«J’ai vu mon fils marcher et s’effondrer» : le désespoir du père d’Aymane, 15 ans, tué par balle à Bondy

J’ai envie de dire bien fait pour leur Gueule
C’est grave d’en arriver là mais s’il n’y a que comme ça que ces gens comprennent
Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient
Ce genre de personnage prennent le silence pour une faiblesse

Toute la famille du caid à déménagé ça faisait des années quils avaient planté racine dans ce quartier ils croyaient que ca y est il etait a eux

pareil une famille est arrivé dans la ville
ils ont etaient viré de je sais plus quelle ville par le maire
Et on voulu faire mes caids ben ils se sont vite calmé
Ils travaillent et sont sérieux mais ils en ont fait des histoires avant
je connais leur parent des parents irresponsable qui sont 6 mois au bled et mes enfants dehors livrés a eux mêmes
 
C est tres difficile ....tu peux faire tous tes efforts .... Meme si tes enfants travaillent bien par exemple a l école , ils seront vus comme des fragiles voire des traitres
On en est la

Quel gâchis ! Et sur combien de générations ? Ça fait peur
Suffit de lire certains, ici......qui balancent du "fragiles, traitres, harkis, nègres de maison, corine, collabos" à ceux qui ne restent pas dans la loose.
 

Ahmed était aux côtés de son fils quand celui-ci a été froidement abattu vendredi dans la maison de quartier Nelson-Mandela. Dévasté, il témoigne de sa douleur.​

Dans l'avion qui va l'emmener ce dimanche vers l'Algérie, Ahmed Kaïd, prend le temps d'évoquer la fin tragique de son fils au Aymane ,15 ans, vendredi à Bondy (Seine-Saint-Denis). C'est dans la ville de Sétif que le jeune homme tué d'une balle en pleine poitrine sera inhumé dans quelques jours.

« C'était un enfant adorable, serviable. Il ne cherchait jamais les histoires. On est perdus. Je n'arrive même pas à toucher ses affaires. Sa chambre est restée fermée », confie ce père dévasté, qui a littéralement vu mourir son fils dans ses bras. Il venait d'être atteint par une balle.

Son papa qui se tenait à ses côtés l'a vu un court instant rester debout sans rien dire puis se retourner vers lui et lancer : « Papa, j'ai mal. » « Au début, on a cru que c'était une balle à blanc, puis j'ai vu mon fil marcher et s'effondrer. Je lui ai enlevé son tee-shirt et c'est là que j'ai vu la blessure. J'ai essayé de le mettre en position latérale de sécurité et de lui parler pour qu'il reste conscient. » Mais ni lui, ni les secours ne sont parvenus à le ranimer. Il est décédé peu de temps après.

«Papa, ils sont capables de nous tuer»​

Les agresseurs ont été formellement identifiés. Ces jeunes du quartier ont agi à visage découvert. Dès le lendemain, à 9 heures, deux suspects âgés de 27 et de 17 ans se sont présentés au commissariat pour se rendre. « Ils ont été placés en garde à vue pour assassinat et elle a été prolongée », indique le parquet de Bobigny. Le meurtre était donc prémédité.

Vendredi, Aymane doit se rendre à l'espace Nelson-Mandela, où il va régulièrement depuis qu'il est tout petit. Son père le dépose à 13h30. Deux heures plus tard, un responsable du centre l'appelle et lui explique que deux frères se sont battus avec Aymane juste devant le centre. Ils décident de mettre le jeune homme à l'abri. « J'ai dit à Aymane : Tu ne sors pas avant que j'arrive », indique son père.

Une fois sur place, les deux frères sont toujours là. « Le grand a sauté sur lui. Je me suis interposé. Puis ils sont repartis », explique Ahmed. Le père et le fils retournent au centre. Mais ils ne sont pas tranquilles : « Aymane me dit : Papa, tu sais, ils sont capables de nous tuer. »

Les habitants ne comprennent pas​

Vers 17 heures les deux frères reviennent sur un scooter. Ils appellent Aymane qui se tient derrière la grande porte en bois. Mais par la fente de la boîte aux lettres, le tireur glisse le canon de son arme et fait feu une seule fois, blessant mortellement l'adolescent à la poitrine.

Rym, une mère venue déposer une rose blanche sur le seuil du centre Nelson-Mandela, résume l'état d'esprit de beaucoup de gens : « On ne comprend pas ». Le mobile qui a poussé ce jeune de 27 ans à abattre froidement Aymane reste mystérieux.

Le parquet de Bobigny indique « qu'un différend opposait la victime et ses agresseurs depuis un an sans que l'origine ne soit pour l'heure connue ».

