:En attaquant l'Iran, Israël visait le changement de régime comme l'avaient fait la CIA et le MI6 en 1953

Les agences de renseignement britanniques et américaines ont orchestré un changement de régime en Iran dans les années 1950, utilisant des réseaux secrets initialement créés pour contrer l'influence soviétique. Plutôt que de traiter l'Iran comme un partenaire commercial équitable, Washington et Londres l'ont perçu comme une colonie économique, craignant que la nationalisation des ressources iraniennes n'inspire d'autres pays à revendiquer leur indépendance économique.


Le 19 août 1953, l'Iran a connu un coup d'État orchestré par les États-Unis et le Royaume-Uni, renversant le Premier ministre démocratiquement élu, Mohammad Mossadegh, et rétablissant la monarchie de Mohammad Reza Pahlavi. Cette opération, menée par la CIA et le MI6, a impliqué des politiciens, des militaires et des médias soudoyés, ainsi que des manifestations orchestrées. Le coup d'État a plongé le pays dans la violence pendant quatre jours, entraînant des centaines de victimes et un procès simulé pour Mossadegh, qui a marqué le début de 26 ans de régime autoritaire, jusqu'à la révolution islamique de 1979.

Ce coup d'État a été motivé par la nationalisation des ressources naturelles de l'Iran, une décision qui a suscité l'anxiété des puissances occidentales, notamment en raison du monopole britannique sur l'industrie pétrolière via l'Anglo-Iranian Oil Company (AIOC). Mossadegh cherchait des conditions plus équitables pour l'Iran, mais a fait face à une forte résistance britannique, qui a réagi par des sanctions économiques et des menaces d'intervention militaire.

Le service persan de la BBC, en collaboration avec l'ambassade britannique, a diffusé une propagande visant à inciter les Iraniens à se retourner contre leur gouvernement et la nationalisation, tout en dépeignant les Iraniens de manière condescendante. Les responsables britanniques ont demandé à la BBC de présenter la nationalisation comme un suicide économique, malgré les témoignages des travailleurs iraniens qui contestaient cette narrative. Les médias américains, quant à eux, ont vilipendé le Premier ministre Mossadegh, le comparant à des dictateurs, et ont salué le retour du Shah comme un signe de stabilité.

Cette intervention étrangère a engendré un ressentiment durable en Iran, culminant avec la révolution de 1979. L'occupation de l'ambassade américaine par des étudiants iraniens a été justifiée par la peur d'un nouveau coup d'État soutenu par l'étranger, un soupçon confirmé par des documents trouvés sur place. Cette crise a également eu des répercussions politiques aux États-Unis, affectant la réélection du président Jimmy Carter, perçue à Téhéran comme une revanche pour les événements de 1953.

La politique américaine envers l'Iran a été marquée par une hostilité persistante, se traduisant par le refus de reconnaître les gouvernements élus, le soutien à des groupes anti-iraniens, des opérations secrètes, ainsi que l'imposition de sanctions et le gel d'avoirs iraniens. Malgré des documents déclassifiés de la CIA confirmant l'implication des États-Unis et du Royaume-Uni dans le coup d'État de 1953 contre le gouvernement démocratiquement élu de Téhéran, des récits révisionnistes continuent de circuler. Des exilés monarchistes cherchent à minimiser le rôle étranger ou à exagérer les facteurs internes, poursuivant des agendas politiques contre l'Iran.

Parmi les figures révisionnistes, on trouve l'ancien diplomate pahlavi Darioush Bayandor et des écrivains comme Abbas Milani, Amir Taheri et Ray Takeyh, souvent associés à des institutions comme le WINEP et le Gatestone Institute. L'ancien envoyé américain Brian Hook a également soutenu que les États-Unis n'avaient pas joué de rôle dans le coup d'État.

Les médias soutenus par l'Occident, tels que Radio Farda, BBC Persian, Iran International et DW Persian, continuent de relayer ces récits, influençant l'opinion publique iranienne. De plus, de nombreux responsables britanniques demeurent réticents à reconnaître le rôle du MI6, bien que certains, comme l'ancien ministre des Affaires étrangères David Owen, aient appelé à une reconnaissance de la vérité historique.
 
La guerre de 12 jours entre Israël et l'Iran, soutenue par les États-Unis, avant pour but de déstabiliser le régime iranien et à provoquer un changement de gouvernement. Depuis son retour au pouvoir en 2022, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a intensifié ses efforts pour renverser le régime iranien,
le qualifiant de faible. L'administration Trump a apporté un soutien militaire à Israël, y compris des frappes sur des installations nucléaires iraniennes, et a proféré des menaces contre les dirigeants iraniens, indiquant que cette guerre était un projet planifié à Washington.

