Perdue33
VIB
Bonne nouvelle: la famille Msakni est de nouveau réunie au grand complet. Les autorités ont semble-t-il fait volte-face après qu'elles aient séparé les 5 enfants ( dont un nourisson de trois mois ) de leur mère et placé en garde à vue leur père pour des soupçons de radicalisme et de maltraitance. Parbleu !
Aucune information n'est fournie pour l'instant pour expliquer ce revirement. L'affaire, rappelons-le, avait fortement ému la communauté musulmane qui ne comprenait pas comment on pouvait arracher de force des enfants à leur mère pour de simples soupçons non étayés.
Les associations de défense des musulmans et de lutte contre l'islamophobie reprochaient aux autorités concernées de faire un procès d'intention à la famille Msakni sur la base de simples supputations totalement infondées.
Une vidéo diffusée sur YouTube montrant la maman, en pleurs, toute seule, dans son appartement privée de ses cinq enfants avait fortement choqué la communauté musulmane aussi bien en France qu'à l'étranger.
De toute évidence, les décisions de placement d'enfants hors de leur foyer familial sont souvent dures et lourdes de conséquences dans leur application car elles provoquent souvent des traumatismes à vie, surtout sur les enfants.
Mais avant que de telles décisons ne soient prises, n'est-il pas normal de s'assurer qu'on ne fait pas d'erreurs dont les effets sur les enfants risquent d'être irréversibles? Se réjouissant de cette nouvelle, le lecteur aimerait quand même bien savoir pourquoi les autorités ont fait marche arrière.
Pressions médiatiques, preuves insuffisantes ou s'agit-il tout simplement d'une boulette comme on en commet des fois dans les Palais de Justice et les locaux de police nationale ? Mais, il faut se rendre à l'évidence, erreur judiciaire ou pas, le mal est déjà fait sur les enfants. À qui la faute ? Et qui va réparer les séquelles laissées sur les enfants ?
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Aucune information n'est fournie pour l'instant pour expliquer ce revirement. L'affaire, rappelons-le, avait fortement ému la communauté musulmane qui ne comprenait pas comment on pouvait arracher de force des enfants à leur mère pour de simples soupçons non étayés.
Les associations de défense des musulmans et de lutte contre l'islamophobie reprochaient aux autorités concernées de faire un procès d'intention à la famille Msakni sur la base de simples supputations totalement infondées.
Une vidéo diffusée sur YouTube montrant la maman, en pleurs, toute seule, dans son appartement privée de ses cinq enfants avait fortement choqué la communauté musulmane aussi bien en France qu'à l'étranger.
De toute évidence, les décisions de placement d'enfants hors de leur foyer familial sont souvent dures et lourdes de conséquences dans leur application car elles provoquent souvent des traumatismes à vie, surtout sur les enfants.
Mais avant que de telles décisons ne soient prises, n'est-il pas normal de s'assurer qu'on ne fait pas d'erreurs dont les effets sur les enfants risquent d'être irréversibles? Se réjouissant de cette nouvelle, le lecteur aimerait quand même bien savoir pourquoi les autorités ont fait marche arrière.
Pressions médiatiques, preuves insuffisantes ou s'agit-il tout simplement d'une boulette comme on en commet des fois dans les Palais de Justice et les locaux de police nationale ? Mais, il faut se rendre à l'évidence, erreur judiciaire ou pas, le mal est déjà fait sur les enfants. À qui la faute ? Et qui va réparer les séquelles laissées sur les enfants ?
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