Une rivalité sur le ring qui aurait dégénéré​

Mais selon le père d'Aymane, tout aurait commencé depuis que son fils s'est inscrit au Cris Fight club de Bondy. Un club où il pratique le kick boxing et le muay thaï. Un sport de combat très populaire qui ne compte pas moins de 10 000 licenciés en Seine-Saint-Denis et qui passionnait la jeune victime.

« Mon fils avait un bon niveau », confie Ahmed Kaïd modestement. En fait, en un an Aymane est parvenu à décrocher une médaille d'or la saison dernière au championnat d'Ile-de-France, précise Nadir Allouache, président de la Fédération française de kick boxing et de muay thaï. Il avait un avenir et aurait pu devenir un grand champion. »

Dans ce club, Aymane s'entraînait et combattait régulièrement contre le plus jeune des deux frères au palais des sports de Bondy. « Aymane l'a battu dans un combat et c'est comme ça que l'histoire a commencé, affirme son père qui subodore une affaire de pure jalousie. Il l'enviait car Aymane avait des capacités que l'autre n'avait pas malgré plusieurs années de pratique. »

Regarde la pièce jointe 280057



Le problème des quartiers pauvres c'est cela, la promotion de la compétition de la violence, avec un public illettré frustré et violent.

Pourquoi ces enfants ne font pas du tennis, ou du hand ball, ou encore de la musique classique, ou du théâtre???

non ! il faut absolument maintenir des activités de musculation, boxe, sports de combats, non seulement pour canaliser leur énergie , mais en plus pour en faire des citoyens de seconde zone, qui ne cotoyeront jamais les autres classes, ne serait ce que la moyenne classe.

Leur quartier est déjà une sorte de ring.

Et surtout ne pas éveiller les esprits dans ce ring de 10aines de milliers de personnes.
 
peut-être... avec des si, on peut refaire le monde

tout ce que je peux dire c'est malheur à celui ou ceux qui voudront s'en prendre à mon fils. Je fais perpète sans hésiter pour lui

Le mieux est encore de faire de la prévention, quitter les quartiers sensibles et s'installer dans des endroits plus "civilisés"

Pour ceux qui en ont les moyens, c'est effectivement incompréhensible de vivre dans ces zones de non droit où une minorité présente un risque trop élevé pour le bien être de la majorité.

Certains ne respectent pas la vie humaine, et veulent imiter certains films.

Quant à se faire justice soi-même, cela n'apporte jamais rien. Au contraire...
 
A

AncienMembre

Non connecté
Le problème des quartiers pauvres c'est cela, la promotion de la compétition de la violence, avec un public illettré frustré et violent.

Pourquoi ces enfants ne font pas du tennis, ou du hand ball, ou encore de la musique classique, ou du théâtre???

non ! il faut absolument maintenir des activités de musculation, boxe, sports de combats, non seulement pour canaliser leur énergie , mais en plus pour en faire des citoyens de seconde zone, qui ne cotoyeront jamais les autres classes, ne serait ce que la moyenne classe.

Leur quartier est déjà une sorte de ring.

Et surtout ne pas éveiller les esprits dans ce ring de 10aines de milliers de personnes.

Je suis entièrement d'accord avec toi ! On voudrait s'assurer qu'ils ne s'élèvent pas, on ne s'y prendrait pas autrement....
 
A

AncienMembre

Non connecté
Le problème des quartiers pauvres c'est cela, la promotion de la compétition de la violence, avec un public illettré frustré et violent.

Pourquoi ces enfants ne font pas du tennis, ou du hand ball, ou encore de la musique classique, ou du théâtre???

non ! il faut absolument maintenir des activités de musculation, boxe, sports de combats, non seulement pour canaliser leur énergie , mais en plus pour en faire des citoyens de seconde zone, qui ne cotoyeront jamais les autres classes, ne serait ce que la moyenne classe.

Leur quartier est déjà une sorte de ring.

Et surtout ne pas éveiller les esprits dans ce ring de 10aines de milliers de personnes.
Mais il ya de tout à proximité des ou dans les cités...
Des activités sportives à gogo..
Dont tennis, classique etc..
Je parles en connaissance de cause..
Aucun rapport avec cette violence de cette jeunesse
 

Sanzo

VIB
Pour ceux qui en ont les moyens, c'est effectivement incompréhensible de vivre dans ces zones de non droit où une minorité présente un risque trop élevé pour le bien être de la majorité.

Certains ne respectent pas la vie humaine, et veulent imiter certains films.

Quant à se faire justice soi-même, cela n'apporte jamais rien. Au contraire...

