Ft: le ministère des habous édite un bilan de la gestion royale de la chose religieuse

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
  • Date de début Date de début

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
A l’occasion des 20 ans de règne du Roi Mohammed VI, le ministère des Habous et des Affaires islamiques a publié l’ouvrage « Vingt ans du règne prospère de SM le Roi Mohammed VI (1999-2019) », une sorte de bilan de la gestion royale de la chose religieuse.
Réparti sur 6 chapitres, ce livre se veut un bilan de la gestion de la chose religieuse durant les vingt ans de règne du Roi, Amir Al Mouminine, un bilan qui ne peut être que positif et riche puisque sa légitimité et sa voie procèdent de l’allégeance légale de la « Grande Imama » et dont la mise en œuvre bénéficie de la haute sollicitude royale et de ses directives. Il s’agit d’une gestion claire dans ses fondements et ses finalités, portée par l’éducation, l’information, la préparation et l’encadrement.

Cette gestion, qui s’est érigée en un modèle religieux mis en exergue dans différents foras, se distingue par le système qui la sous-tend et par son authenticité tirée d’une expérience historique développée dans le cadre des constantes adoptées par les Marocains au diapason de leur doctrine en matière de rites, de doctrine et d’éducation comportementale et spirituelle.
Ce bilan vient en adéquation avec les ordres divins de protection de la religion et avec l’engament d’Imarat Al Mouminine, à travers la préservation du Saint Coran et du Hadith, pour atteindre ce dessein, notamment à travers le lancement de l’émission « Dourouss Al Haditha » sur la radio et la chaîne de télévision Mohammed VI, la construction, rénovation et la restauration de plusieurs mosquées à travers le Royaume, en les dotant d’imams qualifiés, la promotion des études islamiques, l’organisation du hajj et la gestion du calendrier hijri qui détermine les horaires des prières et les dates des fêtes religieuse.

La publication souligne aussi la création de médias religieux, la promotion des liens religieux avec les pays africains à travers le renforcement des relations avec les courants soufis, la création de la Fondation Mohammed VI des Oulémas africains, la gestion des attentes des Marocains résidents à l’étranger et la promotion de certains arts comme la calligraphie.

La gestion de la chose religieuse est confiée à une administration qui a développé ses structures et ses modes d’action afin de répondre aux besoins des autres chantiers du Royaume. Les réalisations de cette administration ont été accomplies grâce à la sollicitude d’Amir Al Mouminine qui gère ce champ à travers des Dahirs ayant abouti à un arsenal juridique issu d’une capitalisation sur des traditions authentiques préservées à travers des textes de loi visant à protéger les référentiels du pays et les droits des individus.

Le premier axe de cet ouvrage est consacré à la vision royale en matière de mise à niveau du champ religieux à travers l’organisation institutionnelle et juridique, compte tenu de l’importance des institutions pour garantir l’application des programmes et projets structurants de l’Etat.

Le deuxième axe met en avant, quant à lui, la décision du souverain de créer deux institutions médiatiques dédiées à la promotion de la pratique religieuse juste qui repose sur les constantes nationales, ainsi que l’importance accordée à la formation à travers les politiques de rajeunissement des compétences religieuses et la sélection des compétences scientifiques en leur dédiant des programmes de formation en adéquation avec les besoins des préposés religieux.

Au niveau du troisième axe, le livre souligne l’attachement du Roi à développer l’éducation et la formation religieuse à travers la restructuration de l’enseignement authentique, le lancement et l’équipement d’établissements leaders et la consolidation du programme d’alphabétisation dans les mosquées.

Pour ce qui est du quatrième axe, il est destiné à mettre en exergue la sollicitude dont le souverain entoure les lieux religieux et culturels comme les mosquées, auxquelles Amir Al Mouminine, a accordé une attention particulière selon une vision éclairée, tout comme les zaouias, les centres de documentation, les bibliothèques des habous et des waqfs.

Par ailleurs, l’accent est mis dans le cinquième axe sur les efforts du Roi dans le domaine de l’organisation et de la promotion du waqf, en faisant de ce patrimoine un vecteur du développement durable dans les domaines social, religieux et culturel, tandis que le sixième chapitre évoque, notamment, la nécessité de promouvoir des ressources humaines qualifiées conformément aux directives royales.




hespress
 
Retour
Haut