et ça continue.....
on se sait plus ......
UNE NOUVELLE USINE A GAZ !!!
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Sans trancher sur la mise en place de prérequis à l'entrée de l'université, le rapport de la concertation, rendu public jeudi 19 octobre 2017, esquisse plusieurs pistes de réforme.
Des propositions sur lesquelles le ministère de l'Enseignement supérieur pourra s'appuyer pour mener les dernières négociations avant les annonces prévues d'ici à début novembre.
"PRENDRE EN COMPTE LE PROFIL DE L'ÉLÈVE"
L
e rapport propose sobrement de "prendre en compte le profil de l'élève avant son entrée dans l'enseignement supérieur". "Tous les groupes sont obligés d'admettre qu'il y a une corrélation entre la réussite de l'élève dans le premier cycle et son profil qui ne peut se résumer à 'a-t-il eu son bac avec mention ?' Mais plutôt un faisceau d'éléments qui constituent son parcours du secondaire et son projet", souligne Daniel Filâtre.
Outre une option qui prône le statu quo, trois scénarios sont sur la table "et je n'ai pas de préférence pour telle ou telle option", insiste Daniel Filâtre.
Les deux premiers prennent en compte le profil de l'étudiant. Soit un avis est donné et ces recommandations relèvent simplement d'une indication.
Soit cet avis a une nature prescriptive, "mais pas au sens d'interdit. Le jeune peut entrer dans la licence, et un parcours individuel est défini par l'université", précise le recteur de Versailles.
Le dernier consiste en un accès sélectif comme c'est déjà le cas dans les autres formations du supérieur.
VERS UNE "PRESCRIPTION PÉDAGOGIQUE" ?
"Il n'y a pas d'accord des participants", rappelle Daniel Filâtre. "Certaines organisations s'en tiennent au statu quo mais dans la discussion elles relèvent que s'il fallait prendre en compte un cursus, elles seraient en faveur d'une prescription pédagogique."
Ce qui signifie que le profil de l'étudiant serait examiné en prenant en compte "son parcours scolaire, sa motivation, son projet" et le cas échéant, il lui serait "offert pendant le premier semestre, voire pendant les deux premiers semestres, des modules d'étapes de rattrapage de mise à niveau". Une sorte de "modèle d'adaptation du parcours d'entrée", résume le recteur.
Qui ferait ces prescriptions pédagogiques ? "Plutôt les établissements d'enseignement supérieur." Seraient-elles locales ou nationales ?"Il y a une demande que la codification et les référencements soient bien d'ordre national", répond encore Daniel Filâtre. Se dessine ainsi un "contrat pédagogique de réussite" : "On n’est pas chez le notaire. Il s'agirait d'un engagement entre l'étudiant et l'équipe pédagogique", pointe-t-il.
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on se sait plus ......
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Sans trancher sur la mise en place de prérequis à l'entrée de l'université, le rapport de la concertation, rendu public jeudi 19 octobre 2017, esquisse plusieurs pistes de réforme.
Des propositions sur lesquelles le ministère de l'Enseignement supérieur pourra s'appuyer pour mener les dernières négociations avant les annonces prévues d'ici à début novembre.
"PRENDRE EN COMPTE LE PROFIL DE L'ÉLÈVE"
L
e rapport propose sobrement de "prendre en compte le profil de l'élève avant son entrée dans l'enseignement supérieur". "Tous les groupes sont obligés d'admettre qu'il y a une corrélation entre la réussite de l'élève dans le premier cycle et son profil qui ne peut se résumer à 'a-t-il eu son bac avec mention ?' Mais plutôt un faisceau d'éléments qui constituent son parcours du secondaire et son projet", souligne Daniel Filâtre.
Outre une option qui prône le statu quo, trois scénarios sont sur la table "et je n'ai pas de préférence pour telle ou telle option", insiste Daniel Filâtre.
Les deux premiers prennent en compte le profil de l'étudiant. Soit un avis est donné et ces recommandations relèvent simplement d'une indication.
Soit cet avis a une nature prescriptive, "mais pas au sens d'interdit. Le jeune peut entrer dans la licence, et un parcours individuel est défini par l'université", précise le recteur de Versailles.
Le dernier consiste en un accès sélectif comme c'est déjà le cas dans les autres formations du supérieur.
VERS UNE "PRESCRIPTION PÉDAGOGIQUE" ?
"Il n'y a pas d'accord des participants", rappelle Daniel Filâtre. "Certaines organisations s'en tiennent au statu quo mais dans la discussion elles relèvent que s'il fallait prendre en compte un cursus, elles seraient en faveur d'une prescription pédagogique."
Ce qui signifie que le profil de l'étudiant serait examiné en prenant en compte "son parcours scolaire, sa motivation, son projet" et le cas échéant, il lui serait "offert pendant le premier semestre, voire pendant les deux premiers semestres, des modules d'étapes de rattrapage de mise à niveau". Une sorte de "modèle d'adaptation du parcours d'entrée", résume le recteur.
Qui ferait ces prescriptions pédagogiques ? "Plutôt les établissements d'enseignement supérieur." Seraient-elles locales ou nationales ?"Il y a une demande que la codification et les référencements soient bien d'ordre national", répond encore Daniel Filâtre. Se dessine ainsi un "contrat pédagogique de réussite" : "On n’est pas chez le notaire. Il s'agirait d'un engagement entre l'étudiant et l'équipe pédagogique", pointe-t-il.
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