Fahima Yusuf, une maman britannique, disait « Je t’aime » alors que son mari, Ahmed Seedat, la battait à mort.
Elle était allongée sur son lit quand il l’a brutalement attaquée avant de l’étouffer et de l’enterrer dans le jardin. Leurs enfants, de deux et cinq ans, étaient dans la pièce d’à côté.
L’homme a été condamné à 23 de prison pour son meurtre. Les faits se sont déroulés à Perth, en Australie. Ahmed Seedat, le mari de Fahima, engageait une prostituée depuis des années et après huit ans de mariage, il décide de tuer sa femme. Pour camoufler son meurtre, il raconte à sa sœur que celle-ci l’a quitté et s’était échappée.
Un entrepreneur découvre son corps sans vie après avoir creusé dans le jardin parce qu’il construisait une piscine. Le juge de la Cour suprême, Bruno Fiannaca, a déclaré : « C’était techniquement maladroit, mais c’était un comportement calculé. » Le meurtrier, âgé de 37 ans, a été accusé en septembre dernier, a plaidé coupable en janvier et vient d’être condamné.
Ahmed Seedat a déclaré à la police que, pendant qu’il battait sa femme à mort, elle lui avait dit « je t’aime ». « Cela montre sa peur et son désespoir de t’empêcher de la tuer. Le défunt aurait été terrifié », a déclaré le juge Fiannaca. Seedat fait face séparément à des accusations de fraude. Il aurait volé 5 millions d’euros.
Elle était allongée sur son lit quand il l’a brutalement attaquée avant de l’étouffer et de l’enterrer dans le jardin. Leurs enfants, de deux et cinq ans, étaient dans la pièce d’à côté.
L’homme a été condamné à 23 de prison pour son meurtre. Les faits se sont déroulés à Perth, en Australie. Ahmed Seedat, le mari de Fahima, engageait une prostituée depuis des années et après huit ans de mariage, il décide de tuer sa femme. Pour camoufler son meurtre, il raconte à sa sœur que celle-ci l’a quitté et s’était échappée.
Un entrepreneur découvre son corps sans vie après avoir creusé dans le jardin parce qu’il construisait une piscine. Le juge de la Cour suprême, Bruno Fiannaca, a déclaré : « C’était techniquement maladroit, mais c’était un comportement calculé. » Le meurtrier, âgé de 37 ans, a été accusé en septembre dernier, a plaidé coupable en janvier et vient d’être condamné.
Ahmed Seedat a déclaré à la police que, pendant qu’il battait sa femme à mort, elle lui avait dit « je t’aime ». « Cela montre sa peur et son désespoir de t’empêcher de la tuer. Le défunt aurait été terrifié », a déclaré le juge Fiannaca. Seedat fait face séparément à des accusations de fraude. Il aurait volé 5 millions d’euros.
Fahima a été battue à mort par son mari pendant qu’elle lui disait «Je t’aime»: «Cela montre sa peur et son désespoir»
Fahima Yusuf, une maman britannique, disait « Je t’aime » alors que son mari, Ahmed Seedat, la battait à mort.
www.sudinfo.be