Contrairement à certaines idées reçues, le mois du Ramadan n’impacte pas la productivité des collaborateurs en entreprise. C’est ce que révèle la dernière étude du portail de l’emploi au Maroc portant sur les habitudes des professionnels marocains pendant ce mois sacré.
Le Ramadan n’a aucun impact sur la productivité au travail. C’est ce qui ressort de la dernière étude menée par le portail de l’emploi au Maroc, Rekrute, qui s’intéresse de près aux habitudes des professionnels marocains. L’étude a été menée auprès de 1.945 Marocains, majoritairement des jeunes de 25-34 ans.
En chiffres, 52% des Marocains estiment que le Ramadan n’a aucun impact sur leur vie professionnelle. Seulement 19% déclarent que le Ramadan a un impact négatif sur leur quotidien professionnel. Des chiffres significatifs qui modifient certaines croyances impliquant qu’il faut anticiper une baisse de régime des salariés pendant le mois du jeûne. Soulignons dans ce sens que ce mois sacré apporte son lot de changements liés au rythme de vie des jeûneurs, notamment une modification des habitudes alimentaires et une baisse du temps du sommeil. Ces changements peuvent d’ailleurs avoir des impacts sur le quotidien professionnel des salariés.
Comment ces derniers s’en sortent-ils ? L’étude révèle ainsi que les Marocains organisent leur journée de travail. Quelque 52% des répondants s’organisent pour que leurs activités importantes aient lieu le matin et 47% essaient de dormir tôt. Les Marocains sont donc de plus en plus conscients des bonnes habitudes à adopter. Côté employeurs, l’étude conclut que ces derniers s’adaptent aussi à la particularité de ce mois et relâchent la pression sur leurs collaborateurs. À la question, votre employeur vous impose-t-il des objectifs spécifiques pendant le mois du Ramadan, 67% ont répondu non. Autant dire que si la productivité des Marocains ne baisse pas pendant le mois du Ramadan c’est grâce d’une part, aux salariés eux-mêmes qui s’organisent au quotidien, et d’autre part, aux employeurs qui prennent en considération les limites de leurs collaborateurs.
Autre chiffre important à souligner : 72% des Marocains souhaiteraient garder les horaires du mois du Ramadan tout au long de l’année. «Finir leur journée de travail plus tôt leur permettrait d’être plus épanouis et d’arriver à un équilibre vie personnelle/vie professionnelle», souligne Rekrute dans son étude.
Rappelons par ailleurs que Rekrute a déjà mené une enquête en 2015 sur la productivité des Marocains pendant le Ramadan. Les résultats restent plus ou moins les mêmes.
lematin.ma
Le Ramadan n’a aucun impact sur la productivité au travail. C’est ce qui ressort de la dernière étude menée par le portail de l’emploi au Maroc, Rekrute, qui s’intéresse de près aux habitudes des professionnels marocains. L’étude a été menée auprès de 1.945 Marocains, majoritairement des jeunes de 25-34 ans.
En chiffres, 52% des Marocains estiment que le Ramadan n’a aucun impact sur leur vie professionnelle. Seulement 19% déclarent que le Ramadan a un impact négatif sur leur quotidien professionnel. Des chiffres significatifs qui modifient certaines croyances impliquant qu’il faut anticiper une baisse de régime des salariés pendant le mois du jeûne. Soulignons dans ce sens que ce mois sacré apporte son lot de changements liés au rythme de vie des jeûneurs, notamment une modification des habitudes alimentaires et une baisse du temps du sommeil. Ces changements peuvent d’ailleurs avoir des impacts sur le quotidien professionnel des salariés.
Comment ces derniers s’en sortent-ils ? L’étude révèle ainsi que les Marocains organisent leur journée de travail. Quelque 52% des répondants s’organisent pour que leurs activités importantes aient lieu le matin et 47% essaient de dormir tôt. Les Marocains sont donc de plus en plus conscients des bonnes habitudes à adopter. Côté employeurs, l’étude conclut que ces derniers s’adaptent aussi à la particularité de ce mois et relâchent la pression sur leurs collaborateurs. À la question, votre employeur vous impose-t-il des objectifs spécifiques pendant le mois du Ramadan, 67% ont répondu non. Autant dire que si la productivité des Marocains ne baisse pas pendant le mois du Ramadan c’est grâce d’une part, aux salariés eux-mêmes qui s’organisent au quotidien, et d’autre part, aux employeurs qui prennent en considération les limites de leurs collaborateurs.
Autre chiffre important à souligner : 72% des Marocains souhaiteraient garder les horaires du mois du Ramadan tout au long de l’année. «Finir leur journée de travail plus tôt leur permettrait d’être plus épanouis et d’arriver à un équilibre vie personnelle/vie professionnelle», souligne Rekrute dans son étude.
Rappelons par ailleurs que Rekrute a déjà mené une enquête en 2015 sur la productivité des Marocains pendant le Ramadan. Les résultats restent plus ou moins les mêmes.
Jeûne : pas d’impact sur la productivité des salariés
Jeûne : pas d’impact sur la productivité des salariés
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