Être un peu enveloppé ne nuit pas forcément à la santé !

Moussayer

Dr Moussayer khadija : maladies auto-immunes
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La graisse a parfois du bon en ayant une activité de protection contre des maladies sans que son rôle n’ait été défini encore complètement. Des études ont démontré que les cellules graisseuses sous la peau (les adipocytes) aident à nous défendre des infections par la production de substances anti-microbiennes en présence de virus ou bactérie. Un rôle trop souvent sous-estimé !

LA MOBILISATION DU SYSTEME IMMUNITAIRE CONTRE LES INFECTIONS
La défense de l’organisme contre les infections est un processus complexe, impliquant une grande variété de cellules. Ainsi, lorsque la barrière de la peau est lésée, la responsabilité de cette protection en revient en particulier aux cellules sanguines (comme les neutrophiles ou les monocytes). Mais avant que ces cellules immunitaires arrivent jusqu’au site d’infection, l’organisme a besoin d’une réponse encore plus immédiate pour contrecarrer la multiplication de pathogènes (bactéries, virus…) qui nous attaquent.

LES CELLULES GRAISSEUSES A LA RESCOUSSE !
Des chercheurs de l’Université de Californie en particulier se sont intéressés, il y a déjà quelques années, plus précisément au staphylocoque doré, une bactérie commune, cause majeure d’infection de la peau et des tissus mous, dont l’émergence de formes résistantes aux antibiotiques est un problème de santé publique à travers le monde. Ce staphylocoque doré est responsable d'intoxications alimentaires, d'infections localisées suppurées et, dans certains cas extrêmes, d'infections potentiellement mortelles. On avait observé antérieurement sa présence dans la couche des cellules graisseuses et on se demandait si cette couche pouvait avoir un rôle actif dans la protection contre l’infection

Deux groupes de souris ont alors été exposés au staphylocoque doré : des rongeurs ne fabricant pas de cellules graisseuses et des spécimens dont les cellules adipeuses n’expriment pas suffisamment de substances antimicrobiennes. Dans les deux cas, les animaux ont souffert d’infections plus fréquentes et plus sévères que des souris normales, ce qui témoigne du rôle de protection immunitaire de ces cellules.

A travers ces expériences chez la souris et l’être humain, on a mis en évidence le rôle clé des cellules graisseuses, les adipocytes, dans la production de matières antimicrobiennes spécifiques, à savoir de peptides antimicrobiens et plus particulièrement de la cathélicidine. Rappelons que l’ensemble de ces peptides antimicrobiennes (lysosyme, psoriasine, Béta-Défensine et Cathélicicidine) est émis également par les cellules de la peau (Kératinocytes).

UNE MEILLEURE COMPREHENSION DE L’OBESITE ET DES INFLAMMATIONS
Par ailleurs, d’autres études chez l’homme ont montré un autre phénomène : les niveaux de cathélicidine dans le sang sont plus élevés chez les sujets obèses. La production défectueuse de ces substances antimicrobiennes par les adipocytes peut survenir à cause de l’obésité et trop de cathélicidine peut alors provoquer chez les obèses une réponse inflammatoire excessive et inadaptée C’est donc une épée à double tranchant : un peu de cathélicidine nous protège, trop, et de mauvaise qualité, nous nuit quand elle est provoquée une inflammation.
Les résultats de ces études sur le tissu graisseux nous aident en tout cas à mieux comprendre l’obésité et aussi les processus inflammatoires dans les maladies auto-immunes, notamment celles touchant la peau comme le lupus, le psoriasis ou même encore dans la rosacée.
Cette dernière, la rosacée, mieux connue sous le nom de couperose, est une affection cutanée incurable, et au départ bénigne, qui provoque principalement une rougeur surtout sur le visage. Elle peut provenir notamment d’un dérèglement du système immunitaire concernant la peau.

