Épreuves de la vie

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GabSuarez

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Salam et re à certains

Je viens vous faire part de mes derniers événements qui m'ont amener à réfléchir sur les preuves que Dieu nous fait face.

Je faisais parti de ces gens qui se disent :Ça n'arrive qu'aux autres et faisant preuve de compassion ou de pitié aux personnes touchées par le malheur et l'épreuve....

Il y a quelques mois on a diagnostiquer un cancer Allah yster à ma soeur, la plus grande. Un choc pour toute la famille. Nous avions du mal à l'accepter on en comprenais pas trop ce qu'il arrivait. Elle par contre , une warrior, elle a toujours cacher ses faiblesses et n'est pas très démonstrative de ses sentiments mais la elle a vraiment montrer une autre facette encore plus forte et exemplaire.
Personnellement, vivant seule j'avais du mal à vraiment me rendre compte de tout ça, c'était juste en rentrant en week en que je me rendais vraiment compte de la situation difficile. Je voyais mes parents dépités parfois mais gardant face devant moi pour pas m'inquiéter plus que je ne l'étais de son état.
El mohim, on faisait face et s'en remetter à Dieu au fil du temps.
Je fréquentais quelqu'un mais ces derniers temps j'avais du mal à vivre cette relation avec apaisement. Dernièrement on s'est disputer pour un détails plus que ridicule et depuis silence radio. Je n'ai pas chercher à relancer la communication car ça me fatigue de devoir me justifier du pourquoi du comment j'ai pas fais ci ou ça. Il disait qu'il était la pour moi et qu'il avait tout mon soutien ce dont j'étais certaines mais parfois il agit et me reproche des futilités comme si j'étais fautive et devrait faire comme si tout était tout beau tout rose. Dune part il a raison chose que j'essaie de faire comme je peux sans pour autant respirer la joie de vivre mais le fait est que j'ai l'impression qu'il ne se met pas a ma place et que c'est vraiment facile à dire. Je cherche le juste milieu et être la pour ma soeur mais le fait de vivre ma vie normalement je me sentirai coupable voir égoïste. Je ne sais pas comment l'expliquer c'est frustrant...

Son état est stable mais nous n'avons aucune garantie de rechute comme de guérison. Et au vu de cette situation j'ai de plus en plus de mal à garder courage. Je suis optimiste mais je ne veux pas trop l'être car pire serait la déception.
Je pleure pour un oui ou pour un non, mon travail ne me passionne même plus et à chaque fois que je dois quitter le domicile familiale j'ai le coeur serrer à en avoir les larmes aux yeux quand j'embrasse mes parents en leur souhaitant une bonne semaine.
Je fais des duahs à chaque fois que j'en ai l'occasion pour apaiser mon coeur et celui de ma famille en vain.

Voilà. DESOLÉ POUR LE ROMAN ;)

Et vous comment l'auriez vous vécu ? Et comment l'avez vous vécu si vous avez connu un cas similaire

BARRAKALLAOUFIKOUM
 
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