Des arnaqueurs se faisant passer pour la Répression des fraudes invitent leurs victimes à faire des virements pour régler de faux impôts ou débloquer un bien ou un service fictif.
Après les Finances publiques, la Répression des fraudes
C’est la deuxième fois en un peu plus d’une semaine que des escrocs se font passer pour un organisme d'État. Après la Direction générale des finances publiques (DGFiP), les usurpateurs ont choisi la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour tenter d’arnaquer leurs victimes.
L’alerte est venue d’une vendeuse sur pap.fr, qui a reçu un e-mail signé « Dgccrf Dgccrf » lui demandant de se mettre en conformité car son annonce ne respectait pas la loi Alur.
Ce genre de message, accompagné de liens vers une fausse plateforme, a pour but de récupérer vos coordonnées bancaires. La DGCCRF a ainsi recensé d’autres cas de « phishing » où les arnaqueurs annoncent à la victime un remboursement d’impôts ou lui demandent de payer une amende. Si vous avez été dupé, des techniques existent pour éviter d’être abusé une nouvelle fois.
Comment détecter un mail de phishing ?
Le site https://phishing-initiative.fr/contrib/ met à votre disposition disposition des experts pour vérifier la fiabilité d'une page Internet. Il vous suffit de copier l’adresse de la page et ils vous répondront dans les 20 minutes qui suivent.
L’initiative anti-phishing a répertorié plus de 18.000 sites malveillants depuis le début de l’année. Au premier trimestre 2017, plus de la moitié des campagnes de phishing touchaient le secteur financier (banques, systèmes de paiement…). Les escrocs n'hésitent pas, non plus, à se faire passer pour des organismes d'État.
D’autres réflexes permettent de détecter assez rapidement une tentative d’arnaque. Il faut toujours vérifier l’adresse mail de l’expéditeur qui vous propose une offre alléchante, en la comparant avec celle de l’entreprise ou l’organisme dont il a copié le nom. N’hésitez pas non plus à copier l’adresse de l’expéditeur ou le message reçu dans votre moteur de recherche. Certains internautes l’ont peut-être déjà signalé comme étant une arnaque.
https://www.radins.com/actualites/e...e=OSD.axhiuhh_hev_ojxaxdwko_kt_nkxnolp_tqy_au
mam
Après les Finances publiques, la Répression des fraudes
C’est la deuxième fois en un peu plus d’une semaine que des escrocs se font passer pour un organisme d'État. Après la Direction générale des finances publiques (DGFiP), les usurpateurs ont choisi la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour tenter d’arnaquer leurs victimes.
L’alerte est venue d’une vendeuse sur pap.fr, qui a reçu un e-mail signé « Dgccrf Dgccrf » lui demandant de se mettre en conformité car son annonce ne respectait pas la loi Alur.
Ce genre de message, accompagné de liens vers une fausse plateforme, a pour but de récupérer vos coordonnées bancaires. La DGCCRF a ainsi recensé d’autres cas de « phishing » où les arnaqueurs annoncent à la victime un remboursement d’impôts ou lui demandent de payer une amende. Si vous avez été dupé, des techniques existent pour éviter d’être abusé une nouvelle fois.
Comment détecter un mail de phishing ?
Le site https://phishing-initiative.fr/contrib/ met à votre disposition disposition des experts pour vérifier la fiabilité d'une page Internet. Il vous suffit de copier l’adresse de la page et ils vous répondront dans les 20 minutes qui suivent.
L’initiative anti-phishing a répertorié plus de 18.000 sites malveillants depuis le début de l’année. Au premier trimestre 2017, plus de la moitié des campagnes de phishing touchaient le secteur financier (banques, systèmes de paiement…). Les escrocs n'hésitent pas, non plus, à se faire passer pour des organismes d'État.
D’autres réflexes permettent de détecter assez rapidement une tentative d’arnaque. Il faut toujours vérifier l’adresse mail de l’expéditeur qui vous propose une offre alléchante, en la comparant avec celle de l’entreprise ou l’organisme dont il a copié le nom. N’hésitez pas non plus à copier l’adresse de l’expéditeur ou le message reçu dans votre moteur de recherche. Certains internautes l’ont peut-être déjà signalé comme étant une arnaque.
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