Salam Aleykoum,
Bien nombreux sont ceux qui parmi nous déplorent la mauvaise éducation des gens qui composent notre société, aussi bien parmi les jeunes que parmi ceux se rendant coupables d'harcèlement sexuel ou de violences sexistes pour prendre cet exemple sous les feux de l'actualité (bien que je ne réduirai cependant pas cela à une opposition triviale femmes/hommes).
Et pourtant, cette éducation nous en sommes tous responsables. La société telle qu'elle est n'est pas tombée du ciel par hasard, ce sont nos actions quotidiennes, les combats que nous poursuivons, l'éducation que nous menons avec nos enfants etc... tout cela combiné qui a fait d'elle ce qu'elle est.
Ainsi, la responsabilité des errements qui la caractérise nous est pleinement imputable et se trouve partagée par toutes les individualités la composant.
Chacun pense être étranger à l'élaboration des structures sociétales lors même que nous sommes tous acteurs. Les émission de télé-réalité, les séries, les films que nous regardons, les jeux vidéo auxquels nous jouons, nos comportements avec les autres (notre impatience, notre irrespect dans notre façon de conduire, de nous comporter etc...), notre dédain des règles (même les plus élémentaires telle que respecter un feu rouge par exemple), notre façon de nous adresser à nos subordonnés, notre manière de nous vêtir, l'hexis corporelle que nous mettons en avant, nos choix politiques etc....
Tous ces éléments façonnent la société que nous connaissons et dont nous déplorons la nature lors même que notre propre incurie se trouve à son fondement.
Ainsi, chaque individu faisant partie de cette société porte une part de responsabilité dans les nombreuses dérives qui se déroulent, que ce soit le racisme, la xénophobie, le sexisme (dans les deux sens), la violence etc...
Nous nous plaignons incessamment mais personne n'est capable de se rendre compte qu'il est créateur de ce qu'il déplore et de se corriger en conséquence.
Mais il est vrai que formuler ses critiques uniquement à l'encontre des autres peut constituer un bel exutoire permettant de se décharger de ses propres responsabilités.
Bien nombreux sont ceux qui parmi nous déplorent la mauvaise éducation des gens qui composent notre société, aussi bien parmi les jeunes que parmi ceux se rendant coupables d'harcèlement sexuel ou de violences sexistes pour prendre cet exemple sous les feux de l'actualité (bien que je ne réduirai cependant pas cela à une opposition triviale femmes/hommes).
Et pourtant, cette éducation nous en sommes tous responsables. La société telle qu'elle est n'est pas tombée du ciel par hasard, ce sont nos actions quotidiennes, les combats que nous poursuivons, l'éducation que nous menons avec nos enfants etc... tout cela combiné qui a fait d'elle ce qu'elle est.
Ainsi, la responsabilité des errements qui la caractérise nous est pleinement imputable et se trouve partagée par toutes les individualités la composant.
Chacun pense être étranger à l'élaboration des structures sociétales lors même que nous sommes tous acteurs. Les émission de télé-réalité, les séries, les films que nous regardons, les jeux vidéo auxquels nous jouons, nos comportements avec les autres (notre impatience, notre irrespect dans notre façon de conduire, de nous comporter etc...), notre dédain des règles (même les plus élémentaires telle que respecter un feu rouge par exemple), notre façon de nous adresser à nos subordonnés, notre manière de nous vêtir, l'hexis corporelle que nous mettons en avant, nos choix politiques etc....
Tous ces éléments façonnent la société que nous connaissons et dont nous déplorons la nature lors même que notre propre incurie se trouve à son fondement.
Ainsi, chaque individu faisant partie de cette société porte une part de responsabilité dans les nombreuses dérives qui se déroulent, que ce soit le racisme, la xénophobie, le sexisme (dans les deux sens), la violence etc...
Nous nous plaignons incessamment mais personne n'est capable de se rendre compte qu'il est créateur de ce qu'il déplore et de se corriger en conséquence.
Mais il est vrai que formuler ses critiques uniquement à l'encontre des autres peut constituer un bel exutoire permettant de se décharger de ses propres responsabilités.