Le bien et le mal existent il ? est ce une convention conditionnement ?

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
comment reformuler la question du bien et du mal loin des stereotype des religions
car elle sont les premieres a enfreindre leur propre loi
voir l'exemple du principe de guerre sainte il suffit de changer les mots ou les intention pour legitimier les pires crimes

d'ailleur les religions ont reussi l'exploit de faire aimé la souffrance les privation etc ... a certain de leur adherant voir à les poussé a sacrifier leur propre vie ...

donc comme pensé les interactions social et notre perception du monde au dela du bien et du mal ?
 

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
exemple interessant pour definir ce qui est bien et mal il faut une reference elle ne se definissent pas par elle meme
en general le principe et reference que l'on donne le plus souvent c la vie
mais l'on voi comment cela pose probleme dans certain cas ex covid et domestication
où sous pretexte de (sur)proteger la vie on ne vie plus reelement en se donnant des limites (loi et peur)


voir la notion de ying yang
notion de sainteté sacré taboo d'interdit de illicite etc ...
dangereux toxic mauvais negatif ...
autre sujet lier : ideal liberté jugement moral ethique etiquette ...

https://www.youtube.com/watch?v=7KmAKVaO-Xc
https://www.youtube.com/watch?v=wuWwFOyAbMo

https://www.youtube.com/watch?v=sAD4clS9Bbs
https://www.youtube.com/watch?v=iAodOVD3cFY
https://www.youtube.com/watch?v=4V8PNrh_6Bg
https://www.youtube.com/watch?v=C7yOZEZ4fUU
https://www.youtube.com/watch?v=m86_HUiskic
https://www.youtube.com/watch?v=ZJKr-vJt3NE
https://www.youtube.com/watch?v=XmGi_MgDMDU
https://www.youtube.com/watch?v=oqp4x7Bqy6Q
https://www.youtube.com/watch?v=onlJoZsnMic
https://www.youtube.com/watch?v=VTwQVsWl4uI
 

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
trés interessant
que cache cette etiquette du bien et du mal une education ou un appel au chatiment ?
qui est apte a octroyer ces etiquette ?
comprendre ce qui se cache derriere les actes = cnv

connotation du jugement (part d'interpretation) jugement acte personne race religion


 

Le bien et le mal existent il ? est ce une convention conditionnement ?​

Bien sûr que le bien et le mal existent.
A 6 ans on sait quand on fait l'un ou l'autre.
Il suffit de savoir si ce que l'on fait aux autres est une chose que l'on aimerait que l'on nous fasse pour être fixé.

Il reste ensuite l'évolution sociétale: qui aimerait aujourd'hui avoir un esclave à part quelques tarés? Et qui peut se mettre à la place d'un esclavagiste du 17ème qui se voit dans son droit en achetant un être humain pour en faire une bête de somme sans droits?

Donc le bien et le mal vont évoluer au fil du temps.

Ce qui ne veut pas dire que "l'acceptable d'hier" sera "l'inacceptable de demain" ou que "l'inacceptable d'hier" sera accepté demain.
Par exemple l'homosexualité condamnée hier est aujourd'hui admise sous la raison que 2 adultes consentants font ce qu'ils veulent de leur lucs.
C'est pour la même raison que la pédophilie ne sera jamais admise: le déséquilibre dans la relation invalidant l'hypothèse de son admission dans le club des "évolutions sociétales".

Ensuite on a le cas des religions dans lesquelles il faut distinguer 2 genres:
1) Les littéralistes. La lettre prend le pas sur l'esprit de la lettre. Généralement des tarés en fort besoin de cloture cognitive...c'est à dire qu'ils leur faut une réponse éternelle à chaque question. Il faut que ce soit gravé dans le marbre quoi. Sinon ils paniquent.

2) Ceux pour qui l'esprit de la lettre prédomine. C'est à dire pour qui un texte religieux montre une direction et non un ordre. Par exemple quand il s'agit de la place de la femme ou de l'esclavagisme, ceux là voient les progrès de leur religion par rapport à une situation antérieure. Ils ne sont pas fixistes mais estiment que c'est le progrès qui compte. L'islam améliore la situation des femmes? Donc c'est la direction à suivre. le texte originel étant dans un contexte historique qui ne permet pas de brûler les étapes sauf à être rejeté par les populations contemporaines du texte.
 

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
Bien sûr que le bien et le mal existent.
A 6 ans on sait quand on fait l'un ou l'autre.
Il suffit de savoir si ce que l'on fait aux autres est une chose que l'on aimerait que l'on nous fasse pour être fixé.

