Un ex-responsable de lafarge admet le versement de 20 000 euros par mois à "l ei"

Les auditions sont accablantes. Dans son édition datée de jeudi 21 septembre, Le Monde (article payant) publie des extraits de l'enquête judiciaire en cours sur les agissements du groupe franco-suisse LafargeHolcim au sujet de sa cimenterie de Jalabiya, dans le nord de la Syrie.
Neuf responsables de l'entreprise ont été entendus par les enquêteurs, qui cherchaient à déterminer les liens qu'a pu entretenir le géant du ciment avec des groupes armés, dont l'organisation Etat islamique, pour continuer à faire fonctionner son usine en 2013 et 2014, en plein conflit syrien.
Jusqu'à 100 000 dollars par mois versés
Face aux enquêteurs, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge a ainsi reconnu ainsi que le groupe s'est plié à une "économie de racket" menée par différentes milices armées dès la fin de l'été 2012 pour assurer le transit de ses marchandises dans le pays. Un intermédiaire a même été employé "pour négocier avec les groupes armés qui tiennent les checkpoints autour de l'usine", écrit Le Monde. Cet individu se voit remettre "entre 80 000 et 100 000 dollars par mois" pour monnayer des laisser-passer avec ces groupes.
Selon les extraits de l'enquête, l'organisation Etat islamique, qui a pris le contrôle de la ville de Raqqa au milieu de l'année 2013, commence à réclamer de l'argent au cimentier à partir de l'automne. Un responsable du groupe terroriste rencontre alors l'intermédiaire mandaté par Lafarge pour négocier.
Bruno Pescheux, PDG de la filiale syrienne de l'entreprise jusqu'en juin 2014, affirme aux enquêteurs avoir vu le nom de Daesh sur des documents internes à l'entreprise. A la question "Avez-vous une idée du montant prévu pour Daesh ?", il répond : "De l'ordre de 20 000 dollars par mois."
La France a incité Lafarge à rester en Syrie
Le Monde révèle par ailleurs que "la décision du leader mondial des matériaux de construction de rester en Syrie a reçu l'aval des autorités françaises, avec lesquelles le groupe était en relation régulière entre 2011 et 2014". Les responsables de Lafarge affirment ainsi à plusieurs reprises avoir consulté le ministère des Affaires étrangères ainsi que le gouvernement au sujet du maintien de leur activité dans le pays.
Interrogé sur la situation de l'entreprise dans le pays au printemps 2013, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge indique ainsi que le "gouvernement français" a "fortement incité" le groupe à rester en Syrie pour préparer l'après-guerre civile. "C'est quand même le plus gros investissement français en Syrie et c'est le drapeau français."

Gouv fr criminel qui a tué des arabes de toutes confessions et d'autres ethnies sans compter les infrastructures mais rien est oublié pour lui .
Tout ça pour soutenir l'entité scélérate illégale qui vit sous perfusion créée en 1948 par l'onu ex sdn . Alors que la France a des millions de chômeurs des dettes énormes et une grosse corruption .
 
Le Monde révèle par ailleurs que "la décision du leader mondial des matériaux de construction de rester en Syrie a reçu l'aval des autorités françaises, avec lesquelles le groupe était en relation régulière entre 2011 et 2014".
Pour rappel, Lafarge a été racheté par le suisse Holcim en 2015... Donc, pour ce qui est du racket de Daesh, faudrait plutôt gueuler sur le gouvernement suisse, non ?

Evidemment, il faudrait aussi déterminer si une entreprise privée, cotée en bourse avec des actionnaires anonyme ici ou là est encore attachée à un pays particulier. Perso, je pense que non : Total, par exemple, est aussi français que moi je suis roi d'Espagne.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Pour rappel, Lafarge a été racheté par le suisse Holcim en 2015... Donc, pour ce qui est du racket de Daesh, faudrait plutôt gueuler sur le gouvernement suisse, non ?

Evidemment, il faudrait aussi déterminer si une entreprise privée, cotée en bourse avec des actionnaires anonyme ici ou là est encore attachée à un pays particulier. Perso, je pense que non : Total, par exemple, est aussi français que moi je suis roi d'Espagne.

