La France invitée à réviser sa législation sur l'immigration

FPP75

VIB
STRASBOURG (Reuters) - La Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (Ecri), un organe du Conseil de l'Europe, s'inquiète dans un rapport du climat de xénophobie qui entoure les questions d'immigration en France.

Elle "recommande vivement aux autorités françaises de réviser la législation sur l'immigration et le droit des non ressortissants" du 20 novembre 2007 qui est selon elle de nature à "encourager un climat hostile aux non ressortissants".

"Au-delà de la question des droits fondamentaux des non ressortissants", l'Ecri "s'inquiète de l'évolution du climat général à (leur) égard" dans ce rapport publié à Strasbourg.

"Plusieurs propos tenus notamment sur les questions d'immigration et d'intégration par les responsables politiques, y compris par des élus et des membres du gouvernement, ont été ressentis comme encourageant l'expression du racisme et particulièrement de la xénophobie", ajoute ce collège d'experts issus des 47 Etats membres de l'organisation paneuropéenne.

Ils se réjouissent toutefois que ces dérapages soient généralement condamnés ou sanctionnés par la société française.

Des dérapages ont eu lieu sur internet à l'occasion du débat sur l'identité nationale et le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a été condamné le 4 juin dernier à 750 euros d'amende pour injure raciale pour des propos tenus en 2009 lors d'une conversation avec un militant UMP d'origine maghrébine.

Ce quatrième rapport sur la France, qui a été rédigé fin 2009, reprend les analyses de la Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité) selon lesquelles "l'immigration choisie", chère à Nicolas Sarkozy, a "un caractère potentiellement discriminatoire".

Elle lie trop exclusivement le droit de résider en France à l'exercice d'un métier dans un secteur éprouvant des difficultés à recruter, au détriment d'autres motifs d'immigration tels que le regroupement familial, estime la Commission.

Le rapport épingle le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale et sa "politique du chiffre" en matière de reconduites à la frontière.

SUSPICION GÉNÉRALISÉE DE FRAUDE

Ces objectifs "créent apparemment des tensions au sein de la société française et des administrations concernées".

Ils "entraîneraient des excès" en matière d'interpellations et contribueraient à développer une "suspicion généralisée de fraude" à l'encontre des étrangers, poursuit l'Ecri, qui reprend les analyses des associations antiracistes.

L'Ecri se réjouit a contrario que la loi de 2007 reconnaisse la nécessité d'agir en faveur de l'intégration mais elle "met en garde contre les excès possibles".

Elle s'interroge sur la pertinence du lien entre l'obtention d'une carte de résident et le respect du contrat d'accueil et d'intégration, qui prévoit une formation linguistique et civique, alors que "le degré d'intégration d'une personne ne dépend pas seulement de sa volonté".

Dans un autre registre, l'Ecri s'inquiète "de la persistance d'allégations de comportements discriminatoires de la part des représentants de la loi" et notamment du "profilage racial", familièrement qualifié de "contrôle au faciès, par la police.

Ce point est contesté par la France dans un commentaire joint au rapport.

La Commission, qui s'appuie notamment dans ses analyses sur le travail de la Halde et de la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), invite par ailleurs le gouvernement français à "soutenir" ces deux institutions.

Elle ne se prononce pas sur leur intégration prochaine au "Défenseur des droits", dont le projet de loi qui l'institue est actuellement en débat devant le Parlement, mais elle insiste sur la nécessité de maintenir leur "spécialisation" sans les affaiblir.

Gilbert Reilhac, édité par Yves Clarisse
 
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""Plusieurs propos tenus notamment sur les questions d'immigration et d'intégration par les responsables politiques, y compris par des élus et des membres du gouvernement, ont été ressentis comme encourageant l'expression du racisme et particulièrement de la xénophobie", ajoute ce collège d'experts issus des 47 Etats membres de l'organisation paneuropéenne.
Ils se réjouissent toutefois que ces dérapages soient généralement condamnés ou sanctionnés par la société française.." (Futurpapa)

Le débat sur l'identité nationale a fait long feu. Quant à notre ami nantais....

Comment ont réagi vos collègues et voisins?
 
Il est clair que la France "empeste la *****" ces dernières années, les reactions des politiques de gauche sont beaucoup trop molles pour faire un réelle contre poid, trop occupés qu'ils sont à se reconstruire.
 
STRASBOURG (Reuters) - La Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (Ecri), un organe du Conseil de l'Europe, s'inquiète dans un rapport du climat de xénophobie qui entoure les questions d'immigration en France.

Elle "recommande vivement aux autorités françaises de réviser la législation sur l'immigration et le droit des non ressortissants" du 20 novembre 2007 qui est selon elle de nature à "encourager un climat hostile aux non ressortissants".

