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[QUOTE="AncienMembre, post: 15472023"] Je sais pas si t'as déjà réfléchi à cette piste, mais il est possible qu'une partie de ton "mal-être" soit de très près lié à ton travail de recherche. Je veux dire qu'on a tous des soucis persos plus ou moins sérieux. Le problème pourrait être que le stress du travail vienne d'une certaine façon "capter" ces problèmes et les grossir, un peu comme un effet loupe. Au final, il y a des chances pour que tes états d'âme, auxquels tu vas attribuer des causes XYZ soient largement surestimés par rapport à ce qu'ils représentent en réalité. Quand tu auras fini ta thèse (il te reste longtemps?), je pense que tu ressentiras un gros poids en moins alors que les données de ta vie perso n'auront pas forcément beaucoup changé. La question serait, en attendant de finir ta thèse: comment gérer ce stress "déformant". Pas sûr que ta vie amoureuse, ta solitude etc. soient les vrais "problèmes de fond" qu'il te faut régler d'urgence - ils peuvent en être, mais peut être pas dans la mesure que tu leur attribues; ils peuvent aussi n'être que la conséquence d'autre chose de plus fondamental, sur quoi il pourrait être intéressant de travailler. Bon courage à toi PS: si t'es une bosseuse efficace, que tu ne procrastines jamais, oublie ce que je viens d'écrire [/QUOTE]
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