EN GUISE DE CONCLUSION ! mesdames, n'écoutez pas toujours les conseils des GOUROUS "experts en nutrition" qui vous exhortent, partout sur internet, à perdre vos quelques kilos en trop, en se gardant bien de vous indiquer que ce n'est pas forcément un gage de meilleure santé ou de longévité accrue !
Ci-joint une courte vidéo sur les maldies auto-immunes

 
La graisse a parfois du bon en ayant une activité de protection contre des maladies sans que son rôle n’ait été défini encore complètement. Des études ont démontré que les cellules graisseuses sous la peau (les adipocytes) aident à nous défendre des infections par la production de substances anti-microbiennes en présence de virus ou bactérie. Un rôle trop souvent sous-estimé !

LA MOBILISATION DU SYSTEME IMMUNITAIRE CONTRE LES INFECTIONS
La défense de l’organisme contre les infections est un processus complexe, impliquant une grande variété de cellules. Ainsi, lorsque la barrière de la peau est lésée, la responsabilité de cette protection en revient en particulier aux cellules sanguines (comme les neutrophiles ou les monocytes). Mais avant que ces cellules immunitaires arrivent jusqu’au site d’infection, l’organisme a besoin d’une réponse encore plus immédiate pour contrecarrer la multiplication de pathogènes (bactéries, virus…) qui nous attaquent.

LES CELLULES GRAISSEUSES A LA RESCOUSSE !
Des chercheurs de l’Université de Californie en particulier se sont intéressés, il y a déjà quelques années, plus précisément au staphylocoque doré, une bactérie commune, cause majeure d’infection de la peau et des tissus mous, dont l’émergence de formes résistantes aux antibiotiques est un problème de santé publique à travers le monde. Ce staphylocoque doré est responsable d'intoxications alimentaires, d'infections localisées suppurées et, dans certains cas extrêmes, d'infections potentiellement mortelles. On avait observé antérieurement sa présence dans la couche des cellules graisseuses et on se demandait si cette couche pouvait avoir un rôle actif dans la protection contre l’infection

Deux groupes de souris ont alors été exposés au staphylocoque doré : des rongeurs ne fabricant pas de cellules graisseuses et des spécimens dont les cellules adipeuses n’expriment pas suffisamment de substances antimicrobiennes. Dans les deux cas, les animaux ont souffert d’infections plus fréquentes et plus sévères que des souris normales, ce qui témoigne du rôle de protection immunitaire de ces cellules.

A travers ces expériences chez la souris et l’être humain, on a mis en évidence le rôle clé des cellules graisseuses, les adipocytes, dans la production de matières antimicrobiennes spécifiques, à savoir de peptides antimicrobiens et plus particulièrement de la cathélicidine. Rappelons que l’ensemble de ces peptides antimicrobiennes (lysosyme, psoriasine, Béta-Défensine et Cathélicicidine) est émis également par les cellules de la peau (Kératinocytes).

UNE MEILLEURE COMPREHENSION DE L’OBESITE ET DES INFLAMMATIONS
Par ailleurs, d’autres études chez l’homme ont montré un autre phénomène : les niveaux de cathélicidine dans le sang sont plus élevés chez les sujets obèses. La production défectueuse de ces substances antimicrobiennes par les adipocytes peut survenir à cause de l’obésité et trop de cathélicidine peut alors provoquer chez les obèses une réponse inflammatoire excessive et inadaptée C’est donc une épée à double tranchant : un peu de cathélicidine nous protège, trop, et de mauvaise qualité, nous nuit quand elle est provoquée une inflammation.
Les résultats de ces études sur le tissu graisseux nous aident en tout cas à mieux comprendre l’obésité et aussi les processus inflammatoires dans les maladies auto-immunes, notamment celles touchant la peau comme le lupus, le psoriasis ou même encore dans la rosacée.
Cette dernière, la rosacée, mieux connue sous le nom de couperose, est une affection cutanée incurable, et au départ bénigne, qui provoque principalement une rougeur surtout sur le visage. Elle peut provenir notamment d’un dérèglement du système immunitaire concernant la peau.