Ce lien de rattachement, c'est l'IS et les dividendes que la société paie à la France, Lafarge comme Total. De là, on comprends que l’État français s'intéresse de près à ses activités à l'étranger quitte à s'y mêler (en sous marin).

Tu peux tout à fait rouspéter sur la Suisse si ses diplomates se sont mouillés aussi...
 
Ce lien de rattachement, c'est l'IS et les dividendes que la société paie à la France, Lafarge comme Total. De là, on comprends que l’État français s'intéresse de près à ses activités à l'étranger quitte à s'y mêler (en sous marin).

Tu peux tout à fait rouspéter sur la Suisse si ses diplomates se sont mouillés aussi...

Hélas, dans le cas de Total, on est loin du compte. L'article date de 2014 mais dénonce une pratique utilisée par pas mal de grandes multinationales "françaises" ou autres : tu déclares des pertes en France (même si tu fais des milliards de bénéfices au global) et hop, plus d'impôt

Extraits :
"Le géant pétrolier, qui a dégagé un spectaculaire bénéfice net ajusté de 10,8 milliards d'euros au niveau mondial l'an dernier, n'a pas payé d'impôts sur les sociétés (IS) en France en 2012 et 2013, car ses activités dans l'Hexagone (raffinage, stations services...) y sont déficitaires."

Mais nuançons un peu : si Total "optimise" sa fiscalité pour ne pas payer d'IS, il paye tout de même des charges et taxes en France :
"Total a payé 410 millions en impôts divers hors IS en 2013 (contribution économique territoriale, impôts locaux, forfait social, C3S, taxe sur les salaires) et 160 millions de taxe sur les dividendes versés. Total a par ailleurs versé 1,1 milliard de cotisations sociales dans l'Hexagone en 2013."
Mais bon, c'est pas cadeau non plus tout cela : vu les prix à la pompe, c'est les consommateurs qui, comme toujours, payent.

Pour l'IS, c'est surtout à l'étranger qu'il paye :
"Le groupe, récuse ces accusations en rappelant qu'il a payé 11 milliards d'impôt sur les bénéfices l'an dernier, dans les pays où il réalise ses activités d'exploration et de production, très rentables. Ce qui correspond à un taux d'imposition global moyen de 56%, explique-t-il, contre 42,3% pour l'ensemble des entreprises du CAC 40. Le groupe, qui paie plus de la moitié de son IS en Afrique, est soumis à des taux d'imposition très élevés hors de France: 85% au Nigéria, 78% en Norvège ou 76,5% au Gabon. Alors que le taux maximum dans l'Hexagone s'élève à 38%."
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...as-d-impot-sur-sur-les-societes-en-france.php

Mais ce qui avait le plus fait râler, c'est cela : alors qu'il ne payait pas d'IS en France, Total touchait des aides de l'Etat
"Depuis 2013, l'entreprise perçoit aussi des dizaines de millions d'euros aux titres du Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), mis en place par François Hollande, ainsi que du Crédit d'impôt recherche (CIR). Selon une enquête menée en 2015 par Le Journal du Net, Total a eu droit à 48 millions d'euros en 2013 et 2014 rien que pour le CICE. Auxquels il faut ajouter près de 60 millions d'euros pour le CIR, selon Le Figaro. Soit, un total de plus de 100 millions d'euros."
https://www.marianne.net/economie/exemptions-dimpot-millions-du-cice-total-la-pompe-fisc

Pour finir sur Total, je ne crois pas que l'Etat français touche des dividendes (même s'il prend des taxes sur le versement des dividendes aux actionnaires) : il ne me semble pas que l'Etat ait des participations dans l'actionnariat de Total. De même pour Lafarge d'ailleurs.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Hélas, dans le cas de Total, on est loin du compte. L'article date de 2014 mais dénonce une pratique utilisée par pas mal de grandes multinationales "françaises" ou autres : tu déclares des pertes en France (même si tu fais des milliards de bénéfices au global) et hop, plus d'impôt

Extraits :
"Le géant pétrolier, qui a dégagé un spectaculaire bénéfice net ajusté de 10,8 milliards d'euros au niveau mondial l'an dernier, n'a pas payé d'impôts sur les sociétés (IS) en France en 2012 et 2013, car ses activités dans l'Hexagone (raffinage, stations services...) y sont déficitaires."

