Enfin une bonne nouvelle

Le taux de concentration des trois gaz à effet de serre les plus dangereux a atteint des nouveaux records


Le taux de croissance global du CO2 a presque été multiplié par quatre depuis le début des années 1960

L’année dernière, le taux de concentration des trois gaz à effet de serre les plus dangereux relâchés dans l’atmosphère – dioxyde de carbone, méthane et protoxyde d’azote – a atteint des nouveaux records.

Des gaz contribuant au réchauffement de la planète ont atteint des niveaux records partout dans le monde en 2017, une année marquée par des températures anormalement élevées et une fonte des glaces sans précédent dans l’Arctique, selon un document de référence publié ce mercredi.

Selon ce rapport annuel publié par l’Agence nationale océanique et atmosphérique (NOAA) et la société américaine des météorologistes, tout un ensemble d’indicateurs montre que le réchauffement de la planète s’est accéléré sous l’effet de la combustion d’énergies fossiles qui augmentent la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère en 2017, l’année durant laquelle Donald Trump a annoncé le retrait des États-Unis de l’accord international de Paris sur le climat.

Les États-Unis sont le second pollueur au monde derrière la Chine mais l’élection du milliardaire républicain a mené au pouvoir des climatosceptiques qui doutent de la responsabilité de l’homme dans le réchauffement de la planète et ont entrepris de démanteler les législations de l’administration Obama destinées à mitiger l’effet néfaste des activités humaines.


Ce rapport de 300 pages, compilé par plus de 450 scientifiques originaires d’une soixantaine de pays, emploie le mot «anormal» plus d’une douzaine de fois pour décrire des tempêtes, des sécheresses, les températures élevées ou encore la fonte record de la glace dans l’Arctique qu’a connu 2017.

Voici les principales conclusions:



Hausse des gaz à effet de serre
L’année dernière, le taux de concentration des trois gaz à effet de serre les plus dangereux relâchés dans l’atmosphère – dioxyde de carbone, méthane et protoxyde d’azote – a atteint des nouveaux records.

Le taux de concentration annuel de dioxyde de carbone à la surface de la Terre a atteint 405 parties par million (ppm), «au plus haut dans l’enregistrement des mesures atmosphériques modernes».

«Le taux de croissance global du CO2 a presque été multiplié par quatre depuis le début des années 1960», ajoute le document.



Chaleur
Le record de l’année la plus chaude de l’époque moderne a été battu en 2016 mais 2017 n’en est pas loin avec «des températures bien plus élevées que la moyenne» sur une bonne partie de la planète, souligne le rapport.

En fonction des données sur lesquelles on se base, 2017 a été la seconde ou la troisième année la plus chaude depuis le milieu du XIXème siècle et elle a été «l’année sans El Nino la plus chaude» depuis que les données sont systématiquement collectées, souligne le rapport, faisant référence au phénomène climatique occasionnel qui pousse les températures à la hausse.

L’année dernière, des températures record ont été enregistrées en Argentine, en Uruguay, en Espagne et en Bulgarie. Quant au Mexique, il a «battu son record de chaleur pour la quatrième année consécutive».



Glaciers rétrécis en Arctique
Dans l’Arctique, la température au sol était de 1,6 degré Celsius supérieure à la moyenne enregistrée sur la période 1981-2010 et le rapport souligne «que l’Arctique n’a pas connu de températures aussi anormalement élevées de l’air et de la surface de l’eau depuis 2.000 ans».

En mars, l’étendue maximale de la banquise était la plus faible depuis 37 ans qu’elle est mesurée par satellite.

Les glaciers de la planète ont aussi rétréci pour la 38ème année consécutive.



Déluge
«Les précipitations sur la terre ferme en 2017 ont été nettement au-dessus de la moyenne», souligne le rapport.

Des températures plus élevées des masses océaniques ont conduit à un taux d’humidité plus élevé, en particulier ces trois dernières années, provoquant plus de précipitations», tandis que d’autres parties de la planète ont souffert de longues périodes de sécheresse.



Blanchissement destructeur
Le réchauffement océanique a aussi des conséquences très graves pour le corail dont il provoque le blanchissement, privant ainsi poissons et autres animaux marins d’un précieux habitat.

«Le plus récent épisode mondial de blanchissement du corail a duré trois années pleines de juin 2014 à mai 2017 et a été le plus long et le plus étendu jamais enregistré», souligne le rapport.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
Cette étude ne vaut rien. Il y a pas de réchauffement climatique, pas d’augmentation du CO2, pas de responsabilité humaine. La planète est aussi froide qu’il y a 150 ans!

Alors cette étude? C’est un complot (comme d’habitude) et les gens intelligents sont ceux qui la rejettent et préfèrent s’informer sur les médias alternatifs. :)
 

Bibille

Suspicion
Cette étude ne vaut rien. Il y a pas de réchauffement climatique, pas d’augmentation du CO2, pas de responsabilité humaine. La planète est aussi froide qu’il y a 150 ans!

Alors cette étude? C’est un complot (comme d’habitude) et les gens intelligents sont ceux qui la rejettent et préfèrent s’informer sur les médias alternatifs. :)

Et je rajoute que c'est du business avec leur histoire de taxe carbone, un autre moyen de gratter. :cool:
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Et je rajoute que c'est du business avec leur histoire de taxe carbone, un autre moyen de gratter. :cool:
Ébion faisait de l’ironie, mais je suis d’accord avec toi, cette histoire de taxe carbone est un business. À part ça, j’ai entendu quelque part qu’il y a 280 ans il a fait aussi chaud que maintenant. Le climat a toujours changé et changera toujours.

