Elle rentre pour une simple opération, elle ressort avec un rein en moins (vidéo)

C'est l'histoire de Fatiha, une femme originaire d'Essaouira qui a été admise à l'hôpital Ibn Rochd de Casablanca fin septembre dernier pour une simple opération de calculs rénaux, elle en est sortie avec un rein de moins.
La famille accuse l'équipe médicale de lui a avoir enlevé le rein sans l'en avertir alors que les chirurgiens, quant à eux, affirment que la famille était bien au courant de l'intervention chirurgicale.
« Les calculs que présentait la patiente étaient en fait le résultat d'une infection (...)

- Société / Essaouira, Vidéos, Casablanca

Elle rentre pour une simple opération, elle ressort avec un rein en moins (vidéo)
 
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Ca arrive en France aussi hein des erreurs médicales, de patients, de diagnostics...

Bon courage à cette femme si elle entame des procédures contre l'hôpital...
 
Je parie que ces "chirurgiens"ne seront même pas inquiétés par la justice. Pour être arrêtés il eût fallu qu'ils s'embrassent en public ou pire encore qu'ils mangent à la vue de tous pendant le ramadan.
 
Drianke a dit:
Ca arrive en France aussi hein des erreurs médicales, de patients, de diagnostics...

Bon courage à cette femme si elle entame des procédures contre l'hôpital...
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effectivement...le coup du chirurgien qui oublie le ciseau dans le ventre de la patiente
c est arrivé plus d une fois....le coup du chirurgien qui se trompe de jambe egalement...
ca fait sourire mais je voudrais pas etre à la place du patient.
 
J'ai vu ça aux infos hier mskina. Un des médecins disait que son rein était en mauvais état. Allah o3lem.

Courage à cette femme et sa famille!


J'ai toujours eu la hantise de devoir être hospitalisée quand je suis vacances au maroc quand on entend ce genre d'histoire ca ne rassure pas :(
 
Jumanjii a dit:
J'ai vu ça aux infos hier mskina. Un des médecins disait que son rein était en mauvais état. Allah o3lem.

Courage à cette femme et sa famille!


J'ai toujours eu la hantise de devoir être hospitalisée quand je suis vacances au maroc quand on entend ce genre d'histoire ca ne rassure pas :(
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Ce genre de chose arrive en France aussi, le fils de Depardieu a perdu sa jambe à cause d'un mauvais hôpital en France, ma mère a eu de graves séquelles à causes de 2 opérations ratées, moi j'ai failli perdre une jambe à Deauville, ils ont plâtré ma jambe qui était enflée sans faire de radio, elle a continué à enfler à l'intérieur du plâtre et je n'avais aucune fracture.

Alors que j'ai été opéré pour mon dos dans un autre hôpital, un vieux monsieur venu là pour une crise cardiaque, ils lui ont brisé le bras et il est ressorti avec un bras dans la plâtre.
 
@etre2en1 oui je m'en doute. Je ne dis pas que tous les hôpitaux marocains ne valent pas un sou il y en a sûrement qui soignent très bien. Mais disons qu'il y a des histoires que l'on ne retrouvera pas en France du moins pas encore. (Vente d'organe)
 
J'ai moi aussi vécu une "drôle" de mésaventure en ayant été opéré dans un hôpital universitaire bruxellois il y a de cela 25 ans.

Ma mésaventure: Quelques heures après avoir été opéré et de retour à l'étage, dans ma chambre, j'avais un affreux mal de tête, je le signalais à une infirmière qui me répondit que cela passerait, que cela arrivait parfois après une longue période sous anesthésie.
Dans la soirée ma famille m'avait rendu visite, dès qu'ils me virent ils me demandèrent comment se faisant-il que mon oreiller soit à ce point couvert de cheveux. Ce ne fût qu'à ce moment là que je constatais que j'avais perdu presque tous mes cheveux situés à l'arrière de mon crâne et en le touchant je découvris une énorme bosse à l'endroit même où mes cheveux étaient tombés. Paniqué, ma famille appela alors directement le chirurgien qui m'avait opéré. Arrivé, il fût lui tout aussi surpris en constatant l'énorme bosse présente sur l'arrière de mon crâne, il fît à alors appel aux infirmières qui finalement nous avouèrent avoir accidentellement cogné ma tête sur le coin du lit lorsqu'elles m'eurent soulevé et changé de lit après l'opération j’étais à ce moment là toujours inanimé sous les effets de l'anesthésie générale donc je n'en avais aucun souvenir et étais tout aussi surpris que ma famille en apprenant la raison de mon état.

Loin d'être aussi grave que l'histoire de cette pauvre femme mon expérience m'a appris que non seulement il n'y a pas d'hospitalisation sans risque mais qu'en plus les personnels de clinique, du chirurgien à l'infirmière ont pour la durée de notre hospitalisation nos vies entre leurs mains. En effet nous n'avons pas d'autre choix que de leur accorder une totale confiance et d'abandonner notre sort à leur bon vouloir.
Cette responsabilité fait de leur profession une profession particulière qui ne devrait être dans l'absolu pratiquée que par des personnes qualifiés mais également psychologiquement stables. Malheureusement pour ce qui est de l'évaluation de l'état psychologique des personnels soignants il n'existe à l'heure actuelle RIEN. Si cela existe pour les pilotes de lignes (dont on voit directement le lien entre leur état psychologique et le risque encouru par les passagers qu'ils transportent) il n'y a en revanche rien de similaire ni rien qui soit prévu pour évaluer et garantir un état psychologiquement stables des personnels soignants.
 
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