Quand je dis "paie de l'IS", j'entends par là est imposable à l'IS, ce qui rend l'Etat potentiellement créancier d'un tiers de son bénéfice imposable. C'est pas parce que certaines années, ses déficits fiscaux lui évitent de passer au crachoir que tout est cuit. Les règles en la matière sont relativement équilibrées et si Total veut jouer au c o n, l'administration l'attend au tournant - les affaires de redressement portées devant le Conseil d’Etat par Total ou Bercy ne manquent pas.
Bref, tout ça pour dire que oui, l'Etat français a bien intérêt à ce que tout aille bien dans cette boîte qui est imposable chez lui, et tes rappels vont tout à fait dans ce sens:

"Total a payé 410 millions en impôts divers hors IS en 2013 (contribution économique territoriale, impôts locaux, forfait social, C3S, taxe sur les salaires) et 160 millions de taxe sur les dividendes versés. Total a par ailleurs versé 1,1 milliard de cotisations sociales dans l'Hexagone en 2013."
Mais bon, c'est pas cadeau non plus tout cela : vu les prix à la pompe, c'est les consommateurs qui, comme toujours, payent.



Mais ce qui avait le plus fait râler, c'est cela : alors qu'il ne payait pas d'IS en France, Total touchait des aides de l'Etat
"Depuis 2013, l'entreprise perçoit aussi des dizaines de millions d'euros aux titres du Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), mis en place par François Hollande, ainsi que du Crédit d'impôt recherche (CIR). Selon une enquête menée en 2015 par Le Journal du Net, Total a eu droit à 48 millions d'euros en 2013 et 2014 rien que pour le CICE. Auxquels il faut ajouter près de 60 millions d'euros pour le CIR, selon Le Figaro. Soit, un total de plus de 100 millions d'euros."
https://www.marianne.net/economie/exemptions-dimpot-millions-du-cice-total-la-pompe-fisc

On peut pas vraiment parler d'"aide d'Etat" - au sens du droit communautaire, ie un coup de pouce spécialement dirigé à l'endroit d'une entreprise française, ça ferait grincer des dents la Commission européenne. Quoi qu'il en soit, ces dispositifs profitent à toutes les entreprises qui entrent dans leur champ d'application. Ce sont des mesures incitatives: l'assiette des crédits est assise sur les dépenses de recherche (pour favoriser ce secteur) et sur la masse salariale (favoriser l'embauche); ce serait incohérent (et injuste) d'en priver certaines entreprises, parce qu'elles ne paieraient pas d'impôt sur les bénéfices en raison de...leurs déficits!

Pour finir sur Total, je ne crois pas que l'Etat français touche des dividendes (même s'il prend des taxes sur le versement des dividendes aux actionnaires) : il ne me semble pas que l'Etat ait des participations dans l'actionnariat de Total. De même pour Lafarge d'ailleurs.

La France est actionnaire à près de 17% de Total. Pour Lafarge, j'ai pas trouvé les chiffres.
 
Désolé, j'ai l'esprit d'escalier parfois (souvent^^)
Tu peux tout à fait rouspéter sur la Suisse si ses diplomates se sont mouillés aussi...
Si des diplomates sont mouillés dans le financement d'organisation terroriste, ils doivent être jugés comme n'importe quels autres complices (idem si cela remonte plus haut).

Mais penser que des multinationales comme Lafarge, Total ou autres prennent leurs ordres auprès du gouvernement de leur pays "d'origine" me semble une vision totalement bisounours de l'économie mondialisée : ce sont des boîtes privées et le seul objectif qui pilote leurs décisions est le pourcentage (si possible généreux, sinon ça coince) de dividendes versés aux actionnaires. Elles n'ont aucun patriotisme et n'agissent pas dans l'intérêt d'un pays ou d'une population - malgré certains beaux discours - sauf si cela va dans le sens de leur propre intérêt.
 