Il reste ensuite l'évolution sociétale: qui aimerait aujourd'hui avoir un esclave à part quelques tarés? Et qui peut se mettre à la place d'un esclavagiste du 17ème qui se voit dans son droit en achetant un être humain pour en faire une bête de somme sans droits?

Donc le bien et le mal vont évoluer au fil du temps.

Ce qui ne veut pas dire que "l'acceptable d'hier" sera "l'inacceptable de demain" ou que "l'inacceptable d'hier" sera accepté demain.
Par exemple l'homosexualité condamnée hier est aujourd'hui admise sous la raison que 2 adultes consentants font ce qu'ils veulent de leur lucs.
C'est pour la même raison que la pédophilie ne sera jamais admise: le déséquilibre dans la relation invalidant l'hypothèse de son admission dans le club des "évolutions sociétales".

Ensuite on a le cas des religions dans lesquelles il faut distinguer 2 genres:
1) Les littéralistes. La lettre prend le pas sur l'esprit de la lettre. Généralement des tarés en fort besoin de cloture cognitive...c'est à dire qu'ils leur faut une réponse éternelle à chaque question. Il faut que ce soit gravé dans le marbre quoi. Sinon ils paniquent.

2) Ceux pour qui l'esprit de la lettre prédomine. C'est à dire pour qui un texte religieux montre une direction et non un ordre. Par exemple quand il s'agit de la place de la femme ou de l'esclavagisme, ceux là voient les progrès de leur religion par rapport à une situation antérieure. Ils ne sont pas fixistes mais estiment que c'est le progrès qui compte. L'islam améliore la situation des femmes? Donc c'est la direction à suivre. le texte originel étant dans un contexte historique qui ne permet pas de brûler les étapes sauf à être rejeté par les populations contemporaines du texte.

justement d'où un enfant le sais ? c l'education la culture ect ...qui lui apprend

tu le dit c la societé (culture) qui determine ce qui est mal ou pas

aprés au sujet de ne pas faire a autrui ce que l'on ne voudrai pas qu'il nous fasse
je pense que cela est une assé bonne regle bien que cela depend aussi de nombreu autre paramettre

pour la religion ca depend des religions certain se veulent universeil et valable pour tout les temps ex la fornication est interdite par toute les religions abrahamique ...
donc c jouer avec les mot que de rendre des loi symbolique quand cela nous arrange
soit l'on croi que c loi viennent de dieu et donc l'on s'y conforme soit l'on y croit pas et passon a autre chose
 

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aedem sed aliter
Bladinaute averti
Bien sûr que le bien et le mal existent.
A 6 ans on sait quand on fait l'un ou l'autre.
Il suffit de savoir si ce que l'on fait aux autres est une chose que l'on aimerait que l'on nous fasse pour être fixé.

au sujet du bien et du mal ce qui pose probleme c'est la connotation et ce que renferme ce terme qui dit mal dit jugement en vue de punir
en communication non violente l'on parlera de besoin respecter ou pas

exemple en cnv l'on sera dans l'observation plutot que dans le jugement (bien mal)
car le jugement est plus une interpretation personnel d'evenement

Observer les faits​

Quand nous décrivons une situation, nous exprimons différentes choses :

  • des observations objectives (ce qu'on a vu, ce qu'on peut logiquement en déduire sans faire d'hypothèse particulière)
  • des évaluations (penser en termes de bien ou de mal, qualifier la personne ou la situation etc.)
  • des interprétations (faire des conclusions qui se basent sur des présupposés)

Du point de vue de la CNV, les évaluations et les interprétations sont légitimes et peuvent être exprimées.
L'important est de les distinguer des observations objectives et de préciser que c'est ce que nous imaginons.
Rosenberg fait référence à Krishnamurti auquel il prête la pensée suivante :
« Observer sans évaluer est la plus haute forme de l'intelligence humaine »16.

Il recommande d'éviter d'utiliser des évaluations et des jugements, parce que si notre interlocuteur se sent jugé,
il aura tendance à s'investir dans l'autodéfense plutôt que la compréhension17.
Par ailleurs, les évaluations rendent le monde statique, alors qu'il est en transformation constante.
Comme l'explique Wendell Johnson, le langage est un instrument imparfait invitant à parler de stabilité et de normalité, alors que la réalité est changeante et faite de différences18.
La CNV recommande de parler de faits concrets pour décrire les événements plutôt que d'attribuer des caractéristiques définitives à l'interlocuteur ou au monde ce qui l'enferme mentalement dans une case.
Alors qu'en parlant de faits concrets, on ouvre la possibilité de formuler des demandes d'actions précises à réaliser dans le futur.
 
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