endoftheroad
sɹǝʌuǝ,l à nɐǝʌ
il était une fois une Aicha, prétentieuse, hautaine, et méprisante.
Elle aimait se regarder, se complaire devant son mirroir...elle n'aimait en outre, que la beauté grecque et son classicisme: savait elle ce que fût le classcisme et les ephèbes? non.... Aicha lisait plutôt clooser, et ok podium pour parfaire à sa culture générale....elle avait par ailleurs, une très haute estime d'elle même, tellement haute qu'elle dénigrait toutes les personnes qui ne correspondaient pas sa définition du "beau"....
elle avait par ailleurs, une aversion sévère contre les hommes de sa propre culture: n'ayant eût de cesse de les mépriser toutes sa vie, elle n'eût pour seul loisir, que de se corrompre quotidienement dans l'ecriture putride de lettres ouvertes anonymes, destinées exclusivement à la gente masculine arabe..tel fût son sacerdoce.. ou plutôt sa patûre...misérable...
Aicha etait laide, ou plutôt ses défauts moraux l'avait piteusement enlaidie..son narcissisme, ses innombrables moqueries et méchancetés qu'elle destinait toutes, et sans vergogne, aux hommes qu'elle ne jugea point à son goût, l'avait rendu défintivement impopulaire aux yeux de ceux qu'elle convoitait...
C'est alors qu'un jour, en battant le bitume, fière et arrogante comme à son habitude, en se rendant à un concert d'un célèbre groupe de boysband, elle fût soudain projeter à terre, sa tête ayant littéralement embrasser le goudron...gémissante de douleur, elle parvient quand même à se retouner et à identifier son bourreau...
à son grand etonnement, elle découvrit le sourire rayonnant d'une femme: une femme 1000 fois plus belle qu'elle disait on, mais surtout, 1000 fois moins arrogante....
Aicha qui avait pour habitude de crier à la jalousie, à ceux et celles qui lui faisaient du mal, resta de marbre face à la beauté vénitienne...elle s'est tue...
La vénus, quant à elle, lui tint ses quelques mots, avant de disparaître....
"regarde toi mieux dans un mirroir avant de critiquer la laideur des autres...."
Elle aimait se regarder, se complaire devant son mirroir...elle n'aimait en outre, que la beauté grecque et son classicisme: savait elle ce que fût le classcisme et les ephèbes? non.... Aicha lisait plutôt clooser, et ok podium pour parfaire à sa culture générale....elle avait par ailleurs, une très haute estime d'elle même, tellement haute qu'elle dénigrait toutes les personnes qui ne correspondaient pas sa définition du "beau"....
elle avait par ailleurs, une aversion sévère contre les hommes de sa propre culture: n'ayant eût de cesse de les mépriser toutes sa vie, elle n'eût pour seul loisir, que de se corrompre quotidienement dans l'ecriture putride de lettres ouvertes anonymes, destinées exclusivement à la gente masculine arabe..tel fût son sacerdoce.. ou plutôt sa patûre...misérable...
Aicha etait laide, ou plutôt ses défauts moraux l'avait piteusement enlaidie..son narcissisme, ses innombrables moqueries et méchancetés qu'elle destinait toutes, et sans vergogne, aux hommes qu'elle ne jugea point à son goût, l'avait rendu défintivement impopulaire aux yeux de ceux qu'elle convoitait...
C'est alors qu'un jour, en battant le bitume, fière et arrogante comme à son habitude, en se rendant à un concert d'un célèbre groupe de boysband, elle fût soudain projeter à terre, sa tête ayant littéralement embrasser le goudron...gémissante de douleur, elle parvient quand même à se retouner et à identifier son bourreau...
à son grand etonnement, elle découvrit le sourire rayonnant d'une femme: une femme 1000 fois plus belle qu'elle disait on, mais surtout, 1000 fois moins arrogante....
Aicha qui avait pour habitude de crier à la jalousie, à ceux et celles qui lui faisaient du mal, resta de marbre face à la beauté vénitienne...elle s'est tue...
La vénus, quant à elle, lui tint ses quelques mots, avant de disparaître....
"regarde toi mieux dans un mirroir avant de critiquer la laideur des autres...."