’est une forte probabilité. Des gens objectent que ça n’est pas toujours le cas. En effet, il y a des cas particuliers, mais ça reste le cas en général. D’autres font remarquer que c’est la charge de la dette qui importe le plus, plus que le montant de la dette. En parlant de ça, un intervenant voit justement un mauvais signe dans ce qu’est cette charge actuellement. La charge de la dette est faible, parce que les prêts sont à 0 %, par un jeu de la Banque Centrale Européenne, qui n’est pas expliqué. S’il y voit un mauvais signe, c’est parce que si la BCE s’assure que la charge est de 0 %, c’est parce que la dette est un tel problème que si le taux montait un peu, la dette des pays leur exploserait à la figure. Ça me semble crédible, parce que je trouve étrange que des gens fassent des prêts à 0 %, alors en effet, ça sent le coup‑fourré. Une autre question soulevée, est celle du calcul et de la pertinence du PIB. Comme beaucoup de gens je crois, je pensais que le PIB, c’est la valeur ajoutée produite par l’économie, qu’on déduit des échanges commerciaux. Mais si ce que dit l’un des intervenants est vrai, alors il y a une bizarrerie : est ajouté au PIB, le salaire des fonctionnaires, aussi. Ajouter des salaires à un PIB, c’est étrange. Même concernant la valeur ajoutée créé par l’économie, est posée la question de sa valeur réelle, surtout quand cette valeur ajoutée est rendue possible seulement par de la dette supplémentaire. L’exemple pris est celui des états qui souscrivent des dettes pour créer des emplois qui n’apportent pas réellement quelques chose, c’est à dire que rien n’est produit permettant à l’avenir, soit de faire des économies, et d’en tirer des bénéfices. Cette activité, quand elle est financée par de la dette, produit du PIB, mais artificiel. Je ne me prononce pas sur ce point, je n’ai pas d’idée de l’ampleur réelle de ce phénomène. Concernant la hausse du PIB de cette année, il est remarqué qu’elle n’est qu’une conséquence de la récession de l’année précédente et que le cumul de la croissance négative de l’année 2020 et de celle positive de l’année 2021, ne fait même pas un bilan positif. Chose rarement entendue : l’un des deux intervenants fait remarquer que le privé est plus prudent avec l’endettement, que ne l’est l’état. L’année 2021 devrait se terminer en france, avec une dette à 115 %, elle est prédite à 113 % pour 2022. Ce n’est qu’une résumé spontané, j’ai put oublier d’autres choses importantes aussi. [B]Notre croissance est-elle artificielle ? — C’est cash / RT France — 6 Décembre 2021[/B] [video][MEDIA=youtube]k28iLmitxTU[/MEDIA] [/QUOTE]
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