Fake news : oui, les adolescents peuvent se défendre

Des scientifiques ont évalué la capacité des adolescents à repérer les fake news. Et montré qu’il est possible d’apprendre à résister aux automatismes de pensée, même si l’âge entre en ligne de compte.

Estimer l'exactitude des nouvelles​

Or tous les individus ne sont pas armés face aux fake news, notamment les adolescents, dont le développement cérébral ne s’achève qu’entre 20 et 25 ans. Des chercheurs du Laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l’enfant (LaPsyDÉ)3 ont mené une étude4 pour combler la lacune subsistant dans la littérature à l’égard du discernement de la vérité chez les adolescents.

À 11 ans, pas de distinction​

Dernier résultat marquant de l’étude : la distinction entre fake news et informations vraies par les jeunes de 11 ans. « En moyenne, nous n’avons pas trouvé de différence significative du point de vue statistique », relève Marine Lemaire. Autrement dit, à 11 ans, on n’est pas encore capable de différencier une vraie nouvelle d’une infox.

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Encore une étude qui ne sert à rien...pas besoin de sortir de St Cyr pour savoir que les enfants sont plus influençables.

Des fakes news, on en trouve aussi dans les mass médias, mais ça ne veut pas dire que dans les médias dit alternatifs on n'en trouve pas...je n'ai pas besoin de le préciser, mais comme je connais certains qui aiment jouer les ventriloques...
 
Encore une étude qui ne sert à rien...pas besoin de sortir de St Cyr pour savoir que les enfants sont plus influençables.

Des fakes news, on en trouve aussi dans les mass médias, mais ça ne veut pas dire que dans les médias dit alternatifs on n'en trouve pas...je n'ai pas besoin de le préciser, mais comme je connais certains qui aiment jouer les ventriloques...
Quand certains pays songent à interdire les réseaux sociaux aux enfants, il n'est pas inutile d'en savoir un peu plus sur leur capacité à distinguer le vrai du faux et comment les y aider.
 
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