Faux seins : la face sombre des implants mammaires

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Let's duck face
Faux seins : ce qu’on ne dit jamais aux femmes
Pour en savoir plus :https://www.santenatureinnovation.com/faux-seins-ce-quon-ne-dit-jamais-aux-femmes/#moz

Malheur, trois fois malheur, mais le fait est que les opérations de reconstruction chirurgicale de la poitrine comportent de graves dangers.

Une étude de la Mayo Clinic (le plus grand hôpital des Etats-Unis) portant sur 749 femmes s’étant fait poser des implants mammaires entre 1964 et 1991 a montré que 24 % avaient connu des complications, incluant des cicatrices dures et douloureuses, des ruptures de leur implant, des hématomes et des infections.
Une étude menée par l’Université de Maryland a montré que 64 % des implants en silicone se rompent et fuient dans les 25 ans après avoir été posés. Les autorités de santé américaine (FDA) recommandent donc désormais de se faire retirer les implants au bout de huit ans, ce qui non seulement laisse souvent des cicatrices, mais entraîne aussi cette conséquence malheureuse que la femme se retrouve avec des seins encore plus plats qu’avant, puisque retirer l’implant entraîne aussi d’enlever des tissus mammaires qui se trouvaient autour.

Les allergies au silicone et le silicone qui se répand dans l’organisme peuvent entraîner de graves maladies auto-immunes : lupus érythémateux, arthrite rhumatoïde, sclérose en plaques.

Quant aux implants remplis de solution saline (eau salée), réputés moins allergènes, le problème est que des bactéries et des moisissures peuvent s’y développer. L’enveloppe de silicone est en effet partiellement perméable. Des bactéries dangereuses comme le staphylocoque doré ou l’E. Coli peuvent s’y implanter.

Les femmes en âge de procréer qui se font poser des implants mammaires pourraient s’attendre à des problèmes en cas d’allaitement. Une étude menée au Texas a montré que 64 % des femmes ayant des implants mammaires avaient trop peu de lait pour allaiter, contre 7 % habituellement. Cette étude date néanmoins de 1971 et n’a pas été confirmée depuis.
 

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L’Institut National du Cancer, en France, a émis une alerte après avoir constaté un lien entre les implants mammaires et le lymphome anaplastique à grandes cellules (LAGC), une forme de cancer :
« Il existe un lien clairement établi entre la survenue de LAGC mammaire et le port d’implants mammaires », a déclaré le groupe d’experts.

Plus inquiétant encore, il existe malgré tout un risque de suicide douze fois plus élevé chez les femmes ayant des implants mammaires. Attention, cette hausse du risque pourrait toutefois être liée au fait que beaucoup de femmes ayant des implants mammaires se les sont fait poser à la suite d’un cancer du sein, et ont donc subi des épreuves terribles.

Pas étonnant, donc, que les implants mammaires soient régulièrement au cœur de gros scandales.

Les implants mammaires ont déjà fait l’objet de deux immenses scandales.
Le premier, dans les années 90, a mené à la condamnation des trois firmes pharmaceutiques qui les produisaient : Dow Corning Corporation, Bristol-Myers-Squibb et Baxter Healthcare Corp. Ensuite, elles ont dû payer 3,7 milliards de dollars aux femmes qui les poursuivaient pour avoir subi de graves complications.
L’autre scandale, encore tout frais surtout dans les esprits français, est celui des prothèses PIP, qui avaient été frauduleusement remplies de silicone industriel plutôt que de silicone médical. Huit femmes dont les implants s’étaient rompus sont décédées d’une forme rare de lymphome (cancer).

Mais d’autres scandales sont à venir, selon toute probabilité : en effet, depuis cent ans que la médecine pratique les implants mammaires selon différentes techniques, aucune étude sérieuse, de grande ampleur et de long terme, n’a été menée pour déterminer le risque réel lié à cette opération.

Les prothèses à solution saline, autorisées depuis 2003 aux USA et réputées comme plus sûres, n’ont fait l’objet que d’une étude sur une seule année, alors qu’on sait que la grande majorité des problèmes se posent sur le long terme (plus de huit ans).

Enfin, un fait qui ne trompe pas, et qui indique que le vent est en train de tourner : la star Victoria Beckham, la femme du footballer anglais David Beckham qui arborait des faux seins qui faisaient l’envie (et la jalousie) de millions de fans à travers le monde, a finalement annoncé en 2014 qu’elle se les était fait retirer afin, a-t-elle dit, de retrouver le charme d’une poitrine naturelle.Cette « grande nouvelle » a eu un effet immédiat en Angleterre : écroulement des nouvelles opérations d’implants mammaires : -20 % en un an !!

Espérons que son exemple aboutisse à réserver désormais la chirurgie mammaire reconstructive aux femmes victime du cancer du sein, pour qui le rapport risque/bénéfice est indiscutablement positif.
À votre santé !

Jean-Marc Dupuis
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Salam

Les femmes s'en fichent de mettre leur santé en danger , tant qu'elles excitent leurs hommes elles sont aux anges


:malade:
L’étude ne dit pas si elles sont célibataires. On peut supposer qu’un bon nombre le sont, si on fait la parallèle avec les régimes amaigrissants risqués suivit par certaines.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
L’étude ne dit pas si elles sont célibataires. On peut supposer qu’un bon nombre le sont, si on fait la parallèle avec les régimes amaigrissants risqués suivit par certaines.
Bag si elles pensent que c'est en se faisant opérer pour se faire poser des gros seins qu ellés trouveront un homme. Faut pas s'attendre à ce qu'il reste avec elle longtemps si c'est juste paire de gros sein qu'elle à offrir . Elle doit exister que par ses seins en fait. Dans le but de séduire le mâle
C'est ce que j'appelle une femme soumise tout simplement .
Tout comme les femmes qui se font faire de la chirurgie du visage nez dent lèvres botox partout ... Ce sont des femmes soumises .
Ca dénote un profond mal être initial ..
 

Tiyama

Nǿ pĂíņ Νǿ ġǺĩŋ
Avoir des gros lolos, mais à quel prix ?
Je crois que les personnes qui ont recours à ce type d'intervention ne mesurent pas assez le facteur bénéfices-risques.
L'idéal serait que ce type de chirurgie soit uniquement destiné aux personnes qui en ont vraiment besoin (réparation suite à un traumatisme, un accident, une maladie...). Mais bon, la problématique est bien plus complexe.
 
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