La France est actionnaire à près de 17% de Total. Pour Lafarge, j'ai pas trouvé les chiffres.
Si tu fais référence à cela : trouvé sur le site de Total (http://www.total.com/fr/actionnaires/action-et-dividende/structure-actionnariat)
"Structure de l’actionnariat
Estimation au 31 décembre 2016, hors détention intra-Groupe, sur la base du TPI (Titres au porteur identifiable) réalisé à cette date.
Par catégorie d’actionnaires :
Salariés du Groupe(a) : 4,9 %
Actionnaires individuels : 7,9 %
Actionnaires institutionnels : 87,2 % - dont :
- 16,2 % en France
- 12,2 % au Royaume-Uni
- 15,5 % pour le reste de l’Europe
- 35,4 % pour l’Amérique du Nord
- 7,9 % pour le reste du monde"

A ce compte-là Total est américain :D
Cependant, il ne faut pas confondre : quand on parle d'actionnaires institutionnels, ce ne sont pas les Etats mais des banques, compagnies d'assurance, caisses de retraite, fonds communs de placement ou SICAV. (qui bien sûr, peuvent être privées, publiques ou partiellement publiques mais cela dissous pas mal le pouvoir d'un gouvernement particulier au sein de l'actionnariat d'une boite)
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/finance-mar...sseur-institutionnel.html#gCIqKpcC4SIjYfqC.99

J'ai trouvé ça pour la composition de l'actionnariat de Lafarge-Holcim : pas d'Etats dedans
http://reports.lafargeholcim.com/20...holding/notes/15-principaux-actionnaires.html
 
Les auditions sont accablantes. Dans son édition datée de jeudi 21 septembre, Le Monde (article payant) publie des extraits de l'enquête judiciaire en cours sur les agissements du groupe franco-suisse LafargeHolcim au sujet de sa cimenterie de Jalabiya, dans le nord de la Syrie.
Neuf responsables de l'entreprise ont été entendus par les enquêteurs, qui cherchaient à déterminer les liens qu'a pu entretenir le géant du ciment avec des groupes armés, dont l'organisation Etat islamique, pour continuer à faire fonctionner son usine en 2013 et 2014, en plein conflit syrien.
Jusqu'à 100 000 dollars par mois versés
Face aux enquêteurs, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge a ainsi reconnu ainsi que le groupe s'est plié à une "économie de racket" menée par différentes milices armées dès la fin de l'été 2012 pour assurer le transit de ses marchandises dans le pays. Un intermédiaire a même été employé "pour négocier avec les groupes armés qui tiennent les checkpoints autour de l'usine", écrit Le Monde. Cet individu se voit remettre "entre 80 000 et 100 000 dollars par mois" pour monnayer des laisser-passer avec ces groupes.
Selon les extraits de l'enquête, l'organisation Etat islamique, qui a pris le contrôle de la ville de Raqqa au milieu de l'année 2013, commence à réclamer de l'argent au cimentier à partir de l'automne. Un responsable du groupe terroriste rencontre alors l'intermédiaire mandaté par Lafarge pour négocier.
Bruno Pescheux, PDG de la filiale syrienne de l'entreprise jusqu'en juin 2014, affirme aux enquêteurs avoir vu le nom de Daesh sur des documents internes à l'entreprise. A la question "Avez-vous une idée du montant prévu pour Daesh ?", il répond : "De l'ordre de 20 000 dollars par mois."
La France a incité Lafarge à rester en Syrie

Le Monde révèle par ailleurs que "la décision du leader mondial des matériaux de construction de rester en Syrie a reçu l'aval des autorités françaises, avec lesquelles le groupe était en relation régulière entre 2011 et 2014". Les responsables de Lafarge affirment ainsi à plusieurs reprises avoir consulté le ministère des Affaires étrangères ainsi que le gouvernement au sujet du maintien de leur activité dans le pays.
Interrogé sur la situation de l'entreprise dans le pays au printemps 2013, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge indique ainsi que le "gouvernement français" a "fortement incité" le groupe à rester en Syrie pour préparer l'après-guerre civile. "C'est quand même le plus gros investissement français en Syrie et c'est le drapeau français."

