Ces femmes qui forcent le respect : les cueilleuses de fraise .

ould khadija

fédalien
Contributeur
Les femmes marocaines cueilleuses de fraises ne souffrent pas seulement dans les champs espagnols.

Au Maroc aussi, les temps sont durs.

Le dos courbé, une caisse sur le dos, huit heures de travail ininterrompu.

Voici les conditions de ces femmes pour subvenir aux besoins de leurs foyers.

-----------------------------------

Khadija, Fatna et Asmaa travaillent dans les champs de fraises à Moulay Bousselham, région de Gharb-Chrarda-Béni Hssen.

Elles sont journalières et le travail est instable.

«On nous paie 60 DH le jour. C’est insuffisant mais c’est mieux que rien», confie Asmaa, entre deux cueillettes.

Seule consolation, elle est d'ordre symbolique : Abdelkrim Nouamane, président du Festival des fraises qui se tient chaque année à Moulay Bousselham, déclare à le360 que l’association Nelsia qu’il préside essaie d’alléger la souffrance de ces femmes en leur rendant hommage durant cette manifestation.

Un soutien moral qui vient compenser la situation matérielle difficile que traversent ces femmes laborieuses.

Vidéo


Fatima-Zahra Karzabi et Adil Gadrouz
le360.ma
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Les femmes marocaines cueilleuses de fraises ne souffrent pas seulement dans les champs espagnols.

Au Maroc aussi, les temps sont durs.

Le dos courbé, une caisse sur le dos, huit heures de travail ininterrompu.

Voici les conditions de ces femmes pour subvenir aux besoins de leurs foyers.

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Khadija, Fatna et Asmaa travaillent dans les champs de fraises à Moulay Bousselham, région de Gharb-Chrarda-Béni Hssen.

Elles sont journalières et le travail est instable.

«On nous paie 60 DH le jour. C’est insuffisant mais c’est mieux que rien», confie Asmaa, entre deux cueillettes.

Seule consolation, elle est d'ordre symbolique : Abdelkrim Nouamane, président du Festival des fraises qui se tient chaque année à Moulay Bousselham, déclare à le360 que l’association Nelsia qu’il préside essaie d’alléger la souffrance de ces femmes en leur rendant hommage durant cette manifestation.

Un soutien moral qui vient compenser la situation matérielle difficile que traversent ces femmes laborieuses.

Vidéo


Fatima-Zahra Karzabi et Adil Gadrouz
le360.ma
Salam ould khadija,
Elles ont tout mon respect :indigne: j'ai comme dans le sentiment qu'elle se fait gruger.
1000 franque = 10 Dh x 30jr = 300 Dhs et non 600 Dhs :prudent:
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Les femmes marocaines cueilleuses de fraises ne souffrent pas seulement dans les champs espagnols.

Au Maroc aussi, les temps sont durs.

Le dos courbé, une caisse sur le dos, huit heures de travail ininterrompu.

Voici les conditions de ces femmes pour subvenir aux besoins de leurs foyers.

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Khadija, Fatna et Asmaa travaillent dans les champs de fraises à Moulay Bousselham, région de Gharb-Chrarda-Béni Hssen.

Elles sont journalières et le travail est instable.

«On nous paie 60 DH le jour. C’est insuffisant mais c’est mieux que rien», confie Asmaa, entre deux cueillettes.

Seule consolation, elle est d'ordre symbolique : Abdelkrim Nouamane, président du Festival des fraises qui se tient chaque année à Moulay Bousselham, déclare à le360 que l’association Nelsia qu’il préside essaie d’alléger la souffrance de ces femmes en leur rendant hommage durant cette manifestation.

Un soutien moral qui vient compenser la situation matérielle difficile que traversent ces femmes laborieuses.

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Fatima-Zahra Karzabi et Adil Gadrouz
le360.ma
Salam.

Il faut savoir que 80% des fraises utilisés dans l'industries du yahourt en France provient du Maroc .
Ya de fortes chances qu'elles soient directement payées par cette industrie ..


Allah i koune fel 3wane
 
Salam ould khadija,
Elles ont tout mon respect :indigne: j'ai comme dans le sentiment qu'elle se fait gruger.
1000 franque = 10 Dh x 30jr = 300 Dhs et non 600 Dhs :prudent:

Légalement non... moralement c une entubade

SMAG 64 dh par jour.... Mais c une honte !
La solution serait de ce mettre en association et refuser de travailler pour ce montant... Les agriculteurs n'auront pas le choix que d'augmenter.. A 75 voir 100 dh jour... Il faut savoir que c saisonnier et donc le travaille que ce soit fraise ou melon ou arachide dans la région de Mly Bouselham n'est que de 4 voir 5 mois....
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Légalement non... moralement c une entubade

SMAG 64 dh par jour.... Mais c une honte !
La solution serait de ce mettre en association et refuser de travailler pour ce montant... Les agriculteurs n'auront pas le choix que d'augmenter.. A 75 voir 100 dh jour... Il faut savoir que c saisonnier et donc le travaille que ce soit fraise ou melon ou arachide dans la région de Mly Bouselham n'est que de 4 voir 5 mois....
Salam alice,
Des travailleuses temporaires, Elles pointent tous les jours au 'mawqaf'. Une sorte de marché aux esclaves.
Si mes souvenirs sont bons :fou:
 
Dernière édition:

Yoel1

VIB
Certes, elles sont payés une misère mais par rapport au SMIC marocain sont elles en dessous ou pas ?
Sinon bon courage à ces femmes courageuses et battantes !

Au 1er Janvier 2017, les salaires minimums légaux au Maroc (SMIG) sont :
Dans le secteur de l’industrie, du commerce et des professions libérales, le SMIG Horaire est de 13.46 MAD / Heure.
Le SMIG mensuel est donc égal à 13.46 MAD/Heure * 191 Heures/Mois = 2 570.86 MAD.
Dans le secteur de l’agriculture le SMAG Journalier est égal à 69,73 MAD.

http://blog.ojraweb.com/smig-maroc-valeur-du-smig-a-partir-du-01-janvier-2017/
 
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