RAMALLAH, 11 octobre (Xinhua) -- Un responsable du mouvement Fatah du président palestinien Mahmoud Abbas a qualifié samedi de "progrès" l'acceptation par le Hamas d'un plan égyptien destiné à mettre fin au schisme palestinien.
"L'acceptation par le Hamas du plan est un pas en avant pour mettre fin à la division entre les deux ailes de la patrie", a affirmé Nabil Shaath, un membre de la délégation du Fatah aux pourparlers avec les médiateurs égyptiens.
Une délégation du Hamas a eu une série d'entretiens avec des responsables égyptiens ces deux derniers jours au Caire pour écouter les propositions égyptiennes visant à mettre un terme au conflit entre le Hamas et le Fatah.
"Les Egyptiens m'ont fait savoir personnellement que le Hamas avait accepté le plan et cette nouvelle nous a rendu heureux, moi et le président Abbas", a ajouté M. Shaath.
Le Hamas, qui a remporté les élections parlementaires de 2006, a expulsé le Fatah et les forces pro-Abbas à la suite de combats acharnés pour prendre le contrôle de la bande de Gaza en juin 2007.
Pour sa part, M. Abbas a répondu en attaquant la coalition dirigée par le Hamas et en nommant un gouvernement soutenu par l'Occident en Cisjordanie. Le Hamas a rejeté les décisions de M. Abbas, et les deux territoires sont devenus politiquement séparés.
Par ailleurs, Mahmoud Zahar, un membre de la délégation du Hamas aux pourparlers avec l'Egypte, a annoncé que son mouvement avait accepté de former "un gouvernement d'entente nationale et de réformer les services de sécurité dans la bande de Gaza et en Cisjordanie".
M. Shaath a indiqué que l'accord sur la formation de ce gouvernement avait été conclu après que les factions eurent écarté la possibilité de former un gouvernement technocratique ou un gouvernement d'unité nationale au sein duquel le Hamas et le Fatah se partageraient les principaux porte-feuilles.
M. Shaath a ajouté que le nouveau gouvernement devrait être composé de "personnalités religieuses, politiques et intellectuelles capables de surmonter les sanctions et de réunir les deux parties de la patrie".
"L'acceptation par le Hamas du plan est un pas en avant pour mettre fin à la division entre les deux ailes de la patrie", a affirmé Nabil Shaath, un membre de la délégation du Fatah aux pourparlers avec les médiateurs égyptiens.
Une délégation du Hamas a eu une série d'entretiens avec des responsables égyptiens ces deux derniers jours au Caire pour écouter les propositions égyptiennes visant à mettre un terme au conflit entre le Hamas et le Fatah.
"Les Egyptiens m'ont fait savoir personnellement que le Hamas avait accepté le plan et cette nouvelle nous a rendu heureux, moi et le président Abbas", a ajouté M. Shaath.
Le Hamas, qui a remporté les élections parlementaires de 2006, a expulsé le Fatah et les forces pro-Abbas à la suite de combats acharnés pour prendre le contrôle de la bande de Gaza en juin 2007.
Pour sa part, M. Abbas a répondu en attaquant la coalition dirigée par le Hamas et en nommant un gouvernement soutenu par l'Occident en Cisjordanie. Le Hamas a rejeté les décisions de M. Abbas, et les deux territoires sont devenus politiquement séparés.
Par ailleurs, Mahmoud Zahar, un membre de la délégation du Hamas aux pourparlers avec l'Egypte, a annoncé que son mouvement avait accepté de former "un gouvernement d'entente nationale et de réformer les services de sécurité dans la bande de Gaza et en Cisjordanie".
M. Shaath a indiqué que l'accord sur la formation de ce gouvernement avait été conclu après que les factions eurent écarté la possibilité de former un gouvernement technocratique ou un gouvernement d'unité nationale au sein duquel le Hamas et le Fatah se partageraient les principaux porte-feuilles.
M. Shaath a ajouté que le nouveau gouvernement devrait être composé de "personnalités religieuses, politiques et intellectuelles capables de surmonter les sanctions et de réunir les deux parties de la patrie".