"Au-delà de la question des droits fondamentaux des non ressortissants", l'Ecri "s'inquiète de l'évolution du climat général à (leur) égard" dans ce rapport publié à Strasbourg.

"Plusieurs propos tenus notamment sur les questions d'immigration et d'intégration par les responsables politiques, y compris par des élus et des membres du gouvernement, ont été ressentis comme encourageant l'expression du racisme et particulièrement de la xénophobie", ajoute ce collège d'experts issus des 47 Etats membres de l'organisation paneuropéenne.

Ils se réjouissent toutefois que ces dérapages soient généralement condamnés ou sanctionnés par la société française.

Des dérapages ont eu lieu sur internet à l'occasion du débat sur l'identité nationale et le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a été condamné le 4 juin dernier à 750 euros d'amende pour injure raciale pour des propos tenus en 2009 lors d'une conversation avec un militant UMP d'origine maghrébine.

Ce quatrième rapport sur la France, qui a été rédigé fin 2009, reprend les analyses de la Halde (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité) selon lesquelles "l'immigration choisie", chère à Nicolas Sarkozy, a "un caractère potentiellement discriminatoire".

Elle lie trop exclusivement le droit de résider en France à l'exercice d'un métier dans un secteur éprouvant des difficultés à recruter, au détriment d'autres motifs d'immigration tels que le regroupement familial, estime la Commission.

Le rapport épingle le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale et sa "politique du chiffre" en matière de reconduites à la frontière.

SUSPICION GÉNÉRALISÉE DE FRAUDE

Ces objectifs "créent apparemment des tensions au sein de la société française et des administrations concernées".

Ils "entraîneraient des excès" en matière d'interpellations et contribueraient à développer une "suspicion généralisée de fraude" à l'encontre des étrangers, poursuit l'Ecri, qui reprend les analyses des associations antiracistes.

L'Ecri se réjouit a contrario que la loi de 2007 reconnaisse la nécessité d'agir en faveur de l'intégration mais elle "met en garde contre les excès possibles".

Elle s'interroge sur la pertinence du lien entre l'obtention d'une carte de résident et le respect du contrat d'accueil et d'intégration, qui prévoit une formation linguistique et civique, alors que "le degré d'intégration d'une personne ne dépend pas seulement de sa volonté".

Dans un autre registre, l'Ecri s'inquiète "de la persistance d'allégations de comportements discriminatoires de la part des représentants de la loi" et notamment du "profilage racial", familièrement qualifié de "contrôle au faciès, par la police.

Ce point est contesté par la France dans un commentaire joint au rapport.

La Commission, qui s'appuie notamment dans ses analyses sur le travail de la Halde et de la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), invite par ailleurs le gouvernement français à "soutenir" ces deux institutions.

Elle ne se prononce pas sur leur intégration prochaine au "Défenseur des droits", dont le projet de loi qui l'institue est actuellement en débat devant le Parlement, mais elle insiste sur la nécessité de maintenir leur "spécialisation" sans les affaiblir.

Gilbert Reilhac, édité par Yves Clarisse
il est triste de voir que les dogmes gauchistes libéraux essayent de dicter à la France sa politique.
les francais ne veulent plus de l'immigration d'origine musulmane et ces quelques critiques d'un organisme supranational ne valent pas plus que les critiques du conseil des droits de l'homme envers Israel.
 

pocoloco

Bladinaute averti
Au contraire, l'erreur de la France c'est d'avoir accueilli, naturalisé à tour de bras n'importe qui et n'importe quoi: il aurait mieux valu qu'elle accepte seulement les gens susceptibles de s'intégrer parfaitement aux mœurs locales. Au contraire, on a eu droit à une immigration de peuplement au nom des droits de l'homme des gens qui s'en préoccupent uniquement pour écoeurer les indigènes et cracher sur le pays d'accueil.
Tant qu'à invoquer les droits et les libertés comme on le fait dans cet article: pourquoi on ne permettrait pas au peuple de s'exprimer clairement par des plébiscites pour ou contre l'interdiction de certains incompatibles avec les mœurs et la civilisation du pays.
 
Au contraire, l'erreur de la France c'est d'avoir accueilli, naturalisé à tour de bras n'importe qui et n'importe quoi: il aurait mieux valu qu'elle accepte seulement les gens susceptibles de s'intégrer parfaitement aux mœurs locales. Au contraire, on a eu droit à une immigration de peuplement au nom des droits de l'homme des gens qui s'en préoccupent uniquement pour écoeurer les indigènes et cracher sur le pays d'accueil.
Tant qu'à invoquer les droits et les libertés comme on le fait dans cet article: pourquoi on ne permettrait pas au peuple de s'exprimer clairement par des plébiscites pour ou contre l'interdiction de certains incompatibles avec les mœurs et la civilisation du pays.

