salam
Entre Eric Gerets et Ali Fassi Fihri le divorce est consommé : Les déboires du football marocain nen sont pas pour autant terminés
Limogé, viré, rupture ou résiliation de contrat ou décision dy mettre fin, on aura beau signifier le renvoi dEric Gerets par tous les termes voulus, une chose était sûre au matin de dimanche, cest que le bonhomme, au bonheur de bien des Marocains, nétait plus le sélectionneur des Eclopés de lAtlas. Comme dirait la chanson : il y avait de la joie !
Si, sur le fond, son départ ne faisait aucun doute, sur la forme de la chose, le mystère demeurait cependant. En effet, le motus et bouche cousue, une spécialité tout à fait fédérale, était observé quant à cela. Ce « circulez il ny a rien à voir » nétait quun prétexte pour taire les tenants et aboutissants dune affaire dEtat et dun grand scandale comme jamais auparavant.
Le communiqué de la FRMF nen dévoilait pas plus dailleurs si ce nest des « un débat franc et sincère » ou « il a été décidé à lunanimité » et autres quolibets, histoire den dire un semblant de vent démocratique. A dautres ! La décision ne revenait quau seul homme fort A2F de Dame Fédé, et encore elle a dû lui être dictée.
Sinon comment expliquer le refus dune démission qui nallait rien coûter pour le virer trois mois après au prix fort ? Au contrat rompu, à moins dun arrangement, on doit des indemnités courantes jusquà sa fin. A près de trois cents briques le mois, faites le décompte jusquau Brésil 2014!
http://www.libe.ma/Entre-Eric-Geret...arocain-n-en-sont-pas-pour-autant_a30746.html
Entre Eric Gerets et Ali Fassi Fihri le divorce est consommé : Les déboires du football marocain nen sont pas pour autant terminés
Limogé, viré, rupture ou résiliation de contrat ou décision dy mettre fin, on aura beau signifier le renvoi dEric Gerets par tous les termes voulus, une chose était sûre au matin de dimanche, cest que le bonhomme, au bonheur de bien des Marocains, nétait plus le sélectionneur des Eclopés de lAtlas. Comme dirait la chanson : il y avait de la joie !
Si, sur le fond, son départ ne faisait aucun doute, sur la forme de la chose, le mystère demeurait cependant. En effet, le motus et bouche cousue, une spécialité tout à fait fédérale, était observé quant à cela. Ce « circulez il ny a rien à voir » nétait quun prétexte pour taire les tenants et aboutissants dune affaire dEtat et dun grand scandale comme jamais auparavant.
Le communiqué de la FRMF nen dévoilait pas plus dailleurs si ce nest des « un débat franc et sincère » ou « il a été décidé à lunanimité » et autres quolibets, histoire den dire un semblant de vent démocratique. A dautres ! La décision ne revenait quau seul homme fort A2F de Dame Fédé, et encore elle a dû lui être dictée.
Sinon comment expliquer le refus dune démission qui nallait rien coûter pour le virer trois mois après au prix fort ? Au contrat rompu, à moins dun arrangement, on doit des indemnités courantes jusquà sa fin. A près de trois cents briques le mois, faites le décompte jusquau Brésil 2014!
http://www.libe.ma/Entre-Eric-Geret...arocain-n-en-sont-pas-pour-autant_a30746.html