Je n'ai jamais parlé de faire justice soi-même, en revanche utiliser tous les moyens à ma disposition pour protéger mes proches oui
 

Sanzo

VIB
Le problème des quartiers pauvres c'est cela, la promotion de la compétition de la violence, avec un public illettré frustré et violent.

Pourquoi ces enfants ne font pas du tennis, ou du hand ball, ou encore de la musique classique, ou du théâtre???

non ! il faut absolument maintenir des activités de musculation, boxe, sports de combats, non seulement pour canaliser leur énergie , mais en plus pour en faire des citoyens de seconde zone, qui ne cotoyeront jamais les autres classes, ne serait ce que la moyenne classe.

Leur quartier est déjà une sorte de ring.

Et surtout ne pas éveiller les esprits dans ce ring de 10aines de milliers de personnes.

l'un n'empêche pas l'autre, apprendre les arts martiaux à ses enfants est essentiel mais ça ne veut pas dire pour autant délaisser d'autres activités culturelles
 
l'un n'empêche pas l'autre, apprendre les arts martiaux à ses enfants est essentiel mais ça ne veut pas dire pour autant délaisser d'autres activités culturelles

c'est souvent le full contact, sport qui comme par hasard ne touche que les cités et les enfants défavorisés, par contre le judo par exemple cela ne fait pas partie de la culture des "quartiers", ne le tennis ou le ping pong, les enfants sont entrainés par un effet de tourbillon ils veulent absolument faire le me^me sport que leurs potes, et dans les quartiers c'est foot ou full contact ou les 2, ensuite lorsqu'ils grandissent c'est muscu pour "prendre" des pecs et paraitre "chanmé" ha ha ha 🤣 🤣
 
A

AncienMembre

Non connecté
c'est souvent le full contact, sport qui comme par hasard ne touche que les cités et les enfants défavorisés, par contre le judo par exemple cela ne fait pas partie de la culture des "quartiers", ne le tennis ou le ping pong, les enfants sont entrainés par un effet de tourbillon ils veulent absolument faire le me^me sport que leurs potes, et dans les quartiers c'est foot ou full contact ou les 2, ensuite lorsqu'ils grandissent c'est muscu pour "prendre" des pecs et paraitre "chanmé" ha ha ha 🤣 🤣
Les gros clichés, laissez donc ceux qui veulent faire du full, et ceux qui veulent prendre des pecs, c'est normal , aussi normal que celui qui veut faire du tennis.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Sur ce Forum vous critiquez les gras du bides, les boxeurs, les musclés .
Derrière vos écrans, ..
 
A

AncienMembre

Non connecté
c'est souvent le full contact, sport qui comme par hasard ne touche que les cités et les enfants défavorisés, par contre le judo par exemple cela ne fait pas partie de la culture des "quartiers", ne le tennis ou le ping pong, les enfants sont entrainés par un effet de tourbillon ils veulent absolument faire le me^me sport que leurs potes, et dans les quartiers c'est foot ou full contact ou les 2, ensuite lorsqu'ils grandissent c'est muscu pour "prendre" des pecs et paraitre "chanmé" ha ha ha 🤣 🤣

....prison mentale qui les poussera à écouter la même musique, porter les mêmes fringues et aimer les mêmes sports....y a une culture des cités tout comme il y a une culture des "beaux" quartiers....
 
A

AncienMembre

Non connecté
Justement, on critique le fait que ce sport soit réservé à une élite

le petit mamadou qui vit dans une cité à peu de chance de faire du tennis
Je t'explique que chez moi , il y'avait aucun problème d'acces au tennis
Le tennis n'est pas apprécié chez beaucoup d'ados, pas uniquement ceux des cités
 
Les gros clichés, laissez donc ceux qui veulent faire du full, et ceux qui veulent prendre des pecs, c'est normal , aussi normal que celui qui veut faire du tennis.

C'est certes une caricature mais peu éloignée de la réalité. @lacerise parle à juste titre de culture des cités, dans laquelle on les enferme et ils s'y enferment.

Tu ne te demandes pourquoi il n'y a jamais eu de politique nationale de mixité sociale?

Je t'explique que chez moi , il y'avait aucun problème d'acces au tennis
Le tennis n'est pas apprécié chez beaucoup d'ados, pas uniquement ceux des cités

C'est faux. Si ces jeunes ne l'apprécient pas, c'est parce qu'ils sont biberonnés à autre chose.

L'accès au tennis sans réelle politique de changement des moeurs culturelles (découvertes, initiations...), c'est juste inutile.
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
C est pas un problème politique ou économique c surtout le problème des parent qui ne savent pas éduquer leur enfant et se décharge de cette tâche
Il n'y a que a voir certain parent qui donne des téléphone portable a des enfant en poussette pour avoir la paix
 
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