Salam Aleykoum,
Thomas Sankara où l'histoire de cet Africain qui lutta pour la réelle indépendance de son pays, pour le développement de celui-ci et pour que les Africains puissent désormais avoir leur destinée entre leurs mains.
Lui qui fit une révolution à tous les niveaux, aussi bien économique, que culturelle, que sociale. Il entreprit d'améliorer la condition de la Femme de par les réformes et les débats qu'il suscita.
Il mit en oeuvre un grand plan de réformes agraires afin que le Burkina-Fasso ne soit plus dépendant, alimentairement parlant, des grandes puissances. Ce qu'il réussit en partie puisque le Burkina Fasso parvint à dépasser, de très loin, la moyenne de production à l'hectare des autres pays du continent Africain.
Il força les fonctionnaires à porter des vêtements élaborés uniquement avec du tissu Burkinabé, fabriqués au Burkina et exhorta sa population ainsi que ses collègues Africains à ne plus dépendre des denrées, des matières et des importations venues de l'Occident, qui saisissait alors (l'Occident) ces occasions pour continuer à perpétuer sa mainmise sur l'Afrique.
Lui qui réprima ouvertement la politique Française et qui se permit même la suprême audace de contester, devant françois mitterand lui-même, l'accueil réservé au dirigeant ségrégationniste sud-africain Pieter Botha qui put venir tranquillement se balader en France malgré tout le sang qu'il avait sur les mains.
Cette volonté d'émancipation, d'indépendance économique, culturelle, politique et militaire lui coûta la vie. Lui qui fut trahi par son ami Blaise Compaoré qui l'assassina avec l'aide de la marionnette Ivoirienne houphouet boigny, avec la complicité de la France et notamment de Mitterand, Chirac et du réseau Foccard qu'il réactiva.
Lui qui dérangeait tant et qui fut tué avant que l'exemple qu'il incarnait puisse trouver un écho positif dans d'autres pays Africains que la France entendait continuer à asservir.
Voici l'histoire, brièvement résumée, d'un homme intègre qui lutta jusqu'à la mort pour sa patrie, contre le néo-colonialisme et qui requalifia le nom de son pays "Haute-Volta" par "Burkina Fasso" (pays des hommes intègres).
Thomas Sankara où l'histoire de cet Africain qui lutta pour la réelle indépendance de son pays, pour le développement de celui-ci et pour que les Africains puissent désormais avoir leur destinée entre leurs mains.
Lui qui fit une révolution à tous les niveaux, aussi bien économique, que culturelle, que sociale. Il entreprit d'améliorer la condition de la Femme de par les réformes et les débats qu'il suscita.
Il mit en oeuvre un grand plan de réformes agraires afin que le Burkina-Fasso ne soit plus dépendant, alimentairement parlant, des grandes puissances. Ce qu'il réussit en partie puisque le Burkina Fasso parvint à dépasser, de très loin, la moyenne de production à l'hectare des autres pays du continent Africain.
Il força les fonctionnaires à porter des vêtements élaborés uniquement avec du tissu Burkinabé, fabriqués au Burkina et exhorta sa population ainsi que ses collègues Africains à ne plus dépendre des denrées, des matières et des importations venues de l'Occident, qui saisissait alors (l'Occident) ces occasions pour continuer à perpétuer sa mainmise sur l'Afrique.
Lui qui réprima ouvertement la politique Française et qui se permit même la suprême audace de contester, devant françois mitterand lui-même, l'accueil réservé au dirigeant ségrégationniste sud-africain Pieter Botha qui put venir tranquillement se balader en France malgré tout le sang qu'il avait sur les mains.
Cette volonté d'émancipation, d'indépendance économique, culturelle, politique et militaire lui coûta la vie. Lui qui fut trahi par son ami Blaise Compaoré qui l'assassina avec l'aide de la marionnette Ivoirienne houphouet boigny, avec la complicité de la France et notamment de Mitterand, Chirac et du réseau Foccard qu'il réactiva.
Lui qui dérangeait tant et qui fut tué avant que l'exemple qu'il incarnait puisse trouver un écho positif dans d'autres pays Africains que la France entendait continuer à asservir.
Voici l'histoire, brièvement résumée, d'un homme intègre qui lutta jusqu'à la mort pour sa patrie, contre le néo-colonialisme et qui requalifia le nom de son pays "Haute-Volta" par "Burkina Fasso" (pays des hommes intègres).
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