Les premiers immigrés maghrébins sont venus pour travailler notamment dans les mines de charbon du Nord. Il y avait des recruteurs au Maroc qui choisissaient les plus costauds car ils devaient occuper un travail manuel.
Fais une recherche sur "histoire de l'immigration maghrébine en France". Tu peux faire pareil pour la Belgique.
 
Sommaire

* Fin du XIXè siècle, début du XXè siècle, la France devient terre d’immigration
* 1945 - 1974 : Large recours à la régularisation a posteriori des étrangers arrivés dans le pays, malgré la création de l’Office national d’immigration
* A partir de 1974 : Fin des 30 glorieuses, mise en place d’une politique de contrôle des flux migratoires.
* Immigration choisie : une nouvelle donne dans la politique de contrôle des flux migratoires depuis 2006 ?

http://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/politique-immigration/chronologie-immigration/
 
Environ 2 à 2,5 millions de Marocains vivent à l’étranger principalement en France (800 000), en Espagne (250 000), aux Pays-Bas (250 000), en Italie, en Belgique (110 000), en Allemagne (100 000)… mais aussi aux États-Unis (85 000), au Canada (60 000), en Algérie (300 000), en Libye (140 000)... Après l'immigration turque, c'est l'immigration marocaine qui est la plus largement répartie sur le territoire européen entre différents pays. En France, la moitié des Marocains dispose de la double nationalité.

Les étapes de l’émigration-immigration
..................
http://www.bibliomonde.com/donnee/maroc-diaspora-47.html
 
...............
les mineurs marocains recrutés par les houillères le sont sur la base de contrats de courte durée. Cela permet à l'entreprise de se doter d'une main d'oeuvre flottante permettant de faire face aux à-coup de la production, le déclin programmé des mines étant en effet entrecoupé de courtes périodes de relance, voire de substituer à la main d'oeuvre bénéficiant d'un statut une main d'oeuvre au statut précaire dans la perspective de l'extinction de l'activité. Les travailleurs marocains, facilement révocables, mais à la mobilité réduite puisque leurs contrats leur interdisent de rester en France et de s'y employer à l'expiration du contrat de travail, présentent alors l'avantage de constituer une main d'oeuvre aussi flexible que disponible. La liquidation de la main d'oeuvre marocaine sera cependant plus coûteuse que prévue, ceux-ci ayant obtenu en 1980, à la suite de grèves soutenues par les syndicats, l'accès au statut de mineur; certains pourront bénéficier des plans de reconversion et de reclassement mis en place dans les années 80.
..............
http://barthes.enssib.fr/clio/revues/AHI/livres/cegarra.html
 

pocoloco

Bladinaute averti
Les premiers immigrés maghrébins sont venus pour travailler notamment dans les mines de charbon du Nord. Il y avait des recruteurs au Maroc qui choisissaient les plus costauds car ils devaient occuper un travail manuel.
Fais une recherche sur "histoire de l'immigration maghrébine en France". Tu peux faire pareil pour la Belgique.


Bonjour,

Je fais surtout mention du regroupement familial plutôt que la question des travailleurs étrangers. C'est Chirac, premier ministre de Giscard, qui l'a instauré suite aux pressions du patronat; puis avec la crise et la saturation du marché de l'emploi Raymond Barre a voulu le supprimer. Mais le Conseil d'Etat s'y est opposé au nom des droits de l'homme. Il est clair que depuis, on assiste à une immigration de peuplement qui n' a rien à voir avec les intérêts du pays d'accueil et de sa qualité de vie.
 
.........
J’ai regardé dans le blanc des yeux au moins un million de candidats marocains… J’ai embauché les pères et après les fils [2] ». Félix Mora, responsable du recrutement des Charbonnages, revendique, à lui seul, l’embauche de 66 000 Marocains affectés aux Charbonnages de France dans les bassins houillers du Nord-Pas de Calais et de Lorraine.
..................
http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article3820

Vous pourriez avoir un minimum de respect pour ces hommes.
 
Bonjour,

Je fais surtout mention du regroupement familial plutôt que la question des travailleurs étrangers. C'est Chirac, premier ministre de Giscard, qui l'a instauré suite aux pressions du patronat; puis avec la crise et la saturation du marché de l'emploi Raymond Barre a voulu le supprimer. Mais le Conseil d'Etat s'y est opposé au nom des droits de l'homme. Il est clair que depuis, on assiste à une immigration de peuplement qui n' a rien à voir avec les intérêts du pays d'accueil et de sa qualité de vie.

C'est vrai que s'ils avaient laissé leur femme et leurs enfants au pays vous en verriez beaucoup moins aujourd'hui!

Ne vous est-il pas venu à l'esprit qu'il s'agissait d'HOMMES, de travailleurs, et pas de machines ?
Tout travailleur mérite le respect. Il n'y a pas travailleur et travailleur. La législation est identique. Le temps de l'esclavage est révolu.
On ne jette pas des hommes à la poubelle quand ils ne servent plus!
 
