Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Élections 2011 au Maroc
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="bouskan, post: 9632670, member: 290347"] Cette faible participation constitue d'abord un échec pour le roi et pour la réforme constitutionnelle qu'il a contrôlée de bout en bout en ne renonçant qu'à très peu de prérogatives qu'il détenait dans la précédente constitution. En ne participant que faiblement à ces législatives, les Marocains disent, notamment, qu'ils ne croient pas dans la nouvelle organisation des institutions, telles qu'elles sont prévues dans la nouvelle constitution. 2 Les principaux partis ont obtenu des scores décevants Ensuite, ce taux de participation et les résultats obtenus par les partis politiques constituent un échec pour ces derniers. Il s'agit d'un échec pour ceux qui étaient la locomotive de la coalition du G8, laquelle fédérait huit formations, dont les principales dites du « Palais » : le RNI, conduit par le ministre des Finances sortant ; le PAM, créé il y a trois ans à l'initiative de l'ancien ministre de l'Intérieur et proche du roi Ces deux partis fédèrent des personnalités opportunistes et particulièrement dociles vis-à-vis du Palais, et sont arrivés troisièmes et quatrièmes. Ce taux et le résultat obtenu par l'autre coalition, la Koutla, composée des trois « vieux » partis, dont l'Istiqlal, premier parti marocain et parti ayant mené la lutte pour l'indépendance, et l'USFP (socialiste) marquent un échec de ces derniers. Ils sont certes respectivement deuxième et cinquième de ce scrutin mais ils ont perdu, depuis longtemps, quasiment toute crédibilité, ayant participé notamment aux deux précédents gouvernements qui ne faisaient qu'appliquer la politique dictée par le roi (le gouvernement sortant était d'ailleurs conduit par le responsable du parti de l'Istiqlal). De même, ce taux de participation, faible, mais pas suffisamment faible, ne constitue qu'un demi-succès pour le mouvement du 20 février et pour les partis qui appelaient au boycott. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Élections 2011 au Maroc
Haut