Les membres dune famille marocaine de la ville dAlicante, dans le sud-est de lEspagne, ont été arrêtés, en début de semaine, à la suite dune violente altercation avec leur voisins, puis relâchés. Il savère finalement que ces MRE étaient plus victimes que coupables dans cette affaire. Il est à présent question de racisme. Explications.
Le quotidien valencien Las Provincias rapporte, jeudi 18 août, sur son site internet, un fait divers peu commun qui a touché une famille de Marocains de la ville dAlicante, dans la région de Valence, au sud-est de lEspagne. Les Madrani, installés en Espagne depuis une douzaine dannées, nont jamais eu de problème jusquà ce lundi 15 août. Alors que la mère de la famille préparait de la viande pour la rupture du jeûne, elle est violemment prise à partie par ses voisines qui se plaignent des odeurs du barbecue. Sen suivent des injures puis une violente bagarre entre la famille et ses voisins de limmeuble.
La police, entre bavure et racisme
Le comportement de la police espagnole dans cette affaire suscite bien des interrogations. Daprès le témoignage de lun des enfants de la famille, un policier sest dabord présenté à lappartement habité par la famille Madrani au moment des premières plaintes. « Le policier est venu et il nous a dit que sil revenait, ce serait pour nous amener tous », explique l'enfant. A se demander si les odeurs de cuissons constituent un délit.
Le quotidien valencien Las Provincias rapporte, jeudi 18 août, sur son site internet, un fait divers peu commun qui a touché une famille de Marocains de la ville dAlicante, dans la région de Valence, au sud-est de lEspagne. Les Madrani, installés en Espagne depuis une douzaine dannées, nont jamais eu de problème jusquà ce lundi 15 août. Alors que la mère de la famille préparait de la viande pour la rupture du jeûne, elle est violemment prise à partie par ses voisines qui se plaignent des odeurs du barbecue. Sen suivent des injures puis une violente bagarre entre la famille et ses voisins de limmeuble.
La police, entre bavure et racisme
Le comportement de la police espagnole dans cette affaire suscite bien des interrogations. Daprès le témoignage de lun des enfants de la famille, un policier sest dabord présenté à lappartement habité par la famille Madrani au moment des premières plaintes. « Le policier est venu et il nous a dit que sil revenait, ce serait pour nous amener tous », explique l'enfant. A se demander si les odeurs de cuissons constituent un délit.