EN GUISE DE CONCLUSION ! mesdames, n'écoutez pas toujours les conseils des GOUROUS "experts en nutrition" qui vous exhortent, partout sur internet, à perdre vos quelques kilos en trop, en se gardant bien de vous indiquer que ce n'est pas forcément un gage de meilleure santé ou de longévité accrue !
Ci-joint une courte vidéo sur les maldies auto-immunes

Bonsoir, votre article m'intéresse beaucoup !
Savez-vous si il existe un lien entre les graisses consommées dans l'alimentation quotidienne, la digestion/élimination de celles-ci, et la qualité des adypocites avec le temps ?
Merci pour votre article
 

Moussayer

Dr Moussayer khadija : maladies auto-immunes
Bonsoir, votre article m'intéresse beaucoup !
Savez-vous si il existe un lien entre les graisses consommées dans l'alimentation quotidienne, la digestion/élimination de celles-ci, et la qualité des adypocites avec le temps ?
Merci pour votre article
Bonsoir, là j'avoue que vous me coincez, c'est difficile à dire mais je pense intuitivement que la nourriture de type fast-food n'arrange pas la qualité des substances produites par ces cellules
Bonne année !!!!!!
 
La graisse a parfois du bon en ayant une activité de protection contre des maladies sans que son rôle n’ait été défini encore complètement. Des études ont démontré que les cellules graisseuses sous la peau (les adipocytes) aident à nous défendre des infections par la production de substances anti-microbiennes en présence de virus ou bactérie. Un rôle trop souvent sous-estimé !

LA MOBILISATION DU SYSTEME IMMUNITAIRE CONTRE LES INFECTIONS
La défense de l’organisme contre les infections est un processus complexe, impliquant une grande variété de cellules. Ainsi, lorsque la barrière de la peau est lésée, la responsabilité de cette protection en revient en particulier aux cellules sanguines (comme les neutrophiles ou les monocytes). Mais avant que ces cellules immunitaires arrivent jusqu’au site d’infection, l’organisme a besoin d’une réponse encore plus immédiate pour contrecarrer la multiplication de pathogènes (bactéries, virus…) qui nous attaquent.

LES CELLULES GRAISSEUSES A LA RESCOUSSE !
Des chercheurs de l’Université de Californie en particulier se sont intéressés, il y a déjà quelques années, plus précisément au staphylocoque doré, une bactérie commune, cause majeure d’infection de la peau et des tissus mous, dont l’émergence de formes résistantes aux antibiotiques est un problème de santé publique à travers le monde. Ce staphylocoque doré est responsable d'intoxications alimentaires, d'infections localisées suppurées et, dans certains cas extrêmes, d'infections potentiellement mortelles. On avait observé antérieurement sa présence dans la couche des cellules graisseuses et on se demandait si cette couche pouvait avoir un rôle actif dans la protection contre l’infection

Deux groupes de souris ont alors été exposés au staphylocoque doré : des rongeurs ne fabricant pas de cellules graisseuses et des spécimens dont les cellules adipeuses n’expriment pas suffisamment de substances antimicrobiennes. Dans les deux cas, les animaux ont souffert d’infections plus fréquentes et plus sévères que des souris normales, ce qui témoigne du rôle de protection immunitaire de ces cellules.

A travers ces expériences chez la souris et l’être humain, on a mis en évidence le rôle clé des cellules graisseuses, les adipocytes, dans la production de matières antimicrobiennes spécifiques, à savoir de peptides antimicrobiens et plus particulièrement de la cathélicidine. Rappelons que l’ensemble de ces peptides antimicrobiennes (lysosyme, psoriasine, Béta-Défensine et Cathélicicidine) est émis également par les cellules de la peau (Kératinocytes).

UNE MEILLEURE COMPREHENSION DE L’OBESITE ET DES INFLAMMATIONS
Par ailleurs, d’autres études chez l’homme ont montré un autre phénomène : les niveaux de cathélicidine dans le sang sont plus élevés chez les sujets obèses. La production défectueuse de ces substances antimicrobiennes par les adipocytes peut survenir à cause de l’obésité et trop de cathélicidine peut alors provoquer chez les obèses une réponse inflammatoire excessive et inadaptée C’est donc une épée à double tranchant : un peu de cathélicidine nous protège, trop, et de mauvaise qualité, nous nuit quand elle est provoquée une inflammation.
Les résultats de ces études sur le tissu graisseux nous aident en tout cas à mieux comprendre l’obésité et aussi les processus inflammatoires dans les maladies auto-immunes, notamment celles touchant la peau comme le lupus, le psoriasis ou même encore dans la rosacée.
Cette dernière, la rosacée, mieux connue sous le nom de couperose, est une affection cutanée incurable, et au départ bénigne, qui provoque principalement une rougeur surtout sur le visage. Elle peut provenir notamment d’un dérèglement du système immunitaire concernant la peau.

