Une « espionne » marocaine arrêtée en belgique

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Accusée d'avoir espionné pour le compte du Maroc, Kaoutar Fal, une ressortissante marocaine, est actuellement dans un centre fermé en Belgique en attente de son expulsion.
Selon l'agence Belga, le visa de la jeune femme lui a été retiré après une plainte de l'Office des étrangers qui s'inquiète pour le risque qu'elle représente pour la sécurité nationale.
Se décrivant comme une femme d'affaires et présidente de plusieurs associations, Kaoutar Fal avait déjà été arrêtée fin mai dernier à l'aéroport de (...)

- Monde / Kaoutar Fal, Espionnage, Belgique

Une « espionne » Marocaine arrêtée en Belgique
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
"elle représente une menace pour la sécurité nationale », indique un porte-parole cité par Belga, qui précise qu’il « est important pour nous de la renvoyer vers le Maroc le plus rapidement possible ».

une femme menace a ce point? :eek: a part des écoutes téléphonique ou des photos quelles seraient les menaces représentées par une femme? :confused:
 

madalena

Contributeur
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"elle représente une menace pour la sécurité nationale », indique un porte-parole cité par Belga, qui précise qu’il « est important pour nous de la renvoyer vers le Maroc le plus rapidement possible ».

une femme menace a ce point? :eek: a part des écoutes téléphonique ou des photos quelles seraient les menaces représentées par une femme? :confused:


salam

moi aussi je me le demande...
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
ici plus d infos sur le site de la RTBF

Une ressortissante marocaine, Kaoutar Fal, est détenue dans le centre fermé 127 bis à Steenokkerzeel (Brabant flamand), dans l'attente de son expulsion. Son visa lui a été retiré car elle est accusée d'espionnage pour le compte du Maroc, écrit-elle dans une lettre obtenue par l'agence Belga. L'Office des étrangers indique que la Sûreté de l'Etat a demandé à ce qu'elle soit arrêtée parce qu'elle représente un risque pour la sécurité nationale.

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La femme se décrit comme une femme d'affaires et présidente de plusieurs organisations, dont une organisation de médias africains. Elle explique, dans sa lettre relayée par un rabbin d'Anvers Moshe Friedman, avoir été arrêtée une première fois le 29 mai, alors qu'elle venait d'atterrir à l'aéroport de Charleroi. Son visa lui avait été retiré car elle est accusée d'espionnage pour les services de renseignements marocains.

Elle a contesté ce retrait avec succès et a été libérée du centre de transit "Caricole" à Steenokkerzeel où elle était retenue. Elle s'est rendue à l'aéroport de Charleroi pour récupérer son passeport. Au lieu d'obtenir son précieux sésame, elle a de nouveau été interpellée, explique-t-elle, et a passé la nuit dans le centre fermé 127 bis.

Libération et nouvelle interpellation
Nouveau recours, nouvelle libération le 10 juillet. Le lendemain,alors qu'elle se rendait à une réunion au Parlement européen, elle est une nouvelle fois interpellée et atterrit au 127 bis. Dans sa lettre, elle dit avoir été "kidnappée".

L'Office des étrangers confirme que la femme est retenue sur demande de la Sûreté de l'État. Étant donné que le retrait du visa de la Marocaine est basé sur une note confidentielle de la Sûreté de l'État, la décision a été difficile à motiver et a été rejetée à plusieurs reprises. "Elle est maintenant détenue sur base d'un autre article selon lequel elle se trouve illégalement sur le territoire et parce qu'elle représente une menace pour la sécurité nationale", explique un porte-parole. "Il est important pour nous de la renvoyer vers le Maroc le plus rapidement possible", a-t-il ajouté.

