Andgel777
Les Secrets du Bonheur =>dans les Livres
Pour toi @nordia qui m'a dit ----> "à quand un poste sur la femme berbère et ça grande noblesse"
Saleeeeem !!!
J’ai aimé observer les femmes berbères autour de moi avec un regard discret mais aiguisé.
J’ai souvent tendu l’oreille pour écouter l’indévoilable lorsque cela se présentait.
La légende dit qu’elles sont issues d’une culture matriarcale. Ce genre de matriarches qui gouvernent secrètement d’une main de fer sans « castrer » leurs hommes.
Et d’après cette reine guerrière Dihya - Kahina, qui combat un jour contre les Omeyyades, ce n’est donc pas qu’une légende.
Son père l’avait marié à un homme d’Europe qui s’était précipité à demander sa main lorsqu’il découvrit sa grande beauté (et oui le fait de vivre en Europe a souvent donné aux Hommes le privilège de cueillir les plus belles roses) . Par pragmatisme, elle fut donc donnée à cet homme et déracinée violemment comme une tempête qui tire sur les racines d’un arbre vigoureux.
Esclave de son destin elle se laissa emporter par le désir que cet inconnu avait pour elle.
Mais son cœur… Ou était son cœur ? Qui habitait son cœur ?
Son cœur s’était embourbé dans les méandres d’un amour qui avait pris naissance dans son enfance et qui avait déployé ses ailes inconsciemment pendant son adolescence.
Pour qui ? Son cousin, le fils de son oncle qui rêvait d’en faire son épouse.
Précisément comme dans la chanson de Nora « Ya 3Amy Belkacem » (que ma grand-mère et ma mère écoutaient souvent). ---->"Oh mon oncle Belakacem ton fils est amoureux de moi fait donc le nécessaire marie nous et apaise nous, cet amour est né pendant notre enfance".
Elle aimait son mari, mais n’avait jamais trouvé le moyen d’effacer les sentiments qui avait marqué son cœur. Elle avait cette grande noblesse d'avoir étouffé son coeur par respect pour son père
L'amour peut devenir une prison dans laquelle le cœur est prisonnier...
Saleeeeem !!!
J’ai aimé observer les femmes berbères autour de moi avec un regard discret mais aiguisé.
J’ai souvent tendu l’oreille pour écouter l’indévoilable lorsque cela se présentait.
La légende dit qu’elles sont issues d’une culture matriarcale. Ce genre de matriarches qui gouvernent secrètement d’une main de fer sans « castrer » leurs hommes.
Et d’après cette reine guerrière Dihya - Kahina, qui combat un jour contre les Omeyyades, ce n’est donc pas qu’une légende.
- Je ne m’étalerais pas sur le Nafs de cette Rifaine, qui pour l’honneur, avait pris l’habitude de tourner la clé de la chambre de ses filles à doubles tours, la nuit, lorsque l’hospitalité était offerte au voyageur accueilli chez eux.
- Je ne m’étalerais pas non plus sur la pudeur de cette Khnifria, qui tournait rarement le dos aux hommes se trouvant dans la même pièce qu’elle, par par crainte des regards qui auraient pu se poser sur les courbes de son corps.
- Sans oublier la femme Kabile avec un grand K (c’est la même).
Son père l’avait marié à un homme d’Europe qui s’était précipité à demander sa main lorsqu’il découvrit sa grande beauté (et oui le fait de vivre en Europe a souvent donné aux Hommes le privilège de cueillir les plus belles roses) . Par pragmatisme, elle fut donc donnée à cet homme et déracinée violemment comme une tempête qui tire sur les racines d’un arbre vigoureux.
Esclave de son destin elle se laissa emporter par le désir que cet inconnu avait pour elle.
Mais son cœur… Ou était son cœur ? Qui habitait son cœur ?
Son cœur s’était embourbé dans les méandres d’un amour qui avait pris naissance dans son enfance et qui avait déployé ses ailes inconsciemment pendant son adolescence.
Pour qui ? Son cousin, le fils de son oncle qui rêvait d’en faire son épouse.
Précisément comme dans la chanson de Nora « Ya 3Amy Belkacem » (que ma grand-mère et ma mère écoutaient souvent). ---->"Oh mon oncle Belakacem ton fils est amoureux de moi fait donc le nécessaire marie nous et apaise nous, cet amour est né pendant notre enfance".
Elle aimait son mari, mais n’avait jamais trouvé le moyen d’effacer les sentiments qui avait marqué son cœur. Elle avait cette grande noblesse d'avoir étouffé son coeur par respect pour son père
L'amour peut devenir une prison dans laquelle le cœur est prisonnier...
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