EN GUISE DE CONCLUSION ! mesdames, n'écoutez pas toujours les conseils des GOUROUS "experts en nutrition" qui vous exhortent, partout sur internet, à perdre vos quelques kilos en trop, en se gardant bien de vous indiquer que ce n'est pas forcément un gage de meilleure santé ou de longévité accrue !
Ci-joint une courte vidéo sur les maldies auto-immunes

J'étais resté bloquer sur une étude qui prouvait qu'on était en meilleur santé plus longtemps avec un certain pourcentage de gras et qui va à l'encontre de la mode et du standard du corps écorché et donc du muscle à fleur de peau et véhiculé par les influenceurs du domaine dans les réseaux sociaux !

A rappeler que la plupart sont chargés et donc non naturel !


Et pour info, les lipides jouent aussi un rôle dans la force musculaire comme son augmentation à travers un entraînement adéquate !
 
bonjour

autrefois, les gens étaient minces donc je me dis que les gens n'ont pris du poids qu'avec l'émergence de ces nouveaux aliments transformés
en islam, il faut pas trop manger, pour préserver son corps et pour ne pas tomber dans la surconsommation

pour les études scientifiques, je leur fait pas confiance puisqu'elles changent selon la politique, on a déjà dit que fumer était bien pour mieux vendre, on a dit que le vin rouge était bon pour le coeur alors que c'est faux
alors être un peu enveloppé, je suis pas si sure, surtout quand on voit de quoi est faite notre nourriture
 
@betty3961 être enrobé ne veut pas dire gros et gras ...
Puis tu peux bien manger sainement et avoir un petit peu de graisse ( pas de malbouffe)

Je sais que pour la femme avoir un peu de gras est bien
Qd tu sais que des athlètes féminines n'ont même plus leurs règles tellement elles n'ont plus aucun gramme de graisse ....

C est mauvais .
 
@betty3961 être enrobé ne veut pas dire gros et gras ...
Puis tu peux bien manger sainement et avoir un petit peu de graisse ( pas de malbouffe)

Je sais que pour la femme avoir un peu de gras est bien
Qd tu sais que des athlètes féminines n'ont même plus leurs règles tellement elles n'ont plus aucun gramme de graisse ....

C est mauvais .
je dis mince, c'est pas la même chose que maigre

ces athlètes que j'ai cherché sur google pour voir à quoi ça ressemble, elles sont maigres, mais, les gens du passé étaient minces

la malbouffe c'est pas seulement les fastfood, même un morceau du saumon s'il a été élevé dans une ferme d'eau douce, c'est de la malbouffe aussi
 
bonjour

autrefois, les gens étaient minces donc je me dis que les gens n'ont pris du poids qu'avec l'émergence de ces nouveaux aliments transformés
en islam, il faut pas trop manger, pour préserver son corps et pour ne pas tomber dans la surconsommation

pour les études scientifiques, je leur fait pas confiance puisqu'elles changent selon la politique, on a déjà dit que fumer était bien pour mieux vendre, on a dit que le vin rouge était bon pour le coeur alors que c'est faux
alors être un peu enveloppé, je suis pas si sure, surtout quand on voit de quoi est faite notre nourriture
On mange plus parce qu'on en a les moyens et parce que la société de consommation nous pousse à cela.
Contrairement à ce que l'on peut penser, pour prendre de la masse musculaire, on mange moins que ceux qui se gavent et on mange d'une meilleure qualité.
En tout cas au dessus de la moyenne pour les plus assidus.