L'avocat de la femme, Julien Hardy, a déclaré jeudi à la VRT que la note de la Sûreté de l'État à la base de toutes les décisions était extrêmement superficielle et inexacte. Il a introduit un nouveau recours, tant auprès de la Chambre des mises en accusation que du Conseil du contentieux des étrangers (CCE). Me Hardy parle de privation illégale de liberté.
 

ould khadija

fédalien
Contributeur
"elle représente une menace pour la sécurité nationale », indique un porte-parole cité par Belga, qui précise qu’il « est important pour nous de la renvoyer vers le Maroc le plus rapidement possible ».

une femme menace a ce point? :eek: a part des écoutes téléphonique ou des photos quelles seraient les menaces représentées par une femme? :confused:

Un attentat suicide ?
:rolleyes:
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
en lisant sa description, ça ressemble plus a une femme d'influence, une sorte de lobbyste....

depuis quand une femme bien connue (elle serait journaliste,...) serait une femme secrète? :intello:

les agents de l'ombre sont a priori pas connus non? :confused:

est ce un couac? crise diplomatique en vue?

sur un autre site, il est mentionné ses liens DGED marocaine, dirigée par Yacine Mansouri...or, on sait que les services marocains collaborent activement avec les services français, espagnols et belges..cette collaboration aurait permis même l'arrestation de plusieurs euro maghrébins liés au djihadisme... est ce que en conséquence les services marocains ne vont plus collaborer avec les services belges?

Beaucoup de questions sans réponses....:D
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
sur un site algérien ke je ne citerai pas car ils font souvent des fakes news et sont anti marocains ils disent k elle travaillait pour le Mossad.....:D on l attendait bien cella la:wazaa:
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
Le Maroc il fait koi des espions étrangers au Maroc? tagine couscous? :eek:


d'après même Bladi il serait nombreux!
https://www.bladi.net/espagne-espionnage-maroc,41213.html

L’Espagne a espionné le Maroc entre 2007 et début 2014, nous apprend le quotidien El Mundo. Au cours de cette période, les services secrets ibériques ont infiltré les téléphones et les ordinateurs de l’administration marocaine, grâce à un logiciel espion "cheval de troie", baptisé "Careto".

Le gouvernement espagnol espionnait en fait plusieurs pays à travers le monde, dont la Grande-Bretagne, la France, le Venezuela, les Etats-Unis, la Libye, l’Iran, et surtout le Brésil, pays où les entreprises espagnoles investissent le plus.

Outre la téléphonie mobile au Maroc, 383 adresses "IP" ont été infectées par les services de renseignements de Madrid, principalement les téléphones et les ordinateurs se connectant via "Euskaltel".

L’auteur de l’article, Ignacio Cembrero, raconte comment l’agence nationale du renseignement a demandé à un de ses agents, un certain David Vidal en 2005, de collecter le maximum de numéros de téléphones de responsables marocains, pour y infiltrer le logiciel malveillant "Careto".

Dans un livre sorti en 2014, David Vidal écrit : "si vous connaissez le numéro d’un officier de police et vous y injectez "Careto", l’officier parlera avec le directeur général de la police, qui appellera à son tour le ministre de l’Intérieur, et c’est ainsi que se propage le logiciel malveillant".

"Careto" a été découvert par la célèbre société de cybersécurité "Kaspersky", qui en a révélé l’existence sur son site internet en février 2014, lors d’une conférence en République Dominicaine. Immédiatement après l’annonce de sa découverte, le cheval de Troie a été désactivé.

Si "Careto" a été mis hors service, l’Espagne n’a pas lâché son voisin du sud pour autant, la péninsule ibérique a créé en effet en 2011, un service de renseignement dédié à l’espionnage économique, dont l’un des principaux centres d’intérêt est le Maroc.

Le département dépendant directement du Chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy, a pour principal objectif de détecter les opportunités d’investissements pour les entreprises ibériques au Maroc, mais aussi et surtout, faire face à l’avancée de la France en Afrique.
 

compteblad

PLD (Peace, Love and Diversity)
Avec ça on peut supposer ke le Maroc pullule d espions espagnols ou même de marocains espions pour l Espagne....

Le
Si "Careto" a été mis hors service, l’Espagne n’a pas lâché son voisin du sud pour autant, la péninsule ibérique a créé en effet en 2011, un service de renseignement dédié à l’espionnage économique, dont l’un des principaux centres d’intérêt est le Maroc.
ue.
 
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