Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Enfin une bonne nouvelle
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="majid10, post: 15880797, member: 388995"] a destruction de notre planète est une politique de prédation sociale : en détournant le regard face au réchauffement climatique, nos dirigeants s'enferment dans une attitude méprisante, coupable et dangereuse. La planète brûle littéralement, et nous regardons ailleurs. Un appel qui semble n’avoir jamais été aussi cuisant et actuel. Car face au jour le plus chaud jamais mesuré, aux milliers d’hospitalisations, aux dizaines de morts au cœur même de l’Europe, au cercle arctique qui prend feu, les Etats membres de l’Union européenne se gargarisent de pouvoir faire preuve de solidarité à travers une aide technique face aux incendies en Grèce ou en Suède. Une aberration, là où la véritable solidarité consisterait à lutter réellement et rapidement contre le réchauffement climatique, là où nul n’assume la responsabilité d’être à l’origine de ces catastrophes. Car les catastrophes climatiques actuelles ont une cause : l’action humaine. Et à celles et ceux qui considèrent encore l’environnement comme une affaire de «bobos», nous répondons que la destruction de notre planète constitue une véritable politique de prédation sociale, peut-être même la plus grave – car irréparable. Les violences infligées par la destruction environnementale sont graves. Nous pourrions passer de 3 000 décès annuels à 150 000 d’ici à 2050. Les températures n’ont jamais été aussi élevées, et Jean Jouzel, climatologue et ancien vice-président du Giec, nous annonce des pointes à 45 °C en France dans la décennie qui vient. [B]Inégalités[/B] Les victimes se situent en premier lieu dans les pays les plus chauds, dont nombre n’ont pas bénéficié de la prospérité d’un monde qui consomme plus qu’il ne devrait. Elles se situent déjà aussi chez nous, dans les pays développés, et jusqu’au cœur de l’Europe : les terribles incendies et vagues de chaleur de l’été 2017 en Grèce, au Portugal et en Italie, devraient se répéter annuellement, et l’été 2018 accuse déjà un lourd (...) [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
Enfin une bonne nouvelle
Haut