Sans la pratique, je serais sûrement tombé dans le piège...
 
je dis mince, c'est pas la même chose que maigre

ces athlètes que j'ai cherché sur google pour voir à quoi ça ressemble, elles sont maigres, mais, les gens du passé étaient minces

la malbouffe c'est pas seulement les fastfood, même un morceau du saumon s'il a été élevé dans une ferme d'eau douce, c'est de la malbouffe aussi

Tu peux être mince et avoir du gras, même mince et développer une résistance à l'insuline à force de manger des produits sucrés.

D'après ce que j'ai vu dans certaines études, il faut un certain taux de gras (surtout pour les femmes) sinon tes hormones sont lourdement impactés.
 

ThePacific

La patience n'a d'endurance que dans l'épreuve.
VIB
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ThePacific

La patience n'a d'endurance que dans l'épreuve.
VIB

EN GUISE DE CONCLUSION ! mesdames, n'écoutez pas toujours les conseils des GOUROUS "experts en nutrition" qui vous exhortent, partout sur internet, à perdre vos quelques kilos en trop, en se gardant bien de vous indiquer que ce n'est pas forcément un gage de meilleure santé ou de longévité accrue !
Ci-joint une courte vidéo sur les maldies auto-immunes

Merci pour ces infos,
Une méthode encore plus efficace, serait d'être attentif à son corps!
Être à son écoute!
Quand le corps à besoin de quelque chose culinairement, il le fait savoir.

Si c'est de l'eau, il faut lui donner de l'eau et non n'importe qu'elle boisson bourrée de sucre qui n'étanchera jamais la soif!
Même l'eau que nous consommons peut être néfaste à notre organisme (surtout l'eau des robinets et les eaux filtrées que beaucoup pense sont les meilleures...)
Si c'est une boisson gazeuse que le corps réclame, il faut lui donner (raisonnablement).
Si le corps réclame un "kebab", il faut lui donner!.. l'essentiel est de ne pas en consommer constamment.
Varier son alimentation est la meilleur chose à faire!
Si le corps n'a pas envie de manger ou boire, pourquoi le forcer?!..

Le stresse, l'angoisse sont des facteurs majeurs à notre bien être et peuvent être les pires symptômes que le corps humain déteste.

Et bien évidemment, habituer son corps à bouger pour que le sang circule et puisse se régénérer.

Être un peu charnu(e), n'est pas synonyme d'une mauvaise alimentation et ne doit en aucun faire culpabiliser.
 
bonjour

autrefois, les gens étaient minces donc je me dis que les gens n'ont pris du poids qu'avec l'émergence de ces nouveaux aliments transformés
en islam, il faut pas trop manger, pour préserver son corps et pour ne pas tomber dans la surconsommation

pour les études scientifiques, je leur fait pas confiance puisqu'elles changent selon la politique, on a déjà dit que fumer était bien pour mieux vendre, on a dit que le vin rouge était bon pour le coeur alors que c'est faux
alors être un peu enveloppé, je suis pas si sure, surtout quand on voit de quoi est faite notre nourriture
Tu peux être enveloppé sans trop manger, à cause de maladies ou simplement parce que c'est génétique.
Autrefois il y avait des gens minces parce qu'il y avait des périodes de famine et parce que les gens bougeaient plus, ça existait pas le télétravail!
Concernant le fait de fumer ça a rien à voir avec des études scientifiques, c'était des pubs ou dans des films où ça faisait "cool", jamais une étude scientifique a montré que c'était bien de fumer!
Il y a une différence entre être en surpoids et être dans la limite supérieure de l'IMC!
 

Korozif

C4H10FO2P
VIB
Tu peux être enveloppé sans trop manger, à cause de maladies ou simplement parce que c'est génétique.
Autrefois il y avait des gens minces parce qu'il y avait des périodes de famine et parce que les gens bougeaient plus, ça existait pas le télétravail!
Concernant le fait de fumer ça a rien à voir avec des études scientifiques, c'était des pubs ou dans des films où ça faisait "cool", jamais une étude scientifique a montré que c'était bien de fumer!
Il y a une différence entre être en surpoids et être dans la limite supérieure de l'IMC!


Le poids moyen d'une femme Samoa est de plus de 98 kg ... Ouch.
 
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