Concernant les gens qui croient à la théorie du CO2 (et ne crois pas à l’effet de serre de la vapeur d’eau), on peut quand‑même s’étonner de leur inertie qui contraste beaucoup avec leur catastrophisme ; ça laisse interrogatif.
 

etre2en1

intersex people are cool
VIB
Ébion faisait de l’ironie, mais je suis d’accord avec toi, cette histoire de taxe carbone est un business. À part ça, j’ai entendu quelque part qu’il y a 280 ans il a fait aussi chaud que maintenant. Le climat a toujours changé et changera toujours.

Concernant les gens qui croient à la théorie du CO2 (et ne crois pas à l’effet de serre de la vapeur d’eau), on peut quand‑même s’étonner de leur inertie qui contraste beaucoup avec leur catastrophisme ; ça laisse interrogatif.
On entend partout des fausses infos pour faire croire que le climat ne s'est pas réchauffé, qu'il n'y a pas de dégâts et que l'homme ne joue aucun rôle négatif, on voit bien que le complexe industriel et capitaliste joue bien son rôle de lobbyste pour protéger leurs revenus au détriment du climat.
Mais les faits sont là et indiscutables sauf par des personnes de mauvaise foi ou ignorantes.
 
Cette étude ne vaut rien. Il y a pas de réchauffement climatique, pas d’augmentation du CO2, pas de responsabilité humaine. La planète est aussi froide qu’il y a 150 ans!

Alors cette étude? C’est un complot (comme d’habitude) et les gens intelligents sont ceux qui la rejettent et préfèrent s’informer sur les médias alternatifs. :)
cette etude n est rien si on la verifie soit meme
et je la verifie car quand je retourne dans un endroit apres des années je vois que c est plus
asseché, l air que je respirais y a 20 ans n est pas le meme
une fois qu on connais un minimum de physique et de chimie on sait que c est vrai
toute cette voiture et ces avions et ces bateau c est comme quelqu un qui est dans son garage et qui
allumer son moteur c est tout simplement du suicide
on est entrain tous de suicider sur cette planète
 
Ébion faisait de l’ironie, mais je suis d’accord avec toi, cette histoire de taxe carbone est un business. À part ça, j’ai entendu quelque part qu’il y a 280 ans il a fait aussi chaud que maintenant. Le climat a toujours changé et changera toujours.

Concernant les gens qui croient à la théorie du CO2 (et ne crois pas à l’effet de serre de la vapeur d’eau), on peut quand‑même s’étonner de leur inertie qui contraste beaucoup avec leur catastrophisme ; ça laisse interrogatif.

Oui il y a toujours eu des variations
 

Difkoum

Anti sioniste et khawa khawa.
Ébion faisait de l’ironie, mais je suis d’accord avec toi, cette histoire de taxe carbone est un business. À part ça, j’ai entendu quelque part qu’il y a 280 ans il a fait aussi chaud que maintenant. Le climat a toujours changé et changera toujours.

Concernant les gens qui croient à la théorie du CO2 (et ne crois pas à l’effet de serre de la vapeur d’eau), on peut quand‑même s’étonner de leur inertie qui contraste beaucoup avec leur catastrophisme ; ça laisse interrogatif.
Tout ça, c'est la faute aux féministes!!!!!
 
a destruction de notre planète est une politique de prédation sociale : en détournant le regard face au réchauffement climatique, nos dirigeants s'enferment dans une attitude méprisante, coupable et dangereuse.

La planète brûle littéralement, et nous regardons ailleurs. Un appel qui semble n’avoir jamais été aussi cuisant et actuel. Car face au jour le plus chaud jamais mesuré, aux milliers d’hospitalisations, aux dizaines de morts au cœur même de l’Europe, au cercle arctique qui prend feu, les Etats membres de l’Union européenne se gargarisent de pouvoir faire preuve de solidarité à travers une aide technique face aux incendies en Grèce ou en Suède. Une aberration, là où la véritable solidarité consisterait à lutter réellement et rapidement contre le réchauffement climatique, là où nul n’assume la responsabilité d’être à l’origine de ces catastrophes.
Car les catastrophes climatiques actuelles ont une cause : l’action humaine. Et à celles et ceux qui considèrent encore l’environnement comme une affaire de «bobos», nous répondons que la destruction de notre planète constitue une véritable politique de prédation sociale, peut-être même la plus grave – car irréparable.

Les violences infligées par la destruction environnementale sont graves. Nous pourrions passer de 3 000 décès annuels à 150 000 d’ici à 2050. Les températures n’ont jamais été aussi élevées, et Jean Jouzel, climatologue et ancien vice-président du Giec, nous annonce des pointes à 45 °C en France dans la décennie qui vient.

Inégalités
Les victimes se situent en premier lieu dans les pays les plus chauds, dont nombre n’ont pas bénéficié de la prospérité d’un monde qui consomme plus qu’il ne devrait. Elles se situent déjà aussi chez nous, dans les pays développés, et jusqu’au cœur de l’Europe : les terribles incendies et vagues de chaleur de l’été 2017 en Grèce, au Portugal et en Italie, devraient se répéter annuellement, et l’été 2018 accuse déjà un lourd (...)
 
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