Qu'à l'avenir on freine l'immigration (légale) ou qu'on durcisse les règles d'application du droit d'asile est une question politique. Pour ça il y a un gouvernement et un Parlement.

Mais ce qui est fait est fait.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
la grosse question, et pas des moindres, c'est :"qu'est ce qu'on va faire des étrangers venus de la corne d'afrique, qui sont venus en qualité de demandeur d'asile et qui ont été déboutés?
(et qui accessoirement se liment le bout des doigts pour ne pas qu'on scanne leur empreintes digitales, parce que vous savez la loi c'est: premier pays européen dans lequel vous mettez les pieds bah vous y déposez votre demande d'asile, dont prise d'emprunte, en outre pas le droit de déposer plusieurs demandes dans des pays différénts, d'où le scan des empruntes...)

les expulser? la loi ne le permet pas du fait de leur nationalité
les régulariser? la France est gentille mais faut pas pousser mémé dans les orchydées non plus.... :)D)
les mettre au centre de rétention? oui d'accord mais une fois qu'ils sont remis en liberté ils font quoi?

pas expulsables, ni régularisables....

à vos propositions....:rolleyes:
 
la grosse question, et pas des moindres, c'est :"qu'est ce qu'on va faire des étrangers venus de la corne d'afrique, qui sont venus en qualité de demandeur d'asile et qui ont été déboutés?
(et qui accessoirement se liment le bout des doigts pour ne pas qu'on scanne leur empreintes digitales, parce que vous savez la loi c'est: premier pays européen dans lequel vous mettez les pieds bah vous y déposez votre demande d'asile, dont prise d'emprunte, en outre pas le droit de déposer plusieurs demandes dans des pays différénts, d'où le scan des empruntes...)

les expulser? la loi ne le permet pas du fait de leur nationalité
les régulariser? la France est gentille mais faut pas pousser mémé dans les orchydées non plus.... :)D)
les mettre au centre de rétention? oui d'accord mais une fois qu'ils sont remis en liberté ils font quoi?

pas expulsables, ni régularisables....

à vos propositions....:rolleyes:
on pourrait les expulser dans le dernier pays hors union par ou ils sont rentrés: au choix maroc, turquie, tunisie, lybie.
 
Les premiers immigrés maghrébins sont venus pour travailler notamment dans les mines de charbon du Nord. Il y avait des recruteurs au Maroc qui choisissaient les plus costauds car ils devaient occuper un travail manuel.
Fais une recherche sur "histoire de l'immigration maghrébine en France". Tu peux faire pareil pour la Belgique.
oui c'est vrai, mais ces immigrés ont été rémunéré pour leur peine, ils ont pour la plupart quitter leur souss natal ou ils n'avaient aucun avenir.
mais le phénomène dont tu parles date des années 50 or le gros des vagues migratoires, ce sont les regroupement familiaux des années 70 après le choc pétrolier et ce n'est donc pas une immigration de travail, mais une immigration économique: attrait des avantages sociaux du pays d'accueil.
 
Il y a deux gros problèmes humains:
1) les demandeurs d'asile qui sont dans la nature
2) les illégaux: demandeurs d'asile refusés....et les clandestins.

De quoi ces gens vivent-ils?
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
on pourrait les expulser dans le dernier pays hors union par ou ils sont rentrés: au choix maroc, turquie, tunisie, lybie.

ah bah non c'est illégal, c'est impossible, ça serait contraire à toute déontologie... et surtout comment prouver et determiner par lequel des pays hors union ils ont transité

ya pas de réponse à cela, à toute loi il y a des failles
c'est comme ça
 
Dans chaque pays les lois sont universelles. Cela veut dire qu'elles s'appliquent à tous (nationaux ou étrangers, habitants ou touristes) sur le territoire du pays.

LE principe Constitutionnel de base est: tous les français (belges en Belgique) sont égaux. Il n'y a aucun privilège en fonction de la naissance. Cela signifie QUE LÉGALEMENT il n'y a pas français et français (comme il n'y a pas belge et belge).
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Dans chaque pays les lois sont universelles. Cela veut dire qu'elles s'appliquent à tous (nationaux ou étrangers, habitants ou touristes) sur le territoire du pays.

LE principe Constitutionnel de base est: tous les français (belges en Belgique) sont égaux. Il n'y a aucun privilège en fonction de la naissance. Cela signifie qu'il n'y a pas français et français (comme il n'y a pas belge et belge).

????????????????????
 
Qui que soit le fraudeur aux allocations sociales, à l'impôt....seuls les tribunaux sont compétents.
En France (en Belgique, pareil), il n'y a pas de tribunaux différents pour les nationaux ou pour les étrangers.
 
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