En plus qu'elle n'a aucune idée de quoi elle parle.
L'esclavage date d'avant l'Islam en Eurooe et ce dès l'Antiquité.
Athènes sera peuplée en majorité d'esclaves.
S'en suivra l'Empire romain.
Et les juifs en ont fait leur commerce principal en plus de l usure dès l'an 600 avec charte donnée par les rois catholiques à condition de ne pas vendre des chretiens mais uniquement des païns slaves des Balkans et du Caucase.
Et bien sûr vu l'appât du gain ils ont quand même vendu des chrétiens ce qui a mis en colère ces rois de l'epoque.
Les Rhadanites juifs s'en feront une spécialité parcourant l'Europe et l'Asie pour acheter et vendre des esclaves. Ils parlaient plusieurs langues pour leur commerce.
Ils vont s' illustrer après leur expulsion d'Espagne pour aller au Brésil après l introduction de la canne au sucre en etant les premiers à faire entrer des esclaves dont des musulmans dont les descendants sont restés fidèles à la foi islamique.
Ce commerce d'esclaves était contrôle par les juifs brésiliens et français qui fera la fortune des juifs d'origine portugaise notamment des Gradis a Bordeaux Nantes Cadix...etc
Au 16e 17e et début 18e siècle selon l'historien Allessandro Stella il y'avait jusque 2.000.000 d'esclaves maghrébins turcs et noirs en Europe capturés en Méditerrannée notamment les pélerins allant vers la Mecque.
Les filles et femmes etaient exploitées sexuellement en plus d'être attachées aux tâches domestiques.
Les enfants issus des viols seront amenes aux couvents pour couvrir les scandales. Les milliers de naissances seront consignés par les religieux.
Les marchés d'esclaves se trouvaient à Livourne Séville Lisbonne Bristol...etc...
Plus tard lors de la colonisation ce seront encore des viols par millions sur tous les continents en plus du travail forcé d'enfants de femmes d hommes.
L'Afrique et en particulier le Congo verra sa population décimée par millions par les mauvais traitements guerres pour capturer la main d oeuvre gratuite pour le caoutchouc et des mains coupées d enfants quand le père fuyait le travail forcé.
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Dans les années 1880, le roi Léopold II de Belgique s'empare à titre personnel de l'immense bassin du fleuve Congo, afin de faire main basse sur ses prodigieuses richesses.
Réduite en esclavage, la population est soumise au travail forcé, subit tortures et mutilations, au point qu'on estime à 10 millions le nombre de victimes africaines du monarque et de ses serviteurs.
Au début du xxe siècle, tandis que Léopold est célébré dans l'Europe entière comme un philanthrope et un humaniste, des voix s'élèvent contre ses atrocités. Edmund Dene Morel, et à sa suite une poignée de chefs rebelles, de voyageurs, de missionnaires et d'idéalistes, vont donner naissance au premier mouvement international de défense des droits de l'homme et l'emporter sur le souverain mégalomane.
Ce récit de crimes oubliés, véritable dissection du système colonial, offre des clés indispensables à la compréhension d'une actualité tragique.