Les pays européens, notamment l'Allemagne, ont également été impliqués, soutenant l'agression israélienne. L'objectif de ces actions, qui remonte à 1953, est d'imposer un gouvernement iranien docile, permettant aux États-Unis et à Israël de contrôler les ressources iraniennes et de rétablir une domination occidentale similaire à celle d'avant 1979.
 
Israël et l’Iran se préparent tous les deux à la prochaine guerre, mais le mouvement «America First» continue d’éloigner les États-Unis d’Israël.
Aucune inquiétude de la part du musulman que je suis.
L’Organisation de Coopération Islamique qui est la deuxième plus grande organisation intergouvernementale après les Nations Unies, qui a l'adhésion de 57 États, répartis sur quatre continents , le porte-voix du monde musulman va infliger à Israël en cas d'attaque de l'Iran, une défaite historique.

Ne t'inquiète pas :)
 
La guerre de 12 jours entre Israël et l'Iran, soutenue par les États-Unis, avant pour but de déstabiliser le régime iranien et à provoquer un changement de gouvernement. Depuis son retour au pouvoir en 2022, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a intensifié ses efforts pour renverser le régime iranien,
le qualifiant de faible. L'administration Trump a apporté un soutien militaire à Israël, y compris des frappes sur des installations nucléaires iraniennes, et a proféré des menaces contre les dirigeants iraniens, indiquant que cette guerre était un projet planifié à Washington.

Les pays européens, notamment l'Allemagne, ont également été impliqués, soutenant l'agression israélienne. L'objectif de ces actions, qui remonte à 1953, est d'imposer un gouvernement iranien docile, permettant aux États-Unis et à Israël de contrôler les ressources iraniennes et de rétablir une domination occidentale similaire à celle d'avant 1979.

Depuis le tempsque je dis que toute cette gesticulation à propos d'armes nucléaires n'est qu'un rideau de fumée pour cette grenouille sioniste qui veut se faire aussi grosse qu'un boeuf avec la complicité des génocidaires US et leurs larbins européens ne visent qu'un but...à savoir...assurer la domination israelo anglo US dans la région pour retrouver le temps béni du fantoche du Shah Pahlavi quand les majors du pétrole occidentaux et le Mossad étaient chez eux en Iran.

.
 
Aucune inquiétude de la part du musulman que je suis.
L’Organisation de Coopération Islamique qui est la deuxième plus grande organisation intergouvernementale après les Nations Unies, qui a l'adhésion de 57 États, répartis sur quatre continents , le porte-voix du monde musulman va infliger à Israël en cas d'attaque de l'Iran, une défaite historique.

Ne t'inquiète pas :)
Tu crois que c'est pour ça que le chef des terroristes wahhabites al Joulani est allé voir le plus grand pays musulman d'Europe ( la Russie) avant d'aller voir Trump ?
 
Depuis le tempsque je dis que toute cette gesticulation à propos d'armes nucléaires n'est qu'un rideau de fumée pour cette grenouille sioniste qui veut se faire aussi grosse qu'un boeuf avec la complicité des génocidaires US et leurs larbins européens ne visent qu'un but...à savoir...assurer la domination israelo anglo US dans la région pour retrouver le temps béni du fantoche du Shah Pahlavi quand les majors du pétrole occidentaux et le Mossad étaient chez eux en Iran.

.
Il est clair que depuis au moins 20 ans, les états unis comme Israël veulent un changement de régime à Téhéran. Ils ont essayé tous les moyens possibles, mais en vain. Désespérés par leurs tentatives infructueuses, ils ont essayé la manière forte de décapitation , mais ça n'a pas marché.

Étant donné les réserves militaires « pharaoniques » de l'Iran, il est probable que ce deuxième round soit le dernier pour Israël.
 
لاحول ولا قوة إلا بالله العلي العظيم .صبحان مبدل.
الأحوال
فانقلب الجولاني
Je crois que aljoulani voulait assurer ses arrières car le pays est ingouvernable , pendant que la Russie voulait garder ses bases à Tartous et Khmeimim opérationnelles .
Par contre si israel utilise son agent d'Al Nosra et attaque L'Iran depuis la Syrie, je ne donnerai pas cher à la peau de ce dernier.
 
Retour
Haut