Gouv fr criminel qui a tué des arabes de toutes confessions et d'autres ethnies sans compter les infrastructures mais rien est oublié pour lui .
Tout ça pour soutenir l'entité scélérate illégale qui vit sous perfusion créée en 1948 par l'onu ex sdn . Alors que la France a des millions de chômeurs des dettes énormes et une grosse corruption .
:eek:20000$ c'est le chiffre affaire journalier d'une centrale a beton de moyenne importance en ile de France..alors le coup des 20000 e de bakchich. par mois c'est du pipot..soit ils prennent les gens pour des moins que rien ou ils veulent faire passer les gens de Daech pour des abrutis.... sanguinaires ils le sont mais abrutis on ne le savait pas
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Les auditions sont accablantes. Dans son édition datée de jeudi 21 septembre, Le Monde (article payant) publie des extraits de l'enquête judiciaire en cours sur les agissements du groupe franco-suisse LafargeHolcim au sujet de sa cimenterie de Jalabiya, dans le nord de la Syrie.
Neuf responsables de l'entreprise ont été entendus par les enquêteurs, qui cherchaient à déterminer les liens qu'a pu entretenir le géant du ciment avec des groupes armés, dont l'organisation Etat islamique, pour continuer à faire fonctionner son usine en 2013 et 2014, en plein conflit syrien.
Jusqu'à 100 000 dollars par mois versés
Face aux enquêteurs, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge a ainsi reconnu ainsi que le groupe s'est plié à une "économie de racket" menée par différentes milices armées dès la fin de l'été 2012 pour assurer le transit de ses marchandises dans le pays. Un intermédiaire a même été employé "pour négocier avec les groupes armés qui tiennent les checkpoints autour de l'usine", écrit Le Monde. Cet individu se voit remettre "entre 80 000 et 100 000 dollars par mois" pour monnayer des laisser-passer avec ces groupes.
Selon les extraits de l'enquête, l'organisation Etat islamique, qui a pris le contrôle de la ville de Raqqa au milieu de l'année 2013, commence à réclamer de l'argent au cimentier à partir de l'automne. Un responsable du groupe terroriste rencontre alors l'intermédiaire mandaté par Lafarge pour négocier.
Bruno Pescheux, PDG de la filiale syrienne de l'entreprise jusqu'en juin 2014, affirme aux enquêteurs avoir vu le nom de Daesh sur des documents internes à l'entreprise. A la question "Avez-vous une idée du montant prévu pour Daesh ?", il répond : "De l'ordre de 20 000 dollars par mois."
La France a incité Lafarge à rester en Syrie

Le Monde révèle par ailleurs que "la décision du leader mondial des matériaux de construction de rester en Syrie a reçu l'aval des autorités françaises, avec lesquelles le groupe était en relation régulière entre 2011 et 2014". Les responsables de Lafarge affirment ainsi à plusieurs reprises avoir consulté le ministère des Affaires étrangères ainsi que le gouvernement au sujet du maintien de leur activité dans le pays.
Interrogé sur la situation de l'entreprise dans le pays au printemps 2013, l'ancien directeur général adjoint opérationnel de Lafarge indique ainsi que le "gouvernement français" a "fortement incité" le groupe à rester en Syrie pour préparer l'après-guerre civile. "C'est quand même le plus gros investissement français en Syrie et c'est le drapeau français."

Gouv fr criminel qui a tué des arabes de toutes confessions et d'autres ethnies sans compter les infrastructures mais rien est oublié pour lui .
Tout ça pour soutenir l'entité scélérate illégale qui vit sous perfusion créée en 1948 par l'onu ex sdn . Alors que la France a des millions de chômeurs des dettes énormes et une grosse corruption .
Salam remake,
On peut en dire autant de ceux qui paient une rançon pour des otages.

Aux dernières nouvelles même Assad acheter du pétrole de l'EI.
 
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