Référendum constitutionnel : Et le peuple valida le Texte du renouveau
Rabat - Comme attendu, les Marocains ont répondu massivement au devoir national du 1er juillet. Comme prévu, ils se sont prononcés, dans leur écrasante majorité, en faveur du projet avant-gardiste de la nouvelle Constitution. Et comme d'habitude, le peuple marocain a prouvé, une nouvelle fois, son sens élevé de civisme et fait montre de sa détermination inébranlable à aller de l'avant sur la voie des réformes retenue, désormais, comme choix stratégique du Royaume.
Par Hassan Aourach
Ils étaient 9.228.020 (sur les 13.106.948 électeurs inscrits sur les listes électorales), soit 72,65 PC, à se rendre aux urnes dans les quelque 40.000 bureaux de votes mis à leur disposition sur l'ensemble du territoire national. Et, selon les résultats de 94 pc des bureaux de vote, 98,49 pc des votants ont dit +oui+ au projet de nouvelle Constitution issue d'une démarche participative inédite ayant associé, tout au long du processus d'élaboration, de larges composantes politique, socioéconomique et associative du paysage national.
Aujourd'hui, une nouvelle Loi fondamentale est née : La Constitution 2011. Un texte de renouveau qui consacre les fondements de l'identité marocaine et conforte les assises d'une monarchie séculaire, constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale.
La nouvelle Loi Fondamentale qui ancre l'échafaudage irréversible d'édification démocratique entrepris par la Maroc, se distingue par le fait qu'elle représente le premier texte de l'histoire du Royaume à être élaboré par et pour des marocains. Une singularité que SM le Roi Mohammed VI avait relevée dans son discours historique du 17 juin: "Nous avons tenu à ce que, pour la première fois dans l'histoire de notre pays, la Constitution soit faite par les Marocains, pour tous les Marocains".
Désormais, le Maroc est doté d'un texte de 14 titres et 180 articles qui n'a rien à envier aux constitutions les plus modernes consacrant, outre les fondements classiques des pouvoirs et leur fonctionnement, trois nouveaux piliers, à savoir les droits et libertés fondamentaux, la bonne gouvernance et la régionalisation avancée.
Rabat - Comme attendu, les Marocains ont répondu massivement au devoir national du 1er juillet. Comme prévu, ils se sont prononcés, dans leur écrasante majorité, en faveur du projet avant-gardiste de la nouvelle Constitution. Et comme d'habitude, le peuple marocain a prouvé, une nouvelle fois, son sens élevé de civisme et fait montre de sa détermination inébranlable à aller de l'avant sur la voie des réformes retenue, désormais, comme choix stratégique du Royaume.
Par Hassan Aourach
Ils étaient 9.228.020 (sur les 13.106.948 électeurs inscrits sur les listes électorales), soit 72,65 PC, à se rendre aux urnes dans les quelque 40.000 bureaux de votes mis à leur disposition sur l'ensemble du territoire national. Et, selon les résultats de 94 pc des bureaux de vote, 98,49 pc des votants ont dit +oui+ au projet de nouvelle Constitution issue d'une démarche participative inédite ayant associé, tout au long du processus d'élaboration, de larges composantes politique, socioéconomique et associative du paysage national.
Aujourd'hui, une nouvelle Loi fondamentale est née : La Constitution 2011. Un texte de renouveau qui consacre les fondements de l'identité marocaine et conforte les assises d'une monarchie séculaire, constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale.
La nouvelle Loi Fondamentale qui ancre l'échafaudage irréversible d'édification démocratique entrepris par la Maroc, se distingue par le fait qu'elle représente le premier texte de l'histoire du Royaume à être élaboré par et pour des marocains. Une singularité que SM le Roi Mohammed VI avait relevée dans son discours historique du 17 juin: "Nous avons tenu à ce que, pour la première fois dans l'histoire de notre pays, la Constitution soit faite par les Marocains, pour tous les Marocains".
Désormais, le Maroc est doté d'un texte de 14 titres et 180 articles qui n'a rien à envier aux constitutions les plus modernes consacrant, outre les fondements classiques des pouvoirs et leur fonctionnement, trois nouveaux piliers, à savoir les droits et libertés fondamentaux, la bonne gouvernance et la régionalisation avancée.