Essonne : 28 ans de prison pour avoir tué trois voisins d'hôtel trop bruyants

C’est sans un mot que Daniel a mis fin ce vendredi à quatre jours de procès. Ce quadragénaire était jugé par la cour d’assises de l’Essonne pour un triple meurtre commis dans l’hôtel Le Palace à Draveil en août 2014. Une « soirée funeste » décrite par l’avocate générale pour lequel il écope de 28 ans de réclusion criminelle. « On a évité le pire, répond Me Jacques Bourdais, son avocat en songeant à la perpétuité. Compte tenu du dossier on ne pouvait pas demander l’impossible. »
Les faits remontent à la nuit du 27 au 28 août 2014. Ce soir-là, Daniel poignarde trois marginaux alcoolisés résidant dans la chambre voisine de la sienne. La raison ? Ils faisaient trop de bruit, l’empêchant de dormir. L’accusé était livreur et commençait son service à 4 heures. Jeudi, il a expliqué ne plus se souvenir du déroulement des faits racontant qu’il avait d’abord voulu se défendre. C’est la dernière fois qu’il reviendra sur cette nuit tragique, remplie de zones d’ombre. « Cette scène, il ne l’a pas oubliée », certifie l’avocate générale qui avait requis une peine de 30 ans de réclusion criminelle avec 20 ans de sûreté. « La mort a plané sur cette chambre funéraire. L’accusé a ôté la vie, trois vies. Il ne leur a laissé aucune chance. La société ne peut tolérer de tels actes de sauvagerie. »

Et ailleurs c'est comment ?
 
C’est sans un mot que Daniel a mis fin ce vendredi à quatre jours de procès. Ce quadragénaire était jugé par la cour d’assises de l’Essonne pour un triple meurtre commis dans l’hôtel Le Palace à Draveil en août 2014. Une « soirée funeste » décrite par l’avocate générale pour lequel il écope de 28 ans de réclusion criminelle. « On a évité le pire, répond Me Jacques Bourdais, son avocat en songeant à la perpétuité. Compte tenu du dossier on ne pouvait pas demander l’impossible. »
Les faits remontent à la nuit du 27 au 28 août 2014. Ce soir-là, Daniel poignarde trois marginaux alcoolisés résidant dans la chambre voisine de la sienne. La raison ? Ils faisaient trop de bruit, l’empêchant de dormir. L’accusé était livreur et commençait son service à 4 heures. Jeudi, il a expliqué ne plus se souvenir du déroulement des faits racontant qu’il avait d’abord voulu se défendre. C’est la dernière fois qu’il reviendra sur cette nuit tragique, remplie de zones d’ombre. « Cette scène, il ne l’a pas oubliée », certifie l’avocate générale qui avait requis une peine de 30 ans de réclusion criminelle avec 20 ans de sûreté. « La mort a plané sur cette chambre funéraire. L’accusé a ôté la vie, trois vies. Il ne leur a laissé aucune chance. La société ne peut tolérer de tels actes de sauvagerie. »

Et ailleurs c'est comment ?
Le verdict est lourd
Le tapage nocturne peut vous rendre dingue je lui trouve des